Un exemple, parmi tant d’autres, du laxisme extraordinaire dont fait preuve la justice en France vis-à-vis des migrants, et des immigrés clandestins. Presque une histoire belge, aux conséquences potentiellement dramatiques pour la population autochtone. Un Ivoirien de 25 ans a été condamné cette semaine à Rennes à de la prison avec sursis pour avoir fait obstacle à son expulsion, ce dernier étant en situation irrégulière. À l’issue du jugement… ce dernier, par ailleurs dérangé mentalement, a été remis en liberté dans les rues de Rennes.
Cet immigré s’était déjà retrouvé devant le tribunal en janvier 2019, soupçonné d’agression sexuelle et d’exhibition, deux charges non retenues contre lui, malgré le fait que les experts psychiatres aient diagnostiqué chez lui une maladie mentale et aient fait une demande d’internement en hôpital psychiatrique.
Puis dans la foulée, ce dernier, en situation irrégulière, a été appréhendé par la police aux frontières, amené au CRA, en attente d’expulsion (des procédures extrêmement lentes qui freinent les expulsions et permettent aux associations pro-migrants qui soutiennent ce genre d’individu de faire barrage aux expulsions). L’individu a par la suite fait obstacle à son expulsion, ce qui lui valait d’être renvoyé en correctionnelle cette semaine après un mois passé en détention préventive.
Au final, contre les réquisitions du parquet qui avait requis trois mois de prison ferme, l’Ivoirien est condamné à trois mois de prison avec sursis, puis a été libéré dans la foulée, alors même qu’il est en situation irrégulière sur le territoire. Un scénario ubuesque, qui le mènera sans doute, lors d’un prochain contrôle, à un retour au centre de rétention administrative.
Dans la société du spectacle, de l’émotion, et des traités internationaux anciens qui nous régissent, des scénarios de plus en plus rocambolesques entraînent le maintien sur notre territoire d’individus n’ayant absolument rien à y faire, individus il est vrai parfois aidés par des associations qui font de l’immigration leur fond de commerce. « Le droit qui était censé régir notre contrat social et les fondements de nos sociétés en France mais aussi en Europe sert aujourd’hui à d’autres qui n’ont pas été invités dans nos pays, parfois même contre ceux qu’il est censé protéger, c’est tout simplement fou » nous glisse un avocat finistérien.
[cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine – V