L’essentiel du discours de Donald Trump prononcé le 4 juillet à l’occasion de la fête nationale américaine. Traduction réalisée par Egalité et Réconciliation.
https://www.youtube.com/watch?v=UvyRUBGgsv8&feature=emb_title
Alors que commence ce week-end du 4 Juillet, la Première dame et moi vous souhaitons à toutes et à tous une très, très heureuse fête de l’Indépendance. Merci.
Soyons reconnaissants envers la Garde national du Dakota du Sud, la Garde nationale aérienne et l’US Air Force pour nous avoir inspiré avec cette magnifique démonstration de la puissance aérienne américaine – et bien sûr, notre gratitude, comme toujours, aux légendaires et très talentueux Blue Angels [la patrouille acrobatique de la marine américaine]. Merci beaucoup.
Et également nos plus sincères remerciements à nos merveilleux anciens combattants, aux forces de l’ordre, aux premiers secours et aux médecins, infirmières et scientifiques qui travaillent sans relâche pour tuer le virus. Ils travaillent dur. Je tiens à les remercier infiniment.
[…]
Il ne pourrait y avoir de meilleur endroit pour célébrer l’Indépendance de l’Amérique que sous cette magnifique et incroyable montagne majestueuse, monument hommage aux plus grands Américains qui aient jamais vécu.
[…]
Nous nous réunissons ce soir pour annoncer le jour le plus important de l’histoire des nations : le 4 juillet 1776. À ces mots, chaque américain devrait avoir le cœur gonflé de fierté. Chaque famille américaine devrait applaudir avec enthousiasme. Et chaque patriote américain devrait être rempli de joie, car chacun de vous vit dans le pays le plus magnifique de l’histoire du monde, et bientôt plus encore.
[…]
Et pourtant, alors que nous nous réunissons ici ce soir, il y a un danger grandissant qui menace les bienfaits pour lesquels nos ancêtres se sont battus si fort, ont lutté, ont versé leur sang.
Notre nation assiste à une campagne sans merci pour effacer notre histoire, diffamer nos héros, effacer nos valeurs et endoctriner nos enfants.
Des foules en colère tentent de démolir les statues de nos fondateurs, de défigurer nos monuments les plus sacrés et de déclencher une vague de crimes violents dans nos villes. Beaucoup de ces gens ne savent pas pourquoi ils font cela, mais certains savent exactement ce qu’ils font. Ils pensent que le peuple américain est faible, doux et soumis. Mais non, les Américains sont forts et fiers, et ils ne permettront pas que notre pays et toutes ses valeurs, son histoire et sa culture leur soient retirés.
L’une de leurs armes politiques est de supprimer la culture – chasser les gens de leur emploi, faire honte aux dissidents et exiger la soumission totale de quiconque n’est pas d’accord. C’est la définition même du totalitarisme, c’est complètement étranger à notre culture et à nos valeurs, et cela n’a absolument pas sa place aux États-Unis d’Amérique. Cette attaque contre notre liberté, notre magnifique liberté, doit être arrêtée, et elle sera arrêtée très rapidement. Nous allons démasquer ce mouvement dangereux, protéger les enfants de notre nation, mettre fin à cette attaque extrémiste et préserver notre mode de vie américain bien-aimé.
Dans nos écoles, nos salles de rédaction, même nos conseils d’administration, il y a un nouveau fascisme d’extrême gauche qui exige une allégeance absolue. Si vous n’adoptez pas son langage, ne pratiquez pas ses rituels, ne récitez pas ses mantras et ne suivez pas ses commandements, alors vous serez censuré, banni, mis sur liste noire, persécuté et puni. Cela ne nous arrivera pas.
Ne vous y trompez pas : cette révolution culturelle de gauche est destinée à renverser la révolution américaine. Ce faisant, ils détruiraient la civilisation même qui a sauvé des milliards de personnes de la pauvreté, de la maladie, de la violence et de la faim, et qui a élevé l’humanité vers de nouveaux sommets d’accomplissement, de découverte et de progrès.
Pour rendre cela possible, ils sont déterminés à abattre chaque statue, symbole et souvenir de notre patrimoine national.
