Une femme de 75 ans avait été torturée puis saignée à mort en Allemagne en 2018. Le procès, qui a débuté il y a quelques jours, a vu comparaître quatre hommes : trois Turcs et un Africain.
Égorgée pour un permis de conduire
Voici le récit d’une affaire de meurtre sur fond d’immigration extra-européenne, à la tonalité une nouvelle fois suffocante. Jugez-en plutôt !
Fin 2018, une retraitée allemande âgée de 75 ans qui roulait depuis 26 ans sans permis de conduire avait souhaiter se procurer (enfin) le précieux document. La veuve, résidant près d’Osnabrück, dans le Land de Basse-Saxe, avait fait appel à des connaissances pour acheter un faux permis. C’est alors qu’elle va rencontrer quatre individus qui lui factureront ce dernier 4 800 euros. Le 14 décembre, le rendez-vous est convenu à Cologne pour que la femme récupère son sésame routier. Mais les choses vont tourner au drame.
Les quatre individus séquestrent alors la femme dans l’appartement qu’ils avaient loué pour l’occasion. Puis commence un long calvaire pour la victime qui va être sauvagement torturée des heures durant. La retraitée sera ensuite assommée puis transportée à l’aide d’une voiture de location à Hasbergen (près d’Osnabrück). Les sévices reprendront de plus belle avant qu’elle ne soit égorgée avec une bouteille cassée. Elle se videra de son sang jusqu’à ce que mort s’en suive.
Lors de l’autopsie, les médecins légistes feront état de blessures sur tout le corps de la victime, avec notamment des côtes cassées et des blessures à la tête.
Trois Turcs et un Africain inculpés
Sous la torture, les quatre criminels avaient réussi à obtenir de la part de la septuagénaire les codes des cartes de ses deux comptes bancaires. Lesquels avaient donc ensuite été vidés par la bande. C’est par l’intermédiaire des caméras de surveillance que deux membres de l’équipe avaient pu être identifiés.
Le procès des quatre assassins, à savoir Ramazan B. (43 ans), Enoma E. (25 ans), Mert N. (24 ans) et Kahraman P. (35 ans), s’est donc ouvert il y a quelques jours devant le tribunal d’Osnabrück. Parmi eux, se trouve un individu issu de l’immigration africaine, plus précisément nigériane. Tandis que les trois autres appartiennent à la communauté turque.
Dans cette sinistre histoire, n’en déplaise à Angela Merkel et à tous les pro-migrants que compte le pays, c’est davantage l’Allemagne (par l’intermédiaire de cette femme torturée et égorgée) qui a été source d’enrichissement pour ces immigrés extra-européens que l’inverse…
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