Elles ne veulent plus être des victimes et sont décidées à défendre les femmes sans langue de bois. Elles dénoncent quotidiennement le harcèlement et les agressions trop souvent commises par des migrants. Elles sont à contre courant des mouvement féministes mainstream qui n’osent pas dénoncer les vrais problèmes. « Elles », ce sont les jeunes filles du collectif Némésis. Pour la journée des droits des femmes, le 8 mars dernier, elles ont été agressées au cœur de la manifestation, par des « antifas », pour une pancarte « immigration de masse, les femmes grandes perdantes ».
Alice et Eléna, deux fondatrices du mouvement, sont venues témoigner à visage découvert sur TVLibertés.
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