Le violeur « n’avait pas les codes culturels » : relaxé

Les gangs de violeurs issus du sous-continent indien, fréquents en Angleterre, seraient-ils déjà actifs dans l’Ouest ? En Bretagne un Afghan vient d’être interpellé à Rennes pour deux viols sur voie publique depuis fin novembre. Et à Saint-Lô, un Bengali a été acquitté du crime de viol au motif qu’il « n’avait pas les codes culturels »…

Dans la nuit du 23 au 24 novembre une femme d’une trentaine  d’années qui fumait une cigarette sur le chemin des Horizons en bas de la tour des Horizons à Rennes, a été agressée et violée par un homme vers 3 heures du matin ; elle dépose plainte et donne un signalement précis. Son violeur l’avait d’abord attrapée par le cou et l’avait projetée à terre avant de la violer.

L’ADN du violeur avait été relevé, mais il était inconnu des forces de l’ordre. Un second viol a eu lieu au même endroit, dans la nuit du 14 au 15 décembre, à 4 heures du matin – cette fois la victime avait une quarantaine d’années.

Suite à des surveillances de nuit, un Afghan âgé de 29 ans a été interpellé, son ADN correspond aux deux viols. Il a été placé en détention provisoire et sera présenté au parquet le 5 janvier prochain, en vue d’une mise en examen pour viol. L’ADN du violeur afghan correspond aussi à un autre viol, cette fois à Brest.

Un Afghan avait déjà été interpellé pour viol – cette fois d’un adolescent de douze ans – dans une maison abandonnée à Saint-Brieuc en août 2018. Ce demandeur d’asile afghan de 26 ans, avait abordé sa victime dans un parc. Il avait été interpellé suite au signalement de quatre mineures qu’il avait importunée auparavant.

Saint-Lô. Le violeur « n’avait pas les codes culturels » :

En novembre 2018, un jeune homme originaire du Bangladesh – encore le sous-continent indien – avait été jugé pour l’agression sexuelle, en septembre 2015, et le viol, en décembre de la même année, de deux jeunes filles mineures, âgées de 16 et 15 ans, à Saint-Lô (50). Il est ressorti libre du tribunal après avoir été condamné à deux ans avec sursis.

Les magistrats ont estimé que le violeur « n’avait pas les codes culturels » et l’ont relaxé du chef de viol, affirmant qu’il « n’avait pas conscience d’imposer un rapport sexuel » (!). On attend avec intérêt la réaction des organisations féministes.

Louis Moulin

Photo d’illustration : DR
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