À Birmingham (Angleterre), un homme d’origine extra-européenne de 23 ans a été reconnu coupable de viol sur un cadavre dans un funérarium. Il vient d’écoper d’une peine de six ans de prison.
Funérarium cambriolé
Les faits remontent au 11 novembre 2018. Au cours de la nuit, un individu s’introduit dans un funérarium de Birmingham, ville du centre de l’Angleterre. Sous l’emprise de drogues et d’alcool, l’homme ambitionne alors de cambrioler les lieux sans savoir précisément dans quel type de bâtiment il se trouve. C’est en tous cas ce qu’il a déclaré à la police. Une fois à l’intérieur, il s’aperçoit de la présence de neuf cercueils. Des cercueils qu’il ouvrira les uns après les autres, projetant même l’un des corps au sol.
Parmi les corps placés dans ces cercueils, se trouvait notamment celui d’un nourrisson. Mais la démence du cambrioleur le conduit à commettre un acte bien plus abjecte encore : retirant les sous-vêtements d’une femme décédée, l’individu a ensuite commis un viol sur cette dernière.
Un extra-européen de 23 ans
Tandis que le pervers commet ses basses oeuvres, la police, qui a été alertée par l’alarme du funérarium, est arrivée sur place et a procédé à son arrestation. L’homme en question, d’origine extra-européenne, est âgé de 23 ans et répond au nom de Kasim Shazada Khurum.
Jugé à Birmingham le 19 décembre dernier, il a écopé d’une peine de six ans de prison le 1er février après avoir plaidé coupable des accusations de viol avec pénétration sur un cadavre et de cambriolage qui avaient été formulées contre lui. L’évocation des faits en détail lors du procès de Kasim Shazada Khurum avait été particulièrement insoutenable pour la famille de la femme décédée et abusée sexuellement. Une famille qui avait donc dû, en plus du deuil, faire face à cette seconde tragédie.
Selon les experts en psychiatrie intervenus au cours de l’enquête, le violeur du funérarium, arborant un drapeau palestinien tatoué dans le cou, serait un homme au comportement « perturbé » et à la personnalité « psychotique et maniaque ». Ce qui n’est pas sans rappeler les nombreuses affaires impliquant des djihadistes (potentiels ou avérés) ces dernières années : la culpabilité de ceux-ci étant généralement relativisée du fait de leur statut de « déséquilibré »…
Crédit photos : Pixabay (Pixabay License/succo)
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