« Chez nous on viole les chiennes d’Américaines et de Françaises ». Il ne s’agit pas d’un poème de Victor Hugo, n’en déplaise à Yann Moix, mais des propos qu’un immigré afghan a tenu à un gendarme de Saint-Brieuc, lors d’une déposition dans une affaire de trafic de drogue, entre autres.
Cet individu de 23 ans, comme en bichonne tant les associations de défense des migrants qui sévissent en Bretagne, était jugé devant le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc, mardi 3 mars. Au menu, trafic de drogue, menaces de morts et outrages envers des personnes dépositaires de l’autorité publique. Un vrai modèle d’intégration en quelque sorte pour cet individu, incarcéré depuis plus d’un an pour une autre affaire criminelle dont il attend encore le procès.
À l’occasion d’une perquisition chez lui, la police retrouve du cannabis en quantité, et 850 € euros en espèce. Qui lui vaudront un test de dépistage aux stupéfiants, avant lequel il se permettra une première prose à vous donner envie de le naturaliser français dans la foulée : « Bande de fils de putes, j’ai enregistré vos têtes, je vous ferai la peau. Si on était dans mon pays il y a longtemps que vous seriez au bout d’une corde ». Puis, notre Victor Hugo afghan de continuer : « Chez nous on viole les chiennes d’Américaines et de Françaises ». Avant de multiplier insultes, provocations, menaces…
Cela n’empêchera pas l’individu de bénéficier d’un interprète (payé par le contribuable) lors de son procès, durant lequel il nie le trafic de drogue et clame son amour de la France, tout en niant avoir insulté la police, ce qui fait dire, y compris au procureur, d’arrêter de prendre les gens pour des imbéciles.
La peine prononcée est de neuf mois de prison dont six avec sursis. Le prévenu devra verser 550 € à chacun des gendarmes concernés. En attendant le jugement pour l’affaire criminelle qui lui vaut d’être en détention provisoire. L’homme ne sera pas expulsé dans son pays d’origine. À sa sortie de prison, il pourra potentiellement être rejoint par les milliers de ses compatriotes qui se massent actuellement à la frontière entre la Grèce et la Turquie et que l’islamiste Erdogan voudrait faire rentrer sur notre territoire.
L’enrichissement culturel, on en redemande…
Photo d’illustration : DR
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