Ce matin du 7 novembre, la circulation de la ligne 1 du tramway était coupée au niveau de la place des Lauriers. Pas pour un droit de retrait général des agents de la TAN suite à une agression, mais du fait de barricades mises en place par des délinquants cagoulés qui voulaient bloquer aussi le lycée Albert Camus attenant. Les cours ont été interrompus pour la matinée.
L’un des points de deal de Nantes les plus juteux
Sur les réseaux sociaux, on voit des vidéos qui montrent des délinquants cagoulés, dont un qui lance un cocktail Molotov sur l’entrée du bâtiment public, applaudi et soutenu par des cris « wallah ». La place des Lauriers, près de laquelle se trouve le lycée – à l’est du quartier très « sensible » de Bellevue – est l’un des points de deal de Nantes les plus juteux.
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— infoslevant (@Infos_MENA) 7 novembre 2019
Cependant, d’autant plus prompte à défendre les actions des délinquants des quartiers dits « sensibles » de Nantes car elle espère y recruter de la chair à canon pour les manifestations, l’extrême-gauche nantaise, par la voie du groupuscule Nantes Révoltée, estime que ces lycéens « fêtaient l’anniversaire d’Albert Camus ». Avec flonflons, cocktails et cagoules… Suite à ces festivités, la région, très rabat-joie, a annoncé porter plainte pour les perturbations et les dégradations.
Il n’est pourtant un secret pour personne que l’une des chevilles ouvrières de la « coordination » entre l’extrême-gauche et les quartiers, un ex-délinquant venu se mettre au vert à Nantes, habite justement pas très loin de la place des Lauriers. Un autre membre de l’extrême-gauche nantaise, volontiers favorable au BDS (boycott des produits d’Israël) et militant « racisé » musulman, vit aussi non loin. Un pur hasard, manifestement.
LM
Crédit photo :Rehtse/Wikimedia (cc)
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