Immigration. Un référendum maintenant, ou bien la grève générale ! [L’Agora]

Emmanuel Macron se la joue grand seigneur et veut organiser un débat sur l’immigration.

En réalité, le président de la République a surtout compris que c’était le sujet de préoccupation numéro un en France et en Europe, et que son inaction en la matière (ou sa collaboration à la déferlante migratoire actuelle) allait lui jouer des tours électoraux dans les mois/années à venir, tout en plongeant le pays dans une guerre civile larvée (car se faire assassiner par un migrant dans son propre pays, comme Timothy, Mauranne, et tous les autres, c’est être une victime de la guerre civile).

Sans compter le coût économique, colossal, de l’immigration, alors que de nombreux Français crèvent de faim quotidiennement (et celui qui dit que c’est une réflexion populiste devrait vivre pendant un an comme un agriculteur dans la ruralité totalement abandonnée).

Néanmoins, sur ce sujet bien précis, le seul débat qui vaille, c’est l’organisation d’un référendum sur l’immigration. Et c’est uniquement là-dessus que toutes les forces d’opposition devraient s’agiter. Bloquer. Manifester. Paralyser le pays, tant qu’il n y aura pas eu l’organisation de ce référendum. C’est de notre avenir à tous dont il est question, de notre contrat social, de notre civilisation, de notre vivre ensemble comme ils disent.

Les Français, les Européens ont le droit de choisir avec qui ils veulent vivre, avec qui ils veulent partager la terre que leurs ancêtres ont forgée, et avec qui ils ne veulent pas vivre, pour les siècles à venir. Ils ont le droit de dire s’ils veulent vivre dans un continent majoritairement blanc et destiné à le rester, ou bien s’ils veulent se métisser de façon plus généralisée, ou bien encore s’ils veulent que les Blancs finissent par disparaître démographique dans les prochains siècles, sous les vagues démographiques venues d’ailleurs. C’est un droit bien plus essentiel que « le droit à la migration » stipulé par le pacte de Marrakech il y a quelques mois et adopté par la France. Ou que n’importe quel droit des « minorités actives » qui se déclarent chaque jour dans ce pays.

Il s’agit en effet du droit de la majorité (les Européens) à décider de leur avenir. Et balayez d’un revers de main ceux qui disent qu’un référendum sur l’immigration serait populiste, que ce serait trop compliqué en terme de questionnement. C’est faux. Le peuple doit donner les grandes lignes, les élus sont là ensuite pour faire des lois à partir des grandes lignes édictées par le peuple.

Les Français doivent être interrogés pour savoir :

  • S’ils sont théoriquement pour ou contre l’immigration, c’est-à-dire pour ou contre l’arrivée définitive de populations culturellement et ethniquement différentes, vouées à rester durablement sur le territoire, à faire venir leurs familles, et à participer à la vie de la cité.
  • S’ils veulent que la France continue d’accueillir des migrants. Si les dirigeants de la France doivent s’activer à l’Union européenne pour faire fermer les frontières et pour modifier ou supprimer les traités internationaux, ou bien, au contraire, pour ouvrir les frontières, régulariser les migrants, et appliquer les conventions internationales actuelles.
  • S’ils veulent que la France et que l’UE engagent les moyens militaires pour défendre physiquement la frontière de l’Europe lorsqu’elle est menacée par les passeurs de migrants, en donnant à l’armée toutes les consignes nécessaires pour neutraliser les passeurs tout en sauvant des vies humaines. Ou si au contraire, il faut s’accorder avec les États d’Afrique et d’Asie pour permettre à chacun de venir s’installer là où il le souhaite et réciproquement.
  • S’ils veulent que la France et que l’UE conditionnent l’aide au développement de l’Afrique et de l’Asie au retour des migrants dans leurs pays d’origine, à des mesures démographiques sévères et à la traçabilité de ces aides (flux financiers, utilisation des fonds par les gouvernants). Ou si au contraire, il faut accélérer l’aide au développement, sans condition.
  • S’ils veulent que sur un temps défini, la France et l’UE organisent militairement et humanitairement, ou pas, les conditions du retour massif dans leurs pays d’origine de millions de migrants et d’enfants de migrants installés sur le continent européen. Ce qui impliquera un effort financier massif, mais également des créations d’emplois également massives (dans l’armée, dans le secteur humanitaire et médical, dans le transport aérien…)

Tout le reste, c’est de la flûte, de la pipe, ce que vous voulez.

Exigez un référendum sur l’immigration ! Avant la prochaine élection présidentielle. C’est votre droit, c’est de l’avenir de vos enfants dont il est question. Obligez vos élus à se positionner sur la question, obligez-les à signer un papier officiel pour se prononcer pour ou contre ce référendum. Organisez-vous, et si vous n’êtes pas entendu, bloquez, paralysez, et pesez suffisamment localement pour que vos élus soient obligés de vous écouter et de faire remonter la volonté du peuple.

Wir sind das Volk, we are the people, nous sommes le peuple, somos el pueblo !

Julien Dir

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