À Londres, un gang de voleurs s’en est pris à un groupe de jeunes sportifs. En choisissant leurs victimes en fonction de leur couleur de peau.
Londres : les Noirs épargnés, les Blancs attaqués
Qu’il est loin le temps du Swinging London. Londres, jadis capitale de la pop culture et de la mode en Europe, a désormais des allures de capitale du crime. Et quand il ne s’agit pas d’attaques au couteau ou à l’acide, ce sont les agressions ciblant clairement les Blancs qui sont à déplorer. Des faits sur lesquels la presse britannique est bien peu diserte.
La dernière en date a eu lieu le 17 septembre au soir dans le parc de Finsbury. Un gang de 16 individus s’en est alors pris à un groupe de six jeunes sportifs âgés de 17 à 22 ans qui regagnaient leur domicile.
Selon le récit d’Adrian Klemens, entraîneur à la Dynamic Sports Academy, les athlètes se sont aperçus qu’ils étaient suivis par une personne à vélo. Il s’avérera par la suite que le cycliste en question était un membre de la bande d’assaillants envoyé en repérage. Ces derniers, armés de couteaux, vont alors encercler les six victimes. Mais seuls les trois Blancs vont être menacés, les agresseurs disant aux trois Noirs du groupe : « Vous êtes bons ».
Menaces de mort pour un téléphone
Avec ces voleurs prenant en compte le critère anti-Blanc dans le choix de leurs cibles, les trois Blancs étaient donc forcés de leur donner leur téléphone sous peine de perdre la vie : « Donnez-moi votre téléphone ou je vous poignarde ! », dira un voyou à l’une des victimes. Menaçant une nouvelle fois de mort un des Blancs qui ne parvenait pas à déverrouiller son mobile avec le code. Celui-ci parviendra à s’échapper de justesse en courant tandis que ses deux amis se verront délester de leur téléphone.
Dans ce parc londonien, aux dires d’Adrian Klemens, les forces de l’ordre sont très peu présentes tandis que la réputation du quartier n’est guère reluisante en matière de sécurité : « Je dirige cette école de sport depuis 13 ans et je n’ai jamais vu la police ».
Really worrying issue from last night. Multiple people being robbed in the park. The tolerance of drug dealing and taking and ASB around the southern end of the park must be tackled. @MPSFinsburyPark @MPSHarringay @MPSHackney @MPSIslington @CatherineWest1 https://t.co/L9muiLGcLf
— Friends of Finsbury Park (@FinsParkFriends) September 18, 2019
Quant aux profils des suspects, aucune information n’a été diffusée à leur sujet malgré la connotation raciste anti-Blanc de leurs propos. Étonnant non ?
Fisbury Park : le précédent Kasim Lewis
Cette absence de présence policière est d’autant plus édifiante que Finsbury Park a déjà été le théâtre d’un meurtre le 24 décembre 2017. Un agresseur sexuel du nom de Kasim Lewis y avait tué une barmaid de 22 ans alors qu’elle rentrait chez elle à pieds.
Le corps mutilé de Iuliana Tudos (d’origine moldave) fut retrouvé quelques jours plus tard dans le parc. Au cours de l’agression, Kasim Lewis en avait profité pour dérober la carte bancaire de sa victime et retirera de l’argent avec par la suite.
En définitive, l’affaire de cette agression sur l’équipe de jeunes sportifs vient alourdir encore un peu plus le bilan du maire Sadiq Khan en matière de sécurité. Sans que jamais la question des problèmes causées par l’immigration extra-européenne en Angleterre ne soit posée.
Crédit photo : DR
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