« Schiappa, les étrangers violeurs sont toujours là ». Némésis, ces jeunes féministes qui heurtent les bien-pensants et les gauchistes [Vidéo]

Les gauchistes « féministes » façon Caroline de Haas ont montré leurs vrais visages sectaires et haineux, à l’occasion de la grande marche contre les violences faites aux femmes, le week-end dernier.

En effet, à l’occasion de cette manifestation, des femmes membres du collectif «féminin et patriote » Némésis, ont été copieusement huées et même violentées par quelques vieilles femmes, quasi hystériques, d’extrême gauche manifestement, parce qu’elles faisaient le lien, via des pancartes, entre la lutte féministe et la nécessité de protéger les femmes en stoppant l’immigration, responsable d’une partie des agressions de ces dernières dans les grandes villes notamment. Avant d’être tout simplement expulsées de la manifestation, sans que la presse bien pensante n’y voit la moindre violence ou discrimination politique…

À l’issue de cette manifestation, nous avons interrogé ces jeunes femmes, pour connaître leurs motivations, et leurs intentions dans les semaines à venir. Vers un féminisme identitaire ? C’est ce que nous allons voir ci-dessous…

Breizh-info.com : Qu’est-ce que le collectif Némésis ? Pourquoi ce nom ?

Nemesis : Notre collectif a été fondé par un groupe de jeunes femmes lassées d’être harcelées et agressées à Paris. Nous nous sommes rassemblées et avons toutes fait malheureusement le même triste constat : une très claire et nette surreprésentation des hommes d’origine étrangère (maghrébine et africaine) dans nos harceleurs. Nous souhaitons donc dénoncer les effets négatifs de l’immigration sur la tranquillité et la sécurité des femmes en France, sujet complètement tabou dans les milieux féministes comme tout le monde a pu le voir lors de la manifestation Nous Toutes. Notre nom est une référence à la déesse grecque de la juste colère. Notre objectif est de convaincre nos compatriotes quant à l’importance de la différence culturelle malheureusement trop grande avec ces populations et donc incompatible avec l’amélioration de la condition féminine.

Breizh-info.com : Pourquoi avez-vous pris part à la marche contre les violences faites aux femmes ? Ne pensez-vous pas que les pancartes déployées étaient provocantes eu égard aux organisateurs de la marche ?

Nemesis : Nous avons pris part à la marche contre les violences faites aux femmes parce que nous y avions toute notre place. Nous ne laisserons personne nous dire que nous n’avons pas le droit de nous revendiquer féministes. Mais parce que nous voulions aussi dénoncer l’irresponsabilité des organisatrices qui avaient officiellement condamné sur leur compte Twitter la proposition de Marlène Schiappa d’expulser les délinquants sexuels étrangers. Nos pancartes étaient certainement provocantes pour les organisatrices et les féministes qui font passer leurs convictions gauchistes avant la condition féminine mais elles ne l’étaient certainement pas pour la majorité de nos compatriotes qui se reconnaissent certainement davantage dans nos idées que dans celles de Caroline de Haas.

Breizh-info.com : Quelles ont été les réactions ? Avez-vous identifié les auteurs des agressions physiques et verbales dont vous avez fait l’objet ?

Nemesis : Nous avons été immédiatement agressées dès que nous avons sorti nos pancartes, d’abord verbalement puis très vite nos pancartes ont été arrachées et certaines de nos membres ont été agressées physiquement. Nous ne connaissons pas nos agresseurs ni les groupes auxquels ils étaient affiliés. Cependant, d’après le twitter de Caroline de Haas, un des membres de sa famille en faisait partie.

Nos slogans étaient : « Schiappa, les étrangers violeurs sont toujours là. », « Cologne, Rotherham bientôt Panam’ », « Caroline de Haas, tu veux toujours élargir les trottoirs ? », « Les femmes ne sont pas des frontières violables », « 52 % de viols par des étrangers en IDF ».

Breizh-info.com : Que pensez-vous du Grenelle des violences faites aux femmes ? Et des lois qui vont être, sans, doute votées ? N’est-ce pas là finalement le contraire de la volonté d’égalité hommes-femmes distillée notamment par Marlène Schiappa, puisque la femme est distinguée de l’homme car plus faible et plus fragile ?

Nemesis : Nous sommes évidemment favorables à toutes les lois visant à protéger les femmes des violences conjugales et aux mesures prises pour éloigner les hommes violents. Nous sommes néanmoins très sceptiques quant à l’efficacité d’une politique de protection des femmes se limitant uniquement aux violences conjugales. Nous subissons une violence quotidienne inadmissible dans la rue et nous voulons que ça cesse, mais pour ça il faudrait que le gouvernement prenne des solutions drastiques contre l’immigration. Aussi nous pensons que la lutte ne se gagnera pas qu’à coups de milliards d’euros dépensés dans des associations subventionnées. Il y a des mesures concrètes et extrêmement simples et qui coûtent surement infiniment moins cher. Nous n’avons pas d’opinion sur les intentions de Marlène Schiappa, seuls les actes comptent, sa proposition d’expulser les délinquants sexuels étrangers est une très bonne proposition mais nous sommes convaincues qu’elle restera de la poudre aux yeux.

Breizh-info.com : Où êtes-vous implantées ? Comment vous rejoindre ? Quelles actions entendez-vous mener prochainement ?

Nemesis : Notre collectif s’est créé et est implanté à Paris mais nous avons des militantes et sympathisantes en province, nous sommes joignables via nos sites et réseaux sociaux. D’autres actions viendront mais nous n’en dirons pas plus :)

Retrouvez le collectif Némésis ci-dessous :

https://twitter.com/NemesisNemesi18

https://www.facebook.com/Collectif-N%C3%A9m%C3%A9sis-105086530937972/

https://www.instagram.com/parisnemesis/

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine – V

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