On va les obliger à porter un masque (après leur avoir dit en plein coeur de la pandémie que cela ne servait à rien) et ils sont contents.
Le chef de l’État en déliquescence Emmanuel Macron a ainsi indiqué rendre le port du masque obligatoire dans les lieux publics clos dès le 1er août prochain (son Premier ministre a avancé la date à la semaine prochaine).
Grosso modo, vous n’aurez bientôt plus le droit de vous promener sans masque dans aucun des bâtiments dans lesquels des personnes extérieures sont admises
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Parcs de stationnement couvert, établissement de plein air, musée, gare (pour sa partie accessible au public), lieu de culte, bibliothèque et centre de documentation, crèche, école maternelle, halte-garderie, jardin d’enfants, salles de danse et salle de jeux, magasin de vente et centre commercial, restaurant et débit de boissons, salle de spectacle font notamment partis des lieux dans lesquels vous allez entendre des voix indignées si jamais vous pénétrez sans masque.
Au delà de la question du masque, discutable puisque discutée il y a encore quelques mois (comment peut-on prétendre de sa nécessité alors même que tous les spécialistes s’accordent à dire qu’ils ne peuvent pas encore cerner totalement le virus ?), c’est la question de la brimade permanente, de la soumission, qui se pose.
On vous oblige « pour la sécurité de tous » à le porter. Mais dans le même temps, votre sécurité n’a jamais été aussi menacée en raison de la défaillance de ces mêmes autorités qui veulent vous imposer ce masque.
Rien que pour cette semaine du 14 juillet, entre les tirs au mortier dans certaines cités, les attaques de pompiers, et les exactions en tout genre dans tout le pays, la réalité témoigne d’une société en voie de barbarisation avancée. Et l’on voudrait vous faire croire que sans votre masque, le danger, c’est vous ? Vaste blague…
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On arrête là ou bien on continue à vous dresser la liste des dernières exactions commises en quelques jours partout en France et face auxquelles les autorités ne font strictement rien ? Pensez-vous sérieusement que des ministres qui laissent vos gamins se faire violer, dépouiller et même tuer dans les rues de nos villes au quotidien se préoccupent réellement de votre santé ?
L’espace vital pour les hommes libres est en train de se réduire comme peau de chagrin. On veut vous empêcher de vous exprimer sur Internet, sous peine de poursuites si vous évoquez des sujets politiquement controversés.
On veut vous empêcher de vous promener librement sous le prétexte d’une pandémie dont on ne sait toujours pas grand chose et dont on nous indique actuellement qu’une deuxième vague ne sera sans doute pas aussi forte que la première (pour laquelle les masques n’étaient pas obligatoires…)
Dans le même temps, on laisse rentrer sur le territoire des milliers d’individus parfois porteurs de maladies disparues en Europe sans précaution. Mêmes individus dont une partie multiplie les exactions sur le territoire avec la complicité par passivité d’autorités pieds et poings liés par des textes juridiques d’un autre âge.
Lavez-vous les mains, mettez du gel, portez un masque, gestes barrières, on ne cesse de vous le rappeler à grands coups de spots publicitaires, où que vous alliez, quoi que vous fassiez. Gel hydroalcoolique, masque pour tous, et genoux à terre pour combattre le racisme. Covid et racisme, les deux grandes guerres de l’année 2020, les deux grands déclencheurs de la plus vaste campagne de privation de libertés individuelles et de conditionnement mentaux jamais organisée.
Rajoutez à cela interdiction de fumer, de boire, de trop manger, de rouler vite (et bientôt de respirer ?).
Bienvenue dans leur monde d’après.
Je n’irai plus dans vos lieux publics.
Les hommes libres n’ont plus qu’à rester chez eux (pour autant qu’ils le puissent encore) et à faire leur auto-sécession, ou bien à quitter ces pays dans lesquels la majorité des citoyens acceptent progressivement de devenir des « esclaves heureux de la liberté ».
Quand les moutons se réveilleront, il sera déjà beaucoup trop tard.
Julien Dir.
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