L’extrême gauche ose tout à Rennes, c’est même à ça qu’on la reconnait. En fin de semaine dernière, des militants se sont ainsi emparés illégalement d’un bâtiment pour le transformer en squat et y loger des migrants, ce qui tend à devenir une « spécialité bretonne » développée à Rennes ou à Nantes.
Au total donc, 60 migrants installés, majoritairement originaires d’Afrique Noire et d’Albanie, et parmi eux, des enfants, lâchement mis en avant notamment par la presse mainstream et par les militants pour tenter d’émouvoir le public alors que ce sont bien leurs parents qui sont responsables de la situation dans laquelle ils se trouvent aujourd’hui.
Cela se passe avenue du Général Leclerc, près du campus de Beaulieu, et dans un bâtiment dont la ville de Rennes est propriétaire. Autant dire que la situation devrait durer, puisque la municipalité de Nathalie Appéré est « migranto-compatible » et qu’elle a toujours voulu faire de Rennes une sorte de ville refuge pour toute la misère du monde, y compris si cela a des conséquences pour la sécurité des Rennais et le bien vivre ensemble, au quotidien (dans le centre ville, de nombreux commerçants n’en peuvent plus des agissements de migrants, notamment venus d’Afrique du Nord, qui dealent, volent, et font du trafic sans que les autorités réagissent).
Parmi les candidats aux élections municipales dans la capitale bretonne, un seul dénonce d’ailleurs cet état de fait, la droite semblant totalement inexistante (comme généralement partout en France) sur la question migratoire. Emeric Salmon, candidat du Rassemblement national, vient en effet de communiquer à ce sujet;
« Ce nouveau squat intervient après les réquisitions de gymnases rennais, le squat du Parc des Gayeulles l’été dernier, où 400 clandestins étaient entassés dans des conditions d’hygiène et de sécurité catastrophiques, ou encore plus récemment l’occupation illégale, toujours en cours, du bâtiment d’une entreprise dans le sud-est de Rennes » dit-il, tout en condamnant fermement l’occupation et en demandant des mesures draconiennes;
« Les Rennais, déjà éprouvés chaque jour par la délinquance des « mineurs » étrangers, n’ont pas à subir la folle politique d’immigration et l’appel d’air encouragés par des associations gauchistes subventionnées, par la Mairie écolo-socialiste de Rennes et par le gouvernement macroniste qui ne cessent de se renvoyer la balle. La Préfecture de Bretagne le dit elle-même, Rennes est confrontée à une forte pression migratoire d’immigrés venus pour des raisons économiques. Près de 1000 clandestins sont déjà pris en charge par la Ville de Rennes. Rien que pour les nuitées d’hôtels, la facture pour les Rennais s’élève à plus d’1 million d’euros auquel il faut rajouter les 25 millions d’euros dépensés chaque année par le Département d’Ille-etVilaine pour la prise en charge intégrale des migrants pseudos « mineurs ». Certains d’entre eux, logés dans la caserne Guillaudot entre la place Hoche et le Thabor, sont d’ailleurs à l’origine de nuisances quotidiennes qui exaspèrent les riverains. Alors que les foyers d’hébergement d’urgence sont constamment saturés et que bon nombre de Français se retrouvent sans solution d’hébergement, cette préférence étrangère est intolérable. Je condamne cette nouvelle installation forcée de clandestins aux frais des Rennais. Face à la gauche et aux 2 candidats macronistes, je suis le seul candidat aux municipales à tenir sur ce sujet, comme sur l’insécurité et l’islamisme, un discours de vérité et de fermeté. Pour le bien des Rennais, la volonté politique et le courage s’imposent ! »
Pour le moment, la ville de Rennes ne bouge pas. L’Etat non plus, laissant à la fois des familles illégales sur notre territoire dans la précarité la plus totale (plutôt que de les renvoyer dans leurs pays d’origine et de les extraire ainsi d’un pays qui n’a rien à leur offrir économiquement) et le sentiment aux Rennais comme aux Bretons que la loi n’est plus appliquée en faveur des nationaux sur leur propre territoire.
Par ailleurs, près de 200 migrants se trouvent encore au squat des Veyettes, dans le quartier du Landry. Le propriétaire du bâtiment industriel a engagé une procédure d’expulsion. Le tribunal administratif doit rendre sa décision le 13 mars prochain. En attendant, dans les réseaux associatifs qui collaborent à l’immigration, on se démène pour permettre à un maximum de migrants rentrés illégalement en France d’être pris en charge, dans les métropoles de Bretagne comme dans de nombreux villes petites et moyenne de la région…
JD
Crédit photos : Photo d’illustration
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