Le 11 juillet marquait traditionnellement la Journée Mondiale de la Population.
L’occasion de prendre conscience de la menace écologique principale que constitue la surpopulation sur notre planète, avec 7,8 milliards d’humains sur la Terre, soit 6 milliards de plus qu’il y a un siècle.
Il aura donc fallu seulement 100 ans pour que les effectifs de l’humanité progressent autant qu’ils ne l’avaient fait depuis les débuts de notre espèce jusqu’à l’an 2000.
« Que cette journée soit l’occasion de prendre conscience de ces ordres de grandeur, de la rapidité de cette évolution et de l’inquiétude que cela peut susciter, afin que la démographie soit enfin au cœur de toutes les réflexions sur la sauvegarde de la vie sur notre planète » indique Didier Barthès Porte-parole de l’association Démographie Responsable
La question démographique, et notamment l’approche concernant l’Afrique et l’Asie, deux continents qui inquiètent sur ce sujet, n’est jamais évoquée par EELV, entre autres, ou par les grandes personnalités qui prétendent s’inquiéter de l’écologie à travers le monde. Trop politiquement incorrect sans doute. Mais si la démographie n’est pas traitée un jour ou l’autre, mère nature reprendra ses droits un jour ou l’autre (pandémie mortelle, crises sanitaires graves, catastrophes..), cela semble évident…
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