La France est en train de crever, et vous vous taisez ! Le terrible réquisitoire de Pierre Cassen contre ses anciens camarades

Breizh-info a présenté le livre choc de Pierre Cassen « Et la gauche devint la putain de l’Islam ». Nous avions évoqué la conclusion du livre, véritable « J’accuse » à l’attention de ses anciens camarades de gauche. En exclusivité pour Breizh-info, Pierre Cassen a accepté que nous vous proposions ce texte, cinglant.

J’ai eu la chance de connaître un pays extraordinaire, la France, durant les Trente Glorieuses.

Quand j’ai commencé à travailler, le chômage n’existait pas. J’ai rencontré nombre de typographes qui se vantaient d’avoir eu trois employeurs dans la journée, les deux premiers ne leur ayant pas convenu.

Nous avions une école publique exceptionnelle. Nous ne faisions pas de fautes d’orthographe, et si on en faisait cinq, on avait zéro. Les enseignants étaient respectés, et soutenus par les parents, même quand ils donnaient une gifle à un élève insolent. Nous apprenions à compter, le calcul mental et l’histoire de notre pays. Nous sortions de l’école avec une excellente culture générale.

Nous respections nos parents, les enfants respectaient les adultes. Les hommes laissaient leur place dans les transports aux femmes, et leur tenaient la porte, à la sortie d’un magasin

Nos villes étaient humaines, avec plein de petites entreprises et de petites boutiques au cœur de la commune.

Nous avions des médecins de ville dans toutes les communes de France, et quand on allait aux urgences, à l’hôpital, on passait tout de suite.

Nous avions des familles unies, même si le quotidien n’était pas toujours des plus roses. Il y avait une liberté de parole exceptionnelle, qui faisait que la France était enviée dans le monde entier.

Les délinquants étaient fort rares, et ils étaient immédiatement rejetés par leur ville ou leur quartier.

L’État était respecté, parce que respectable. La France était la quatrième puissance au monde.

Nous avions des artistes extraordinaires, qu’ils soient chanteurs ou acteurs, que le monde entier s’arrachait.

Enfants, nous admirions nos parents ou nos grands-parents, quand ils disaient le tango ou la valse.

Nos paysages étaient magnifiques. La France était enviée par le monde entier. C’était avant.

Bien sûr, tout n’était parfait. Les femmes étaient dans l’angoisse des maternités non désirées. Souvent, elles étaient dépendantes de leur mari, et n’avaient pas les moyens financiers de s’émanciper de cette tutelle. Le temps libre n’était pas aussi important que maintenant. Mais cela fait partie des choses qui évoluent avec le temps, comme tous les progrès sociaux.

Je sais par ailleurs apprécier nombre de nouveautés de la vie moderne, je ne souhaite pas rester à la bougie. Les téléphones portables sont une invention exceptionnelle, à mettre au mérite du génie de l’homme. Ce n’est pas moi qui vais me plaindre de l’apport d’Internet, ni du fait qu’à présent, presque chaque couple, n’en déplaise aux écolos, a deux voitures. Les TGV qui nous amènent de Paris à Marseille sont la réussite d’une technologie exceptionnelle. Les progrès de l’aéronautique, et la facilité de prendre l’avion, réservée avant à une élite. Les progrès de la médecine, qui font que l’espérance de vie progresse tous les ans. Mais on peut apprécier la modernité, et détester les changements de mentalité qui se déroulent depuis quarante ans.

Lentement, méthodiquement, vous avez bousillé tous les fondamentaux de la France. Vous avez reçu un héritage exceptionnel, et, comme des enfants gâtés, vous avez cassé le jouet de Noël que vos parents vous avaient offert, au prix de beaucoup de sacrifices. Vous, ce sont les douze personnes dont j’ai fait le portrait, qui incarnent, chacun dans son rôle, un rouage de ce mécanisme de destruction massive du pays auquel nous assistons. Vos compères de droite vous ont bien aidés, parce qu’ils ont capitulé devant votre pression permanente.

Mais de la droite, on n’en attend rien, c’est de vous que venait l’espoir.

Je n’avais pas compris que vous n’aimiez plus votre pays, un rejet accentué par la culture de mai 68.

Je n’avais pas compris que vous alliez entreprendre un travail de déconstruction de tous nos fondamentaux, comme un gigantesque lavage de cerveau de masse.

Je n’avais pas compris que le nouveau discours allait nous expliquer que la Nation, c’était la guerre, les frontières, des prisons, et que nous étions tous des citoyens du monde, et plus du tout des Français.

Je n’avais pas compris que le Bien, ce serait l’ouverture à l’autre, et le Mal, l’envie de vivre entre soi. Et que ce serait obligatoire.

Je n’avais pas compris qu’après avoir interdit le mot « racisme », la prochaine étape, au nom de l’égalité et de la non-discrimination, serait l’interdiction du mot « étranger ».

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Je n’avais pas compris que si vous haïssiez le catholicisme, vous étiez fasciné par l’islam, comme vous fûtes hier fascinés par le communisme. Vous aimez les modèles totalitaires.

Vous avez donc décidé, vous qui avez couvert les crimes staliniens, qui ont fait, hélas, bien plus de victimes que ceux du nazisme, que tous ceux qui n’étaient pas d’accord avec vous étaient forcément des nostalgiques d’Adolf Hitler. Et qu’il fallait donc les éradiquer par n’importe quelle méthode, pour que « la Bête immonde et son ventre fécond » ne reviennent jamais.

Vous avez donc abandonné la Nation et le bleu-blanc-rouge au seul Front national, et vous en avez conclu que tous ceux qui défendaient la France étaient forcément des fascistes et des nazis.

Vous avez noyauté tout l’appareil d’État. La justice, la presse, l’Éducation nationale, la police, l’université, les associations, les ONG… Avec le même discours sur le racisme supposé des Français, le devoir d’ouverture à l’autre, pour la mise en place d’une société multiculturelle qui allait permettre le « Vivre-ensemble ».

Que dire de vos artistes d’État ? Gavés de subventions, eux, ils ont eu droit au protectionnisme que vous avez refusé aux ouvriers. Ils vous remercient, en jouant les humanitaires et