10 bonnes raisons de tout faire pour empêcher le Seawatch d’accoster en Europe

La presse mainstream, sponsorisée par les gouvernements occidentaux, mène actuellement une intense campagne de propagande en faveur du Seawatch et de sa capitaine, qui a fait une véritable déclaration de guerre à l’Italie avec son navire en pénétrant malgré l’interdiction dans les eaux italiennes. Un viol en règle de la souveraineté du pays et de la volonté du peuple italien de ne pas accueillir de migrants africains.

Il y’a dans tous les cas de nombreuses raisons de tout faire pour empêcher, par tous les moyens, le Seawatch d’accoster en Europe. Voici 10 arguments à jeter à la figure de tous ceux qui prétendent que vous êtes des monstres parce que vous refusez d’ouvrir vos portes à des gens que vous n’avez pas invités.

  • Hier l’Aquarius, aujourd’hui le Seawatch, et demain ? Il ne se passe plus un mois sans que des bateaux arrivent en Europe et que nos services de secours doivent s’occuper des hommes et des femmes, jetés sur ces bateaux par des réseaux esclavagistes africains, avec la bénédiction de nos autorités qui se refusent à les anéantir militairement, et avec la complicité d’idiots utiles qui estiment que l’Europe appartient au monde entier. Ne pas laisser rentrer le Seawatch, l’obliger à faire demi-tour et, en dernier recours, le couler serait montrer un message fort au monde entier. On ne passe plus. Et si vous tentez le passage, vous assumerez les conséquences sans entrainer la moindre culpabilisation chez les Européens.
  • Les premiers secours, certainement. Puis demi-tour, et retour en Afrique. Mais ce n’est pas ce qui se passe. Les Africains qui débarquent pour être soignés — à nos frais il faut le rappeler — ne sont pas renvoyés immédiatement en Afrique. Certains déposent des demandes d’asile. D’autres s’échappent. D’autres profitent de l’imbroglio entre les pays européens pour se fondre dans la masse des migrants qui se massent, à Paris, à Rome, mais aussi maintenant, à Nantes ou dans de nombreuses autres métropoles d’Europe.
  • Le droit d’asile hérité du 20e siècle n’a plus lieu d’être à notre époque. Les traités sont faits pour être modifiés, défaits, réécrits. La plupart des migrants qui arrivent ne fuient pas des pays en guerre. Et quand bien même ? Ce ne sont pas aux Européens, qui ont été chassés d’Afrique il y a plusieurs décennies, de subir les conséquences de l’instabilité chronique de nombreux pays du continent africain. Que l’Afrique se prenne en main et prenne en main ses enfants, toute seule, sans notre aide, comme des grands, sans colonialisme. Et qu’en contrepartie, nos entreprises en Afrique quittent le continent et cessent de le piller.
  • La majorité de ceux qui fuient le font pour des raisons économiques. Pas pour la guerre. En les acceptant chez nous, nous mettons en péril nos propres économies, nos propres contrats sociaux, nos propres conditions de vivre ensemble. Car si les hommes ont toujours décidé avec qui ils voulaient vivre et construire, et avec qui ils voulaient faire la guerre, mais aussi avec qui ils voulaient ne pas avoir de contact. C’est notre liberté fondamentale que de choisir avec qui nous voulons vivre, sur notre terre, et avec qui nous ne voulons pas vivre. L’argument climatique ne tient pas. Il y a de nombreuses terres en Afrique, immense continent, sans sécheresse. Le seul conseil que les Européens devraient donner aux Africains : arrêtez de faire des enfants en masse. Usez de la contraception. Réduisez vos populations. Vivez heureux chez vous.
  • Notre vivre ensemble est menacé. Ceux qui vous disent qu’il y a autant d’immigrés en Europe aujourd’hui qu’hier sont des menteurs. Il n’y a jamais eu autant d’Africains et d’Asiatiques en Europe avant ces vingt dernières années. L’immigration de masse extra européenne est un phénomène récent. Le mélange forcé de populations sans rien en commun additionné à la crise économique et sociale qui jette des milliers de gens dans la rue, dans des logements précaires, pousse-au-crime, à la violence, à la délinquance. À chaque jour son exemple de « réfugié » violeur, de mineurs isolés voleurs et agresseurs, d’histoires aussi sordides les unes que les autres. La criminalité existe aussi chez les Européens. Mais l’immigration extraeuropéenne la fait augmenter, avec des proportions qui ne sont pas acceptables pour des gens qui n’ont même pas été invités à venir. Que direz-vous à vos enfants demain, tabassés pour une cigarette refusée, violé pour un regard ou une tenue vestimentaire, massacrés parce que l’assassin aura été scolarisé et éduqué dans la haine permanente du blanc ?
  • L’homme blanc est menacé de disparition à moyen terme. Si comme le pronostiquent certains scientifiques, des millions d’Africains et d’Asiatiques sont autorisés, demain, à rentrer dans nos pays, alors l’homme et la femme blanche d’Europe, disparaitront, à moyen terme de leur propre berceau. Combien de quartiers en France, en Angleterre, en Belgique qui sont déjà, majoritairement, extraeuropéennes ? Est-on vraiment obligé et condamné à accepter de disparaitre sans rien dire, et même en applaudissant ?
  • L’Europe peut enfin montrer qu’elle est une puissance mondiale qui compte. En unissant ses armées. En créant une force qui empêche à tout individu de pénétrer sur son sol. En disant au monde entier que notre continent n’est pas une grande décharge à ciel ouvert dans laquelle le monde entier peut venir se déverser, voici un geste fort qui unirait les Européens. Qui contribuerait également à ce qu’ils n’oublient pas qui ils sont, et ce qui les différencie des autres. En nous montrant fermes aujourd’hui, nous épargnerons la sueur et le sang. Qu’ils sont odieux, ces hypocrites qui montrent des photos de migrants morts ou qui appellent à l’accueil inconditionnel, eux qui, demain, se laveront les mains quand les rues de nos villes seront ensanglantées.
  • Les Européens n’ont pas à culpabiliser du sort de « l’autre ». La majorité d’entre nous est investie, dans le secteur associatif, dans le secteur humanitaire, dans le secteur sportif, culturel, éducatif. Il ne faut pas hésiter à montrer son ras-le-bol face à ceux qui nous accusent d’être des égoïstes ou des salopards indifférents au sort de l’autre. C’est un mensonge. Nous ne sommes pas des BHL ou des Soros qui prennent les pays pour des hôtels au gré de leurs voyages qui coûtent plus pour le dérèglement climatique que votre aller-retour quotidien pour aller au travail pour un salaire de misère. Si aujourd’hui,  nous sommes enviés par le monde entier, c’est parce qu’avant nous, nos ancêtres se sont retroussés les manches, ont travaillé, ont eu des idées, ont transmis. Pas les autres, les nôtres. Libre aux autres de le faire chez eux. Libre à nous de profiter de nos acquis, chez nous. La Sécurité sociale en France, sans doute la plus belle idée avec l’école gratuite, n’existera plus, le jour où le monde entier pourra y prétendre sans même avoir commencé à cotiser un centime. Pensez-y.
  • La détestation des gauchistes pour qui ils sont, leur ethnomasochisme, ne doit pas devenir contagieux. Les mêmes qui défendent l’accueil inconditionnel des migrants se retrouvent à défendre les « droits des minorités », organisent des camps « racisés », manifestent pour les « LGBT » et veulent imposer une société sans sexe, sans race, indifférenciée et au final, totalement individualiste. Ils sont dangereux, ils sont contagieux. L’oligarchie médiatique les fait passer, idiots utiles qu’ils sont, pour les « gentils ». Le système a besoin d’eux pour aboutir à un monde de robots qui consomment, travaillent, se taisent. Il faut les empêcher de parvenir à l’avènement de ce monde absurde.

Pour toutes ces raisons, et pour sans doute bien d’autres encore, il faut refuser que le SeaWatch débarque sur nos terres. Salvini a raison, il doit aller plus loin. Ils sont des millions d’Européens à espérer, derrière lui, derrière Orban, derrière les grands leaders qui ont osé dire stop à l’immigration-invasion du territoire européen.

Ne nous décevez pas messieurs, vos peuples comptent sur vous ! À l’abordage !

Julien Dir

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