Le fondateur de l’UDC suisse est de retour sur le devant de la scène médiatique ! Finie la politique électorale, Oskar Freysinger présente aujourd’hui un roman intitulé Cendre Rouge et qui raconte l’histoire commune de plusieurs personnages à différents moments de l’Histoire soviétique. Loin de faire une critique doctrinale du marxisme ou de se limiter à une dénonciation éculée du bolchevisme, l’auteur dénonce les systèmes de manipulation mentale et d’asservissement des personnes et des peuples.
Synopsis : Le jeu n’est un jeu que tant qu’il reste un jeu. Transposé dans la réalité ou condamnant la réalité à se plier à ses règles, il devient une arme redoutable. Les personnages de ce roman sont des figurines dans un jeu qui les dépasse, un jeu qui affine de jour en jour ses ramifications, comme un rhizome cherchant à se greffer sur la réalité, afin de la vider de sa substance. L’échiquier où se déroule ce jeu cruel est la défunte URSS, le laboratoire impitoyable d’une société nouvelle, dont les principes fondateurs ne sont pas morts avec la chute du mur de Berlin. Comme un virus particulièrement insidieux, ils ont muté et se sont adaptés pour tenter de prendre le contrôle du corps social au niveau planétaire. Le contrôle remplace le pouvoir, la prison cède la place au labyrinthe. A travers la destinée d’une poignée d’hommes et de femmes, le lecteur vivra la Genèse d’une idéologie plus dévastatrice et déshumanisante que tout ce que la civilisation humaine a produit. Bienvenue dans le pire des mondes possibles. Aujourd’hui, qui connaît la Révolution russe ? Comment est-elle encore enseignée ? Cent millions de morts. Pas de procès de Nuremberg. L’oubli en guise de jugement de l’histoire. Là encore et toujours l’ignorance cultivée …
Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine