L’ensauvagement de la France se poursuit en silence

La France croule sous les attaques, meurtres et viols sauvages. Voilà une information qui ne fait pas la Une des médias dominants, qui sera sans doute ajoutée à la liste des « fake news » par les équipes de Google et les militants d’extrême-gauche, mais la recension des actualités régionales ne laisse hélas aucun doute à ce sujet.

Les faits divers barbares sont si nombreux qu’il n’est même pas possible de tous les énumérer dans les lignes qui suivent.

Conflits ethniques entre Africains et Maghrébins à Grenoble

En août 2018, le syndicat Alliance Police Nationale parlait de Grenoble comme du Chicago français.

Au regard des derniers événements, il s’agirait plutôt du Brazzaville français, du nom de la capitale du Congo. Un homme de la communauté congolaise grenobloise a été poignardé à mort le 17 août dernier. Des Maghrébins seraient à l’origine du crime et récoltent donc désormais les menaces des Africains en colère, parmi lesquels les membres de la LDNA, la « Ligue de Défense Noire Africaine ».

Aux manifestations ont succédé les bagarres et même l’incendie d’un commerce africain. La fin de l’été pourrait être chaude dans l’Isère.

France : coups de couteaux en série

Le couteau est une arme à la portée de tous et fait des ravages en France entre certaines mains. Le 18 août, Florent, un père de famille de 35 ans qui vivait dans une petite commune du Tarn a été victime de la barbarie d’un haïtien de 21 ans lors d’une fête populaire. Le Français n’a pas survécu et le coupable a été mis en examen.

Florent Basso, victime de la barbarie, ici avec sa fille

Une attaque au couteau a également eu lieu à Montpellier le 27 août à proximité de la gare. La victime, visée à la gorge, n’a heureusement pas subi de blessures mortelles. Le même jour, un jeune homme de 23 ans n’a pas eu cette chance à Amiens, dans la Somme, où le coup de lame qui lui a été asséné lors d’une bagarre lui a été fatal.

A Narbonne, un marocain a été condamné à une peine de prison avec sursis pour avoir donné un coup de couteau à un homme maghrébin.

Les armes à feu ne sont pas en reste

Le 23 août à Avion (Pas-de-Calais), le 26 août à Avignon et le 28 août à Aubagne (Bouches du Rhône), des coups de feu étant possiblement des règlements de compte ont causé la mort de trois hommes.
D’autres cas ont été signalés à Montpellier (encore !) et Alès cette semaine mais les victimes n’ont été « que » blessées.

La Bretagne n’est pas épargnée par les conflits entre racailles puisque des tirs ont été échangés dans la nuit du 27 au 28 août dans le quartier de Kerourien, à Brest.

Agressions sexuelles en France, d’Annecy à la Réunion en passant par Nantes

Les crimes sexuels figurent parmi les plus ignobles et ne sont pas les moins fréquents, comme le démontrent l’agression survenue à Annecy le 24 août ou l’affaire du viol d’une prostituée actuellement devant la justice dans le Val-de-Marne.

Si les femmes sont les victimes principales de ces agressions, des hommes le sont aussi parfois, avec à nouveau un exemple survenu en Bretagne. Un jeune nantais de 22 ans a porté plainte pour un viol subi dans les rues de la ville en sortie de boite de nuit dans la nuit du 24 au 25 août.

Les « célébrités » sont régulièrement au cœur d’affaires sordides, qu’elles soient issues du cinéma ou du monde des affaires. En France, l’islamologue Tariq Ramadan vient d’essuyer sa troisième accusation de viol. Celui-ci se serait déroulé en réunion en 2014. La victime présumée est une journaliste d’une cinquantaine d’années.

L’île de la Réunion est actuellement le théâtre d’un procès concernant un certain Rachid.S. Nous conseillons aux âmes sensibles de ne pas lire les prochaines lignes.
Pendant huit ans, entre la métropole et la Réunion, cet homme a sexuellement torturé sa compagne. S’il lui a porté des coups de poings et des coups de pieds, ce n’était qu’un prélude aux pires atrocités. Le barbare a ainsi blessé son amie avec un sabre, un couteau, et, comble de l’horreur, l’a fait violer par des chiens. Les autres sévices ne manquent pas, comme le rapporte un site d’informations locales.

Laurent Obertone parlait longuement de l’ensauvagement généralisé du pays dans son livre La France Orange Mécanique, sorti en janvier 2013. Plus de six ans plus tard, le sujet est plus que jamais d’actualité et il semble que les dirigeants politiques comme les électeurs n’ont pas compris la gravité de la situation.

Photo d’illustration : DR
[cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

Cet article vous a plu, intrigué, ou révolté ?

PARTAGEZ L'ARTICLE POUR SOUTENIR BREIZH INFO

Les commentaires sont fermés.

ARTICLES EN LIEN OU SIMILAIRES

Immigration, International

Italie. Comment un migrant coupable du viol et du démembrement d’une jeune fille peut-il se permettre trois recours en cassation ?

Découvrir l'article

NANTES

Nantes face à la montée des violences : les quartiers chics ne sont plus épargnés

Découvrir l'article

International

La Suède envisage la déchéance de nationalité pour les binationaux impliqués dans des crimes graves

Découvrir l'article

Sociétal

France 2024 : une criminalité toujours préoccupante

Découvrir l'article

LANNION

Côtes-d’Armor : deux mineurs interpellés à Lannion, le RAID mobilisé

Découvrir l'article

QUIMPER

Quimper : des ambulanciers agressés au couteau lors d’une intervention nocturne

Découvrir l'article

Sociétal

Porno, réseaux sociaux, prostitution…l’enquête alarmante d’Omerta

Découvrir l'article

NANTES

Nantes : une joggeuse échappe à une tentative de viol par un migrant grâce à des passants courageux

Découvrir l'article

A La Une, Sociétal

Grooming gangs au Royaume-Uni : une affaire Pelicot puissance 1 000, et l’aveuglement complice des élites occidentales

Découvrir l'article

MORLAIX

Trafic de drogue à Morlaix : quand une petite ville bretonne bascule petit à petit dans la pénombre

Découvrir l'article

PARTICIPEZ AU COMBAT POUR LA RÉINFORMATION !

Faites un don et soutenez la diversité journalistique.

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur Breizh Info. Si vous continuez à utiliser le site, nous supposerons que vous êtes d'accord.

Clicky