Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Charles Henri Gallois, (EM Lyon) chargé des questions économiques de l’UPR
1.Une gestion de crise lamentable.
– L’idéologie sans frontière de Macron.
– La France fut le dernier pays à fermer ses frontières.
– Une absence manifeste de solidarité européenne.
– L’Italie appelle à l’aide, l’UE aux abonnés absents.
– Les annonces : des milliards comme s’il en pleuvait : quelle réalité à ces paiements ?
– Sauver l’euro à tout prix.
– La France dindon de la farce européenne.
– L’Italie et l’Allemagne mieux loties dans la répartition des subventions.
2. L’UE la fuite en avant.
– Perspectives économiques sombres ;
– La France achète les menottes que l’UE lui passe.
– Pertes sur la répartition des subventions.
– Pendant la crise des accords subreptices de libre-échange avec le Vietnam et le Mexique.
– Le Commerce extérieur : une compétence exclusive de l’UE, les peuples non consultés.
– Un recul de la démocratie : deux siècles de tradition politique niés par ces accords.
3. La souveraineté c’est la liberté !
– Réindustrialiser la France ?
– Un préalable : le frexit.
– Retour sur l’affaire Alstom emblématique des abandons de souveraineté.
– Même au niveau militaire la France n’est pas autonome.
– Le risque de la production extérieure cf. les médicaments pendant la crise sanitaire.
– Les USA un pays protectionniste.
– Question agricole, le recul de la France dans la compétition internationale.
– La France très mal défendue par ses dirigeants au premier rang Macron.
– Une crise économique très dure s’annonce, la France l’affronte affaiblie.
Illustration : DR
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