Le parc de la Gaudinière, entre Nantes et Orvault, a-t-il cessé d’être un refuge pour les Nantais en quête d’une tranquillité de plus en plus rare ? En deux jours, deux agressions sexuelles y ont en effet eu lieu.
Le 22 août dans l’après-midi en effet, un homme de 56 ans a tenté de violer une femme âgée de 36 ans dans le parc. Après avoir entamé une longue discussion avec sa victime, il l’a attirée derrière un buisson et a commencé à la déshabiller, tandis que la victime se débattait. Mis en fuite par deux témoins alertés par ses cris, il a été interpellé peu après, en état d’ivresse. Déjà connu et incarcéré pour viol, il a tenté de recommencer… et a été écroué pour tentative de viol. Le prévenu est un majeur sous tutelle.
Selon nos informations, samedi 24 août dans l’après-midi, les policiers sont retournés dans le quartier pour une autre infraction sexuelle. Un homme âgé de 89 ans a vu un individu pénétrer chez lui dans son appartement et s’est vu imposer la vue de l’intrus en train de se masturber. Profitant de son trouble, cet individu l’a bousculé et a pris la fuite.
« Ce genre de situation arrive de plus en plus fréquemment », relève un policier nantais. « Et généralement, quand on arrive à interpeller les intrus, il s’agit d’hommes d’origine africaine ». L’enrichissement culturel, directement depuis vos télés à vos balcons.
Du reste, ces derniers mois, les viols sont devenus une problématique à part entière de la délinquance nantaise – d’autant que « nombre de viols sont commis sur des victimes blanches, tandis que les violeurs sont souvent issus de l’immigration », assène un policier nantais. « Il y a même assez régulièrement des cas de viols collectifs, y compris de nuit dans le centre-ville ».
Louis Moulin
Illustration : DR
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