Tandis qu’il résidait dans un centre allemand pour demandeurs d’asile, un migrant africain a saccagé les voitures des employés. Un retour de bâton au sens littéral…
Le migrant africain détruit les voitures de ses bienfaiteurs
C’est une information qui aurait presque sa place en rubrique « insolite » si les enseignements à en tirer n’étaient pas aussi inquiétants. En Allemagne, un demandeur d’asile africain de 19 ans s’en est soudainement pris aux véhicules stationnés sur le parking du centre pour migrants qui l’avait hébergé. Un lieu qui abrite 750 demandeurs d’asile en provenance du Nigeria et de Turquie.
Une vidéo de la scène, qui s’est déroulée le 11 juillet à Donauwörth, dans le Land de Bavière, montre l’extra-européen en question briser les vitres des voitures des employés de l’établissement à l’aide d’un morceau de bois. La police a par ailleurs confirmé l’authenticité des enregistrements. Voilà une étrange façon de remercier le personnel en charge de s’occuper des migrants.
Originaire du Nigéria, l’individu a ainsi dégradé les pare-brises et les vitres arrière de quelques douze automobiles. Le service de sécurité des lieux a visiblement mis un certain temps à réagir. Après avoir été arrêté, il a été conduit à l’hôpital pour un examen médical.
Le migrant extra-européen s’est aussi autorisé à sauter sur les capots des véhicules, contribuant encore un peu plus au tragi-comique de l’improbable scène. Toutefois, la facture totale des dégâts matériels engendrés par la « prestation » de l’Africain est beaucoup moins drôle puisqu’elle a été évaluée à 50 000 euros.
Selon les autorités, impossible à l’heure actuelle de trouver une explication rationnelle à cet acte. Le Nigérian ne résidait plus dans le centre de Donauwörth depuis le mois d’avril dernier et était désormais logé dans une succursale à Augsbourg, à quelques dizaines de kilomètres de là.
Pour sa part, le quotidien allemand Bild donne la parole à une certaine Sybille Jakob (48 ans), en charge de s’occuper des migrants arrivant au centre, pour tenter de comprendre la violence de l’Africain. La réponse de la femme donne matière à réflexion : « Je pense que c’était un acte désespéré. Le jeune homme veut retourner au Nigeria. Mais on lui a refusé la permission de partir. Par conséquent, il devait être en colère et bouleversé. »
Si seulement le gouvernement d’Angela Merkel pouvait revoir sa politique et lui donner satisfaction…
Crédit photo : Capture YouTube
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