La problématique des viols continue à s’imposer dans la délinquance du quotidien à Nantes. En moins d’une semaine, quatre ont encore eu lieu – au moins – à Nantes. Cinq suspects, dont un mineur, ont été placés en garde à vue pour deux affaires distinctes.
Le 17 septembre dernier, deux jeunes filles de 13 et 18 ans ont été violées par deux jeunes gens qu’elles ont accepté de suivre en voiture, d’abord autour d’un supermarché puis d’une supérette, puis dans un parc. La virée a abouti dans un appartement des quartiers nord de Nantes où elles ont passé la nuit – elles connaissaient leurs agresseurs. Ceux-ci les ont enfin ramenés en voiture au petit matin, et fait une halte dans un square près de la déchetterie d’Orvault, où un adolescent et un jeune majeur sont soupçonnés d’avoir abusé des deux jeunes filles ; un troisième majeur a été arrêté par les gendarmes dans le cadre de la même affaire pour non-dénonciation. Ces deux personnes ont été présentées à un juge d’instruction en vue d’une mise en examen.
Par ailleurs, deux jeunes femmes de 21 et 22 ans venues ce 21 septembre à Nantes fêter un anniversaire ont vu leur week-end tourner au cauchemar. Draguées par des jeunes hommes en ville à Nantes, elles auraient accepté de les suivre d’abord en boîte de nuit puis dans un squat à Saint-Sébastien sur Loire. L’une d’elles a été finalement frappée, l’autre tabassée puis violée à plusieurs reprises par plusieurs hommes, après avoir été menacée avec une arme dont le canon a été enfoncé dans sa bouche et brûlée avec des cigarettes allumées.
Dimanche matin , elles ont été hospitalisées au CHU après avoir échappé à leurs violeurs présumés qui avaient quitté l’appartement du viol pendant un moment. Lundi 23, elles ont été entendues par la police – l’une d’elles s’est d’ailleurs muré dans le silence suite au choc subi. Deux suspects présumés ont été interpellés ce mardi 24 par les policiers du Raid – l’un d’eux, âgé de 23 ans, a été condamné à 21 reprises pour des infractions à la législation des stupéfiants, violences volontaires et outrages. Selon nos informations, ces suspects placés en garde à vue pour enlèvement, séquestration, viols aggravés par des actes de barbarie, seraient d’origine extra-européenne.
« Ils ont vraiment traité les victimes comme des bêtes, pire, comme de la viande », soupire un policier nantais. « Il n’est pas bien vu de divulguer les statistiques, mais en ce moment, on est à près d’un viol par jour, voire plus. Et bien souvent, les suspects sont d’origine extra-européenne, même si ce n’est pas bien vu non plus de le reconnaître ».
Louis Moulin
Crédit photos : DR
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4 réponses à “Nuits glauques à Nantes : quatre viols en une semaine”
[…] Nantes, ville du viol, au moins quatre en une semaine : « Ils ont vraiment traité les victimes comme des bêtes, pire, comme de la viande », soupire un policier nantais. « Il n’est pas bien vu de divulguer les statistiques, mais en ce moment, on est à près d’un viol par jour, voire plus. Et bien souvent, les suspects sont d’origine extra-européenne, même si ce n’est pas bien vu non plus de le reconnaître ». http://www.breizh-info.com/2019/09/25/127715/nuits-glauques-a-nantes-quatre-viols-en-une-semaine […]
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[…] Nantes, ville du viol, au moins quatre en une semaine : « Ils ont vraiment traité les victimes comme des bêtes, pire, comme de la viande », soupire un policier nantais. « Il n’est pas bien vu de divulguer les statistiques, mais en ce moment, on est à près d’un viol par jour, voire plus. Et bien souvent, les suspects sont d’origine extra-européenne, même si ce n’est pas bien vu non plus de le reconnaître ». (lien) […]