Sacrée surprise ! (Ironie quand tu nous tiens…) Le risque d’accident vasculaire cérébral ou même d’infarctus augmenterait en mangeant mal, c’est à dire en mangeant des produits transformés. C’est ce qu’indiquent les conclusions d’une étude de l’Inserm, publiée jeudi. Cette étude, qui s’est penchée sur les aliments qu’on appelle « ultra-transformés », porte sur plus de 100 000 Français volontaires qui participent régulièrement au projet Nutrinet-Santé.
L’étude à découvrir en intégralité ici
Sodas, barres chocolatées, plats cuisinés, il va falloir songer à arrêter tout cela et à repasser à une alimentation plus saine. Les industriels qui vendent ces plats depuis des années eux, ne seront, comme d’habitude, pas inquiétés.
« L’étude ne permet pas à elle seule de conclure à un lien de cause à effet, mais l’association entre aliments ultra-transformés et risque de maladies cardiovasculaires est statistiquement significative en tenant compte des autres caractéristiques des participants (tabac, alcool, niveau d’activité physique, statut socio-économique, âge, sexe, poids, etc.) », explique le Dr Mathilde Touvier, en charge de l’étude de l’Inserm.
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