Les chiffres publiés par le Ministère de l’éducation au Royaume-Uni montrent que plus de 18.700 victimes présumées d’exploitation sexuelle d’enfants ont été identifiées par les autorités locales en 2018-19. Une majorité des gangs coupables de ce qui peut s’assimiler à une traite des blanches sont des gangs de pakistanais, présents au Royaume-Uni en raison de la permissivité des accords migratoires régissant le Commonwealth.
Un porte-parole du ministère de l’Intérieur a déclaré que le ministère « s’est engagé à s’attaquer aux abus sexuels d’enfants et ne laissera rien au hasard pour lutter contre ce comportement odieux ». Sarah Champion, la députée travailliste de Rotherham, qui a été ciblée par des gangs de criminels, a déclaré à The Independent que les chiffres montrent que ce type d’exploitation « reste l’une des plus grandes formes de violences sur des enfants dans le pays« .
Le ministre britannique de l’Intérieur a par ailleurs promis un rapport sur les caractéristiques des gangs de violeurs en 2018, affirmant que les cas les plus médiatisés comprenaient une « forte proportion d’hommes d’origine pakistanaise » et que des « raisons culturelles » pouvaient expliquer le phénomène.
Ces affaires, qui éclatent les unes après les autres et qui ne peuvent plus être cachées comme ça a été le cas des années, révoltent la population Outre-Manche (rappelons que le journaliste et activiste Tommy Robinson a été emprisonné pour avoir voulu montrer les origines de ces gangs…)
« Nous sommes confrontés à une crise nationale en ce qui concerne l’aide disponible pour des milliers d’enfants qui ont souvent subi les sévices les plus épouvantables », a déclaré un porte-parole d’une organisation caritative au journal The Independent. « Les tactiques insidieuses utilisées par les prédateurs sexuels font que de nombreux jeunes gens ne se rendent pas compte pas que ce qu’ils subissent est un abus. Nous devons faire plus d’efforts pour améliorer notre compréhension des motivations et des tactiques des prédateurs pour empêcher les abus de se produire en premier lieu. »
Plusieurs affaires portées devant les tribunaux ont révélé que les agresseurs s’en prenaient à des filles vulnérables ou qui avaient des difficultés d’apprentissage. Les statistiques du Département de l’éducation ont montré que le Lancashire a enregistré le plus grand nombre d’enfants (624) victimes d’abus sexuels, suivi par Birmingham (490), Surrey (447), Bradford (414) et Gloucestershire (409).
Drogues et alcool sont fréquemment utilisés par les « Grooming Gangs » pour neutraliser les filles ou les forcer à avoir des relations sexuelles, avant de les menacer ensuite de représailles si elles vont voir la police. Pour les gangs de pakistanais, et contrairement aux femmes de leurs origines, les jeunes filles blanches n’ont aucune valeur, comme cela a largement été rapporté dans les tribunaux à l’occasion des procès de ces gangs de barbares.
Des activistes ont déclaré que le chiffre réel de victimes était bien plus élevé et ont accusé le gouvernement de ne pas s’attaquer à l’exploitation sexuelle des enfants, malgré les promesses faites après les affaires très médiatisées de Rotherham et Rochdale. La raison de cette gène manifeste du gouvernement et des autorités britanniques ?
Toujours la peur de « faire le jeu de l’extrême droite » et de la montée du racisme, comme on peut le lire dans cet article. Le Royaume-Uni gouverné par des fous ? Possible, mais ce ne serait alors pas le seul territoire d’Europe de l’Ouest à l’être….
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2 réponses à “Royaume-Uni. Des gangs pakistanais majoritairement coupables de l’exploitation de 18.700 jeunes filles en 2018-2019”
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