C’est pourquoi je déploie les forces de l’ordre fédérales pour protéger nos monuments, arrêter les émeutiers et poursuivre les contrevenants dans toute la mesure de la loi.
J’ai le plaisir d’annoncer qu’hier, des agents fédéraux ont arrêté le meneur présumé de l’attaque de la statue d’Andrew Jackson à Washington D.C., ainsi que des centaines d’autres.
En vertu du décret que j’ai signé la semaine dernière – en ce qui concerne la loi sur la préservation et la reconnaissance des monuments commémoratifs des anciens combattants et d’autres lois – les personnes qui endommagent ou dégradent des statues ou des monuments fédéraux seront passibles d’un minimum de 10 ans de prison. Bien sûr, cela inclut notre magnifique mont Rushmore.
Les Américains ont une excellente mémoire. Ils n’oublieront jamais la destruction de statues et de monuments de George Washington, Abraham Lincoln, Ulysses S. Grant, des abolitionnistes et bien d’autres.
Le chaos violent que nous avons vu dans les rues des villes dirigées par des démocrates libéraux, dans tous les cas, est le résultat prévisible d’années d’endoctrinement extrême et de préjugés dans l’éducation, le journalisme et d’autres institutions culturelles.
Contre toutes les lois de la société et de la nature, nos enfants apprennent à l’école la haine de leur propre pays et à croire que les hommes et les femmes qui l’ont construit n’étaient pas des héros, mais des scélérats. La vision extrémiste de l’histoire américaine est un tissu de mensonges – toute perspective est supprimée, chaque vertu est obscurcie, chaque motif est tordu, chaque fait est déformé et chaque défaut est amplifié jusqu’à ce que l’histoire soit purgée et que le dossier soit défiguré au-delà de toute reconnaissance .
Ce mouvement attaque ouvertement l’héritage de chacune de ces personnes sur le mont Rushmore. Ils souillent la mémoire de Washington, Jefferson, Lincoln et Roosevelt. Aujourd’hui, nous rétablirons l’histoire et le récit honnête qui doit en être fait.
[…]
Aucun mouvement cherchant à démanteler ces précieux héritages américains ne peut avoir à cœur l’amour de l’Amérique. C’est impossible. Celui qui reste silencieux face à la destruction de ce patrimoine resplendissant ne peut nous conduire vers un avenir meilleur.
L’idéologie extrémiste qui attaque notre pays avance sous la bannière de la justice sociale. Mais en vérité, cela démolirait et la justice et la société. Cela transformerait la justice en un instrument de division et de vengeance, et transformerait notre société libre et inclusive en un lieu de répression, de domination et d’exclusion.
Ils veulent nous réduire au silence, mais nous ne nous tairons pas.
[…]
Nous soutenons les hommes et les femmes courageux des forces de l’ordre. Nous ne supprimerons jamais notre police ou notre grand deuxième amendement, qui nous donne le droit de garder et de porter les armes.
Nous croyons que nos enfants devraient apprendre à aimer leur pays, à honorer notre histoire et à respecter notre grand drapeau américain.
[…]
[…] En renversant les héros de 1776, ils cherchent à dissoudre les liens d’amour et de loyauté que nous ressentons pour notre pays et que nous ressentons les uns pour les autres. Leur objectif n’est pas une Amérique meilleure, leur objectif est la fin de l’Amérique.
[…]
Mes concitoyens américains, il est temps de parler haut et fort, et puissamment, et de défendre l’intégrité de notre pays.
Il est temps pour nos politiciens de convoquer la bravoure et la détermination de nos ancêtres américains. C’est l’heure ! Il est temps de planter notre drapeau et de protéger ce qu’il y a de plus grand dans cette nation, pour les citoyens de toutes les races, de toutes les villes et de toutes les parties de cette terre glorieuse. Au nom de notre honneur, pour le bien de nos enfants, pour le bien de notre union, nous devons protéger et préserver notre histoire, notre patrimoine et nos grands héros.
Ici ce soir, sous les yeux de nos ancêtres, les Américains déclarent à nouveau, comme nous l’avons fait il y a 244 ans, que nous ne serons pas tyrannisés, que nous ne serons pas rabaissés et que nous ne serons pas intimidés par des personnes mauvaises. Cela n’arrivera pas.
[…]