Visitez Nantes, son château des Ducs de Bretagne, son éléphant, ses… violeurs ? La délinquance galopante de Nantes risque bientôt d’être la principale carte de visite de la ville, pour le meilleur et surtout le pire.
A égalité avec un laxisme judiciaire conséquent et une volonté délibérée de la municipalité socialiste de Johanna Rolland de faire l’autruche, contre et malgré les évidences. Ainsi, un néo-nantais tout juste embauché et installé vient d’en faire l’amère expérience.
Cet ex-militaire embauché dans une ex-administration vient tout juste de s’installer dans la capitale des Ducs de Bretagne. Et lors de sa toute première sortie en ville, sa fille s’est faite violer. Les viols de rue se multiplient, et les autorités opposent un silence coupable.
Et assourdissant. « On est à un viol de rue par jour, plus parfois », témoigne un policier nantais. Même si les statistiques officielles restent sous le boisseau, et qu’une partie des victimes refuse de déposer plainte, souvent par honte – on estime ainsi qu’un viol sur dix seulement donne lieu à une plainte.
Le 28 août dernier, un violeur était arrêté aux abords du quartier de Beaulieu. Quelques jours auparavant, il avait suivi une jeune femme dans les parkings, avait sauté dessus et l’avait violée. Sa victime l’a reconnu formellement. Selon nos informations, le violeur serait d’origine nord-africaine.
« Rien d’étonnant », commente un policier nantais. « Les violeurs interpellés sont souvent – de plus en plus souvent même en ce qui concerne les viols sur voie publique – d’origine nord-africaine ou africaine, et les victimes plutôt blanches. Il y a des migrants parmi les violeurs. Ceux qui – à la mairie et ailleurs – s’attachent à faire venir un maximum de migrants en leur faisant miroiter leur accueil inconditionnel portent une responsabilité terrible ». Un travailleur social ajoute : « Johanna Rolland est une femme. Peut-elle comprendre, elle qui se dit féministe, que grâce à sa naïveté ou ses manœuvres de basse politique, elle condamne d’autres femmes à l’angoisse et à la souffrance ? ».
Louis Moulin
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