Que se passe-t-il dans la tête des jurés, comme souvent des juges, pour prendre de telles décisions ?
La semaine dernière, la cour d’assises des Côtes d’Armor a condamné, Ouael Haddad, 34 ans, immigré tunisien, à dix ans de réclusion criminelle, alors qu’il était jugé en appel. En première instance, à Quimper, en décembre 2018, il avait écopé de huit ans de prison, ainsi que d’une interdiction définitive du territoire français.
Les jurés ont reconnu l’individu coupable du viol d’un garçon de 5 ans, en 2016, à Brest, alors que ce monstre cambriolait par ailleurs la maison de la famille.
Mais ils n’ont pas jugé nécessaire de prononcer son interdiction définitive du territoire. Dans quelques années, « grâce » aux jurés sur cette affaire, Ouael Haddad pourra donc de nouveau sévir ailleurs en France (il est interdit pour 10 ans de séjour en Bretagne. Gageons qu’en Tunisie, les autorités l’auraient « traité » différemment…
Sur les réseaux sociaux, les réactions de colère et d’incompréhension se multiplient quant à cette décision…
Vous avez dit justice par et pour le peuple ?
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