Les Pays-Bas sont, comme la Bretagne, confrontés au problème des migrants « mineurs non accompagnés ». Et à la même insécurité que certains d’entre eux engendrent…
Migrants « mineurs » : une imposture qui ne touche pas que la France
S’ils alimentent régulièrement les chiffres de l’insécurité dans les villes de Bretagne, les migrants présentés comme étant des « mineurs non accompagnés » font aussi parler d’eux dans d’autres parties de l’Europe. Les Pays-Bas sont notamment concernés. Ainsi, certains employés des centres d’accueil pour demandeurs d’asile ont révélé dans la presse néerlandaise qu’ils avaient peur de ces migrants prétendument âgés de moins de 18 ans, principalement ceux originaires d’Algérie, du Maroc et de Tunisie.
Ces membres du personnel, témoignant anonymement, se sentent en danger et impuissants face à ces bandes de Nord-africains « mineurs ». Ceux-ci profitent bien entendu du généreux système d’asile néerlandais et bénéficient de prestations et de protections supplémentaires puisque considérés comme « mineurs ». Mais ils ne se contentent pas que de cela…
Violences, dégradations, vols et trafics
Ces extra-européens pointés du doigt par les employés des structures d’hébergement utilisent aussi ces dernières comme bases de séjour depuis lesquelles ils organisent des voyages à travers la Hollande pour des motifs obscurs. Le personnel rapporte également l’existence de trafics en tous genres avec du commerce d’objets volés dans les magasins du pays par certains de ces migrants.
Par ailleurs, ces soit-disant « mineurs non accompagnés » se livrent à des dégradations dans les centres d’accueil, se battent entre eux sans oublier de manquer de respect et d’insulter les employés des lieux. Quant à leur identité (et donc leur âge), ils se présentent avec de faux papiers, voire pas de papiers du tout.
Centres d’accueil des migrants : vers un drame ?
Si les langues commencent à se délier, a fortiori parmi un personnel dont on peut penser qu’il était initialement plutôt bienveillant avec ces extra-européens, c’est que la situation devient réellement intenable aux Pays-Bas. Les employés ne se sentent plus en sécurité face à cette engeance qui n’a pas grand chose à perdre et que la justice n’effraie pas.
Sans réaction des autorités, les membres du personnel ayant témoigné font ainsi part de leurs craintes d’être confrontés à un drame, comme voir l’un d’entre eux recevoir un coup de couteau par exemple.
L’omerta pesant sur la situation est renforcée par une autre peur : celle de se voir accuser de « racisme » lorsqu’il s’agit de décrire la réalité de ces centres pour demandeurs d’asile. Avec, accessoirement, le risque de frôler la dissonance cognitive pour les employés pouvant être, par ailleurs, promoteurs de l’immigration. Le retour au réel s’annonce difficile pour certains dans les années à venir.
AK
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine