Entre la propagande LGBT, la promotion d’une « société inclusive », les reportages stigmatisant les horribles Blancs racistes et faisant la part belle aux pauvres Noirs opprimés, Netflix est une machine mondiale de propagande (et de fabrique du consentement) qui œuvre au quotidien pour violer les racines et les consciences dans les foyers du monde entier.
Nouvel exemple venu du Brésil avec le film La première tentation du Christ, vidéo de 46 minutes du collectif d’humoristes Porta dos Fundos, inclus dans la « programmation humoristique de Noël », film dans lequel Jésus est présenté comme étant homosexuel, en couple avec un personnage digne de la cage aux folles. Un million de personnes ont signé une pétition en ligne demandant le retrait de ce film tandis que du côté de Netflix, silence radio. À noter que le film n’est pas distribué qu’au Brésil, on le retrouve aussi sur le catalogue français.
La pétition réclamant son retrait est soutenue notamment par le fils du président Jair Bolsonaro, qui soutient les revendications des catholiques, choqués par ce film. Ce que ne manque pas d’évoquer la presse mainstream, qui oriente ainsi la contestation autour de ce film comme une contestation réactionnaire.
Netflix, outil de propagande contre les Blancs, les hétérosexuels et les catholiques ?
Ce film ne choquerait sans doute pas outre mesure s’il n’était pas dans la continuité du travail mené par Netflix pour moquer et détruire, ici la civilisation blanche et judéo-chrétienne, là des valeurs sociétales jugées « conservatrices » par la bien-pensance et les partisans de « l’open society » chère au milliardaire Soros, mais partagées par une majorité des peuples du monde.
Ce film ne choquerait pas non plus si Netflix ne se prosternait pas par ailleurs vis-à-vis d’autres religions, et de certains gouvernements. Ainsi un épisode critique du régime saoudien, Patriot act, censuré par Netlix en Arabie saoudite à la demande du gouvernement. Ou encore le retrait d’épisodes politiquement incorrects de la série South Park. Netflix avait alors indiqué que dix épisodes contenaient des propos jugés « dénigrants pour certaines communautés par les autorités audiovisuelles locales ».
La firme américaine diffuse par ailleurs un message d’avertissement désormais, avant certains dessins animés de Walt Disney qui seraient « culturellement datés », là encore pour « ne pas choquer » certaines communautés, certains lobbys.
Finalement, Netflix révèle un peu plus au grand jour ce qu’il est : une chaîne distributrice et productrice de cinéma (et parfois de bon cinéma) qui, sous le vernis du divertissement, est un redoutable outil de propagande pour l’avènement de la société inclusive et métissée chère à certains dirigeants de cette planète.
Les peuples eux, sont relégués au rôle de cobayes, tout juste bons à payer 10-15 euros par mois. Cocus, mais contents. À moins de boycotter, tout simplement.
YV
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