En Suède, un Afghan de 17 ans a été reconnu coupable de viol sur une jeune fille de 15 ans. Il avait optenu l’asile l’année dernière… en prétextant le risque d’être violé en Afghanistan.
Asile en Suède l’année dernière
Le 23 novembre dernier, deux migrants afghans ont été reconnus coupables de viol aggravé sur une adolescente de 15 ans. Les faits se sont déroulés le 2 septembre 2018, à côté de la gare centrale de Stockholm. L’un des deux hommes se nomme Rohollah Karimi et est âgé de 17 ans. Il avait obtenu un permis de séjour à peine un an auparavant en déclarant craindre d’être victime d’agression sexuelle dans son pays d’origine, l’Afghanistan.
Lors du procès, il a d’ailleurs raconté en détail la tradition afghane très répandue des « bacha bazi« , (signifiant littéralement « jouer avec les enfants »), une coutume qui a pour principe de mettre en vente de très jeunes danseurs (âgés de 6 à 16 ans) déguisés en filles et n’ayant pas encore atteint le stade de la puberté.
Pas d’expulsion pour le tribunal
Malgré la demande d’expulsion du procureur, le tribunal de district de Stockholm a considéré que la menace qui pèse sur ce migrant violeur est toujours d’actualité en Afghanistan et qu’il peut donc rester en Suède. De plus, il a été condamné à un placement de dix mois en institution. Son comparse, Mahdi Mohammadi, 19 ans, a été condamné à deux ans et six mois de prison. Il sera également expulsé de Suède, mais pourra y revenir dans dix ans, en 2028.
Par ailleurs, le verdict a indiqué que ce Mahdi Mohammadi avait menti sur son âge à l’Agence suédoise des migrations et aurait donc dû être expulsé bien avant que ce sinsitre viol ne survienne.
Appâtées avec de la drogue
Quant au déroulement de la scène de viol de ce tragique 2 septembre, les deux extra-européens ont offert un « joint » à la victime tandis qu’elle rentrait chez elle après une fête accompagnée d’une amie âgée de 16 ans. Les deux jeunes filles s’étaient mises en quête de cigarettes dans les environs de la gare avant de prendre leur train. Lors de leur rencontre avec les deux coupables et un troisième homme, ces derniers leur proposeront du haschisch et iront fumer avec elles.
Peu de temps après, les filles ont voulu quitter les lieux et ont commencé à marcher, mais ont été arrêtées par les migrants qui sont devenus agressifs. Ils ont réclamé de l’argent pour la drogue, ce que les filles n’avaient pas. Ensuite, ils ont appelé les filles à laisser leur téléphone portable, leurs écouteurs, leurs vestes, leurs cartes bancaires et leurs chaussures. Ils sont devenus de plus en plus énervés et ont fini par retenir l’adolescente de 15 ans tandis que son amie a réussi à s’enfuire.
Aux mains des migrants, la jeune fille sera alors victime d’un viol collectif et la police arrivera malheureusement trop tard sur les lieux. Un récit devenu presque commun dans une Suède où les ravages de l’immigration extra-européenne jaillissent de plus en plus fréquemment dans l’actualité.
Crédit photos : Pixabay (CC0/markzfilter) (photo d’illustration)
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