Si Philippe Monguillot, le chauffeur de bus de Bayonne, avait eu une arme à feu sur lui, il ne serait sans doute pas mort lynché par des racailles dont on attend toujours les profils que la presse mainstream se refuse à donner, politiquement correct oblige (se taire, c’est d’ailleurs évidemment laisser entendre qui sont ses meurtriers à la population).
Si cet homme poignardé pour avoir voulu défendre une jeune femme agressée à Bordeaux avait eu une arme à feu sur lui, il n’aurait sans doute pas été poignardé.
Si ces pompiers caillassés et attaqués alors qu’ils secouraient un chat blessé à Montpellier avaient eu une arme à feu avec eux, ils n’auraient pas été attaqués.
Si Axelle, cette jeune aide soignante de 23 ans tuée après avoir été traînée sur 800m par 2 individus dont le profil ethnique semble ne pas convenir au politiquement correct qui cache l’identité des suspects, avait eu une arme à feu, elle n’aurait pas, sans doute, été tuée.
Des « Si » macabres, il y en a actuellement tous les jours en France. Des meurtres, des lynchages, des viols, des agressions. L’urgence sanitaire est décrétée, on vous menace de 135€ d’amende si vous ne mettez pas vos masques. Mais l’État lui, laisse crever nos compatriotes tous les jours dans la rue, par son laxisme, par sa politique pénale dure avec les faibles, faible avec les durs.
La police ne protège plus personne. Elle ne peut de toute façon éviter ces drames, qui par définition, ne sont bien souvent pas prémédités. Ils pourraient être évités pourtant. Il suffirait pour cela que les Français puissent, massivement, pouvoir se former, à la sécurité et au maniement des armes, afin de pouvoir en porter sur eux.
J’entends déjà les ignobles personnages s’étouffer avec leur caviar et venir nous expliquer qu’en France « On ne fait pas justice soi même ». Qu’ils aillent dire ça aux familles des victimes. Qu’ils aillent expliquer ça à ces enfants sans père, à ses mamans sans fils, à ces maris sans femme ni enfant. Qui n’ont que leurs yeux pour pleurer. Ce sont eux, ceux qui refusent que les citoyens puissent se défendre, qui sont responsables de la situation.
Que les individus qui se rendent coupables de ces actes ignobles aillent 5 ou 10 ans en prison ne changera rien à la peine de ces familles. Par contre, que ces individus soient neutralisés physiquement avant d’avoir pu commettre leurs méfaits, voici qui change tout.
Philippe Monguillot, avec une arme à feu, aurait pu tout d’abord mettre en joue les individus qui l’ont menacé. Puis les abattre, si ces derniers tentaient de l’attaquer. Que vaut-il mieux sauver après tout ? La vie d’un honnête chauffeur de bus, ou celle de racailles qui jouent..et à qui il faut rappeler qu’elles peuvent aussi perdre, définitivement ? La vie d’une jeune aide soignante de 23 ans, ou bien celle de ceux qui l’ont trainé sans le moindre regret sur le bitume, jusqu’à la mort ?
Ceux qui estiment aujourd’hui que les Français ne devraient pas avoir le droit de se défendre sont les complices de la racaille. Ils devront être pénalement traités comme tel le jour où la justice rouge de ce pays aura rendu les clefs de notre maison commune.
Les autorités doivent prendre la mesure de la colère, sourde, qui gronde, dans tout le pays. Car ils sont de plus en plus nombreux à refuser que leurs enfants, que leurs parents, que leurs proches, meurent pour un regard, pour un commentaire, pour une remarque, pour rien du tout, victimes du laxisme, victime d’autorités qui ont capitulé face à des hordes d’individus qui ne respectent plus rien ni personne, encore moins l’autorité.
Avant d’être des citoyens respectueux des lois censées nous protéger, nous sommes des pères et mères de famille. Nous sommes des fils et des filles. Notre sécurité est notre droit le plus fondamental droit qui, lorsqu’il est bafoué comme actuellement, remet en question tout « vivre ensemble » et surtout, toute pacte « démocratique et républicain ».
Julien Rochedy ne disait d’ailleurs pas mieux hier, lui qui exprime publiquement ce que beaucoup (de plus en plus nombreux) pensent aujourd’hui tout bas.
Bientôt, nous allons nous armer, nous allons nous défendre, nous irons protéger, et vous aurez beau nous traiter de fachos, nous n’en aurions rien à faire. Mais alors rien du tout.https://t.co/1N4N3PRCwz
— Julien Rochedy (@JRochedy) July 21, 2020
« Populu armatu, populu Rispettatu ». Peuple armé, peuple respecté dit la devise corse. Qui dit mieux ?
Julien Dir
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