Un peu plus de l’équivalent de la ville de Nantes (qui pèse 281 000 habitants). Tel est le nombre de migrants clandestins qui ont déposé une demande d’asile dans l’Union Européenne depuis le début de l’année 2019.
Un nombre en augmentation dans l’Union Européenne, de 10% si l’on compare à la période janvier-juin 2018. Cela traduit clairement une augmentation de l’immigration clandestine, puisque ces immigrés qui font des demandes d’asile pénètrent la plupart clandestinement en Europe – ce sont donc des délinquants qui violent nos lois, nos contrats sociaux et notre hospitalité.
Pour le journal Die Welt en effet, « les demandes initiales d’asile sont un bon indicateur pour estimer l’ampleur de l’immigration illégale. Il y a certes aussi des personnes rentrant sans autorisation qui ne déposent pas de demande d’asile. […] La moitié environ de ceux qu’on appelle mineurs non accompagnés (MNA) n’a pas non plus déposé de demande d’asile. Mais d’un autre côté, une partie des demandeurs d’asile rentrent légalement avec des visas touristiques ou de travail et déposent une demande d’asile à l’expiration de leur visa, au lieu de repartir. […] Les pourcentages d’acceptation des demandes faites par les demandeurs d’asile dans toute l’Europe ainsi qu’en Allemagne se situaient et se situent toujours le plus souvent entre 30 et 50 pour cent. Il ne s’agit donc majoritairement pas de réfugiés, selon les procédures d’examen des autorités nationales de l’immigration. […] »
Les demandeurs d’asile coûtent à minima 42 millions d’euros par mois aux contribuables français
Tandis que des associations dites « humanitaires » dénoncent sans arrêt – bien relayées médiatiquement – les conditions d’accueil des migrants qui se durciraient en Europe, la réalité semble toute autre : Il faut être aveugle, menteur, ou idéologue pour refuser de voir qu’à Nantes, qu’à Paris, qu’à Berlin, les populations africaines et asiatiques sont de plus en plus visibles et augmentent sans arrêt ces derniers mois, ces dernières années.
En France, outre le fait que la population autochtone se voit imposer d’autres populations sans avoir son mot à dire, avec toutes les conséquences que cela peut avoir, cela a un coût non négligeable pour le contribuable : Rien que l’allocation pour demandeurs d’asile (ADA), versée actuellement à 151 000 personnes, coûte 42 millions d’euros tous les mois (source). Cela maintient les demandeurs d’asile dans une situation d’extrême pauvreté (qui peut vivre, y compris logé, avec 278 euros par mois en France aujourd’hui ?) tout en privant la population française d’une somme d’argent qui devrait, si le pacte social et républicain était respecté, lui être destiné.
Au final, l’Union Européenne ressemble à une passoire migratoire. Avec des conséquences majeures, pour les années à venir, pour les populations autochtones, qui seront alors en droit de chercher des responsables à la baisse sensible de leur niveau de vie, de leur qualité de vie, et à leur disparition possible en tant que majorité.
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