« Pour survivre, quittez la France ! ». Tels étaient en substance les propos d’Anatoly Livry, à l’occasion d’une interview donnée à Piero San Giorgio dont nous avions fait état. Pour mieux connaitre la pensée et les idées de cette universitaire dissident, particulièrement productif en matière de littérature et d’idées, nous l’avons interviewé, ci-dessous.
Breizh-info.com : Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?
Anatoly Livry : Peut-être suis-je l’un des dissidents actuels les plus destructeurs pour ce système génocidaire des peuples blancs qu’est le pays légal français. Je m’efforce que ce bétail gouvernemental cosmopolite qui n’a ni dieu ni maître perde ce qu’il a de plus sacré, à savoir son portefeuille.
J’ai ainsi transformé mes aptitudes acquises au sein des universités françaises et européennes en une lutte bien réelle qui consiste à bloquer des millions d’euros de subventions mendiées en Suisse par des fonctionnaires universitaires français pour des projets soi-disant scientifiques franco-helvétiques. Je freine par ailleurs les collaborations que la république dite française essaie de nouer sur les plans sécuritaire et bancaire, militaire, policier, médical, etc. en enseignant aux élites helvétiques que les émissaires français rencontrent en Suisse la chute vers laquelle leur puissance sera précipitée quand la Gueuse multiethnique, haineuse des peuples blancs et fauchée sombrera. Voilà la raison pour laquelle ancien enseignant à la Sorbonne et à Nice-Sophia Antipolis (université dont je suis docteur), auteur de 17 livres publiés et lauréat de sept prix internationaux, ayant étudié et publié dans les domaines du grec ancien, du latin et du sanskrit, des langues allemande, scandinaves, romanes et slaves, je suis devenu un des adversaires à abattre, « contrat » confirmé chaque année car les ministères français, les deux présidents français successifs et des membres de l’Institut de France ne cessent d’instrumentaliser le Parquet pour essayer de me faire taire.
Des professeurs étrangers et des journalistes consacrent certains de leurs travaux à mon parcours et à mes activités alors qu’en France, l’on m’interdit de chercher ne serait-ce qu’un poste de maître de conférences.
De même, l’on fait pression sur mes éditeurs afin qu’ils cessent de publier mes livres, l’on supprime l’ensemble des articles encyclopédiques qui me sont consacrés (ainsi Wikipédia) et l’on nomme mes adversaires personnels « experts » pour les procédures de qualification du Conseil national des universités (CNU) qui exige par écrit que le ministère de l’enseignement supérieur m’attaque en justice.
Parallèlement, un clan international composé de professeurs de la Sorbonne, d’académiciens français et de diplômés de l’Université hébraïque de Jérusalem (ceux-là ne pouvant contenir leur haine tribale envers cet ancien Juif qui a quitté la judéité pour la religion du paganisme aryen) a organisé en 2018 le plagiat de ma thèse de doctorat sur Nabokov et Nietzsche (soutenue en 2011 à Nice-Sophia Antipolis et publiée chez Hermann à Paris, puis en russe à Saint-Pétersbourg et également reproduite par l’Atelier National de Reproduction des Thèses [ANRT] en 2014).
Cette donneuse internationale de leçons qu’est la marianne n°5 ne supporte pas que ses forfaitures soient étalées au grand jour devant ceux qu’elle accable de ses suppliques financières (ce qui motive mes œuvres tant philosophiques que littéraires qui ont naturellement, vu les pressions, du mal à trouver des éditeurs français) et elle fait de moi dans sa correspondance administrative interne l' »ennemi n° 1″ de la république à l’étranger.
Breizh-info.com : Pouvez-vous nous parler de vos derniers travaux de philosophie, notamment sur la pathocratie et les contre-élites ?
Anatoly Livry : Pour moi, en tant qu’adepte des idées que Nietzsche avait formulées d’après certains présocratiques, la philosophie est inséparable de la philologie. Pour aller droit au but, Nietzsche est de l’espèce la plus dangereuse pour les fonctionnaires professoraux contemporains de « philosophie », à savoir un rhéteur grec de l’époque hellénistique ou romaine qui tend vers ces temps archaïques qu’il souhaite régénérer afin que notre élite se remette à puiser sa puissance dans les mythes ancestraux des peuples aryens et œuvre faire revenir les dieux de jadis parmi nous. Nietzsche est pour moi donc un nouveau Lucien, un nouveau Callimaque, un nouveau Dion de Pruse.
De là, pour répondre à votre question, ma théorie des élites dans laquelle je proclame un pessimisme quant à notre époque : d’un côté, une classe de psychopathes qui ne cessent de sélectionner leurs semblables depuis ce passage initiatique de notre Occident qu’est la « Libération » ; d’un autre côté, la totale impossibilité de trouver une couche civique sur laquelle une révolution nationale, qui est toujours un assainissement de l’âme d’une ethnie désirant ardemment sa convalescence psychique, pourrait s’appuyer. Voilà la raison pour laquelle mes travaux sur l’Université française et européenne sont primordiaux, car ces facultés sont les matrices de ce que l’on appelle nos « élites ». On est malheureusement forcé d’admettre que, depuis quelques siècles, les membres de l’Académie et les professeurs qui y aspirent ont essayé de tenir le rôle de ce que fut naguère la Respublica literaria.
Et effectivement, certains de ses rejetons ont participé autrefois au redressement des États (je pense naturellement à Isaac Newton qui a été appelé par la puissance britannique qui avait failli pour s’occuper quasi manuellement d’une réforme monétaire en s’appliquant à rétablir sur Terre la beauté stellaire, ce cosmos que cet être supérieur portait dans son esprit). Mais aujourd’hui, nous n’avons plus, parmi les nations blanches, cette aristocratie puriste et cruelle capable de pendre des faux-monnayeurs de toute espèce. Néanmoins, les corporations issues de la Respublica literaria dont les membres ont été fonctionnarisés comme professeurs continuent à vouloir jouer le rôle de cette noblesse d’esprit de jadis alors qu’en Europe et surtout en France, un professeur universitaire est un inculte pseudo-spécialiste, un idéologue souvent indic’ de la police (pour s’en rendre compte, il suffit de consulter mon dossier, enseigné en Suisse, sur les professeurs français qui m’ont dénoncé à la police pour s’attirer la bienveillance du Conseil national des universités), fréquemment sélectionné par de grands pathocrates suivant leurs propres pathologies (comme le décrit un psychiatre polono-américain que j’ai utilisé pour ma thèse de doctorat). En effet, les grands psychopathes académiques choisissent en France et en Europe de petits psychopathes pour qu’ils les remplacent plus tard : des sociopathes, des schizophrènes, des paranoïaques, des pervers narcissiques promeuvent leurs semblables à qui ils lèguent le pouvoir universitaire (regardez pour cela mes analyses des clans universitaires français que j’assure ex cathedra en compagnie de psychiatres mondialement connus). C’est bien parmi ces détraqués que les futurs présidents français constituant leur dossier médiatique auprès de mafieux parisiens viennent chercher une caution morale.
C’est auprès de ces échappés de l’asile que l’on demande, en France, des expertises pour les politiques à mener en matière de santé, de sécurité, de finances. Ce sont également ces fous furieux portant des titres de professeurs universitaires et agissant en collectif qui dressent les enseignants du secondaire, tous ces commissaires politiques incultes et souvent analphabètes pratiquant le psittacisme que sont nos agrégés et qui eux élèvent les collégiens et les lycéens de la France métropolitaine et de ses îles des bienheureux.
Il faudrait donc – et là je développe l’idée de ce sociologue à l’ancienne que fut cet admirateur de Benito Mussolini Vilfredo Pareto – toute une génération d’une authentique noblesse professorale indépendante pour que nos facultés cessent d’être des hospices pour cette sauvagerie qui commence par massacrer ouvertement les civilisations occidentales (je parle d’êtres semblables à ce que je suis, autrement dit nourris de la Science occidentale mais vomissant la souillure d’un pouvoir endoctrineur).
Et nous, ces anti-élites, pendant de longues années, devrons élever ceux qui, si la chance nous sourit, renverseront le cours de l’histoire. Je pense ici à ces contre-élites qui, avec une cruauté inouïe mais nécessaire, se mettront à mener les meilleures espèces de l’humanité vers leur accomplissement. Si cette révolution, ce retour purificateur aux origines mythiques et ethniques de la race aryenne, n’a pas lieu, toute l’espèce humaine cessera d’exister.
Breizh-info.com : Vous avez récemment déclaré que la jeunesse devrait fuir la France pour s’en sortir, n’est-ce pas terriblement fataliste ? Pourquoi fuir ? Ne faut-il pas plutôt combattre et changer les choses de l’intérieur ?
Anatoly Livry : Je porte mon regard de disciple d’Aristote depuis la Suisse alémanique où je vis entouré de personnes dont j’ai choisi le phénotype quand je suis arrivé en Europe depuis l’Union soviétique et je me pose le problème bien aristotélicien du topos en me confrontant à une question assez simple à l’origine : où est, en 2020, la place d’un jeune Français fier de ses racines, de sa civilisation et de sa culture ? Pour moi, la réponse est claire : un Blanc français est voué à l’extermination par le système républicain.
La Gueuse lui prendra ses enfants, le réduira en esclavage avec sa compagne si elle ne réussit pas à la tourner contre lui en en faisant une hystérique féministe. Elle les pervertira tous afin de les mettre à genoux devant des hordes venues d’Afrique et d’Asie. Pour moi, c’est la seule chose que gagneront les Français qui choisiront de se terrer dans un village de la France profonde.
Naguère, je pensais que cela serait l’affaire de plusieurs décennies. Maintenant, j’estime que cela ne prendra que quelques années.
J’appelle donc les Français, et je m’adresse ici tant à des personnes de mon âge voire plus âgées qu’à des adolescents de 12-13 ans (car la conscience racialo-politique est constituée avec la guerre de tous et contre tous de plus en plus précocement), à se préparer financièrement, professionnellement, corporellement mais aussi politiquement et spirituellement à cette fuite que je définirais plutôt comme une expatriation, un exil ethnique : prendre tout ce qui a d’excellent en France pour le porter vers l’Europe centrale ou orientale.
Ancien réfugié politique ayant fait mes armes en URSS en luttant contre le régime socialiste à Moscou, j’invite tout Occidental qui lit ces lignes à se constituer progressivement un dossier de futur réfugié politique pour le faire valoir quelque part en Hongrie ou en Slovénie, ou dans un autre pays européen attaché à ses racines, afin de diminuer le capital diplomatique de la marianne n° 5 qui est une puissance métisseuse de l’Europe incitant de plus chacun des peuples blancs à accepter dans son sein des races venues d’ailleurs, abusant de cette Convention relative au statut des réfugiés de 1951, aujourd’hui totalement anachronique. P
ourriez-vous vous imaginer quel déshonneur international cela serait pour cette donneuse de leçons qu’est devenue la république soi-disant française si, par exemple, l’actuelle Hongrie qu’elle pousse à la mélanisation remplissait ses fameux « quotas de réfugiés » non avec des Africains mais avec des Français qui créeraient à Budapest des banques de données sur les violences qu’ils avaient subies en tant que Blancs français sur les territoires républicains, fonderaient des instituts et des médias francophones, travaillant de concert avec le gouvernement local, combattant donc la Gueuse n° 5 sur son propre territoire, celui des droits de l’homme ?
Un gouvernement fier de ses origines ethniques prend le pouvoir dans un autre pays de l’Europe de l’Est ? Ces banques de données devraient lui être offertes par les réfugiés politiques français à l’Est afin que ce nouvel allié se joigne à la reconquista de la race blanche en Europe, car le départ de toute lutte civilisationnelle a pour base l’ethnie – c’est un ancien Juif qui vous le dit.
Breizh-info.com : Et s’il fallait fuir, quels pays conseilleriez-vous ? N’y at-il tout de même pas un gouffre entre les mentalités celtes et/ou latines et les mentalités slaves ou d’autres peuples d’Europe centrale qui rendraient difficiles des intégrations là-bas ?
Anatoly Livry : Selon moi, la future Europe doit être précisément constituée par des conglomérats d’ethnies germaines, celtes, latines, slaves. Elles doivent collaborer sans jamais, de préférence, s’entremêler. C’est un rêve naturellement, un idéal puriste. Un Français qui ira se réfugier chez les Germains, chez les Slaves, chez les Finno-ougriens, etc. rencontrera sans doute des problèmes d’assimilation, mais ces inconvénients sont minimes par rapport à la guerre raciale qui est menée contre lui sur le territoire de ses ancêtres.
Chaque Français (lequel, d’ailleurs, peut être ethniquement celte, germain ou latin) qui choisit l’exil ethnique doit, je pense, parcourir quelques-uns des pays de ses préférences afin de choisir dans lequel il s’établira suivant son expérience. Je précise qu’il reste peut-être peu de temps pour qu’un Blanc de l’Occident puisse quitter légalement la tyrannie qu’est en train de devenir la république dite française. Il est temps d’apporter plus de volonté et de résolution à cette fuite de Français vers l’Est, laquelle, pour moi, je le répète, devrait prendre la forme d’une lutte politique : chaque fois qu’un Français entre en contact avec son administration, sa police, sa justice, etc., il est quasi immédiatement victime de persécutions qu’il peut – et je le précise en tant qu’ancien réfugié politique soviétique en France – faire valoir comme motivations pour sa future demande d’asile à l’Est.
Ce sont cette lutte menée de l’extérieur de la France pour la sauvegarde de cette France éternelle, cette préservation de la culture (démarche bientôt considérée comme criminelle dans l’Hexagone) et la préparation d’un retour victorieux en France qui remplaceront quelques inconforts linguistiques ou personnels qu’un émigré a nécessairement à affronter. Pensez d’abord à la lutte, cette lutte salvatrice. Et, de nos jours, pour pouvoir reconquérir la France dans une lutte sans entrave, il faut partir. Mais partir en tant que Bon Européen car, ne l’oubliez pas, une fois expatrié, il est possible de vivre dans un pays de l’Est, de payer des impôts dans un autre pays et de faire des affaires dans un troisième. Utilisez l’immondice sans-frontièreriste dans laquelle le globalisme nous a précipités afin de mieux en découdre avec le cosmopolitisme.
Breizh-info.com : Plus globalement, c’est tout de même l’homme Européen dans son ensemble qui est attaqué, et qui évolue dans un monde où il est largement minoritaire. Y’a-t-il un espoir pour lui demain, et si oui lequel ?
Anatoly Livry : L’homme blanc, quel que soit l’endroit où il se trouve, est voué à l’extermination psychique, culturelle, physique ou par métissage. Cela est incontestable. Et plus l’homme blanc cède en tant que représentant de son ethnie, plus l’on exige des concessions de lui : une lutte raciale sans merci est menée contre lui. Depuis des décennies, les statistiques nous démontrent le recul de la population blanche dans le monde. Plus les Blancs seront minoritaires, plus cet acharnement s’intensifiera. Logiquement, il n’y a aucun espoir, ni pour l’homme blanc ni par conséquent pour l’humanité dans son ensemble. Cependant, je citerais quand même cette idée que Nietzsche avait mentionnée dans son Wille zur Macht, quasi une stratégie : « Das Werk auf eine Katastrophe hin bauen ». On engage une lutte sans espoir aucun avec la pensée intime que, au sein des troupes de nos adversaires plus nombreux se produira un désastre qui deviendra notre force. Or c’est précisément l’idiocratie des sauvages qui nous gouvernent et qui arrivent chez nous – autrement dit, des conglomérats de débiles mentaux frénétiques et incultes pratiquant la tabula rasa quasi quotidiennement – qui pourrait précipiter leur chute. Et là, quand le globalisme raciste anti-Blancs s’effondrera, il faudra être impitoyable avec nos ennemis.
Breizh-info.com : Comment expliquez-vous la trahison des élites européennes, qui portent pourtant pour une partie d’entre elles le même sang, le même héritage civilisationnel ?
Anatoly Livry : La réponse à cette question réside dans ma théorie des élites. Depuis la défaite du monde blanc qui s’est effectivement opérée à Stalingrad, les puissances pathocratiques ont instauré la gouvernance culturelle prévue lors de la conférence de Téhéran puis factualisée après la fameuse « Libération ». Une pathocratie, héritière idéologique des socratiques alexandrins épinglés par Nietzsche dans Die Geburt der Tragödie, puisant ses forces vives dans les grandes civilisations occidentales, vampirisant sa proie impitoyablement, s’est dressée au sommet et chacune de ses pathologies s’est constituée en groupe, quasi en classe civique. Nous avons donc à l’acmé de l’Europe – et cela est ainsi dans chacune des branches du pouvoir (politique, militaire, sécuritaire, universitaire, …) – des conglomérats de grands psychopathes, mais aussi des clans organisés de sociopathes, de pervers narcissiques, de pervers sexuels, etc. qui sélectionnent leurs semblables pour occuper les postes de pouvoir et qui exercent leur malfaisance en repoussant chaque être sain d’esprit à partir du moment où il n’arrive pas à démontrer qu’il est aussi psychopathique que ceux qui le jugent.
Voilà pourquoi aucune « discussion cartésienne » n’est possible avec les idiocrates qui nous tyrannisent et mon dossier sur l’Université française que je confectionne comme un bureaucrate héritier de ce Colbert extrêmement mal vu actuellement le démontre.
Breizh-info.com : Quel message d’espoir pour finir ?
Anatoly Livry : Comme vous l’avez bien compris, mon espoir est qu’il n’y a pas d’espoir et qu’il faut mener cette lutte en toute abnégation. Notre seule chance résiderait, je le répète, dans la non-fonctionnalité de l’idiocratie qui pratique l’usure de ce que les anciennes générations ont produit à la force de leur génie. Si une partie saine des Français parvient à échapper physiquement aux pathocrates qui les destinent à l’extermination, s’ils investissent dans leur développement personnel hors de cette idiocratie francophone qu’est devenue la république et s’ils font valoir par un lobbying habile de groupe cette lutte auprès de gouvernements locaux patriotes, ils constitueront peut-être ce « hasard », „Von Ohngefähr“, qui est, suivant la vision de Nietzsche, « […] der älteste Adel der Welt. », la plus ancienne noblesse du monde.
Propos recueillis par YV
Crédit photo : DR
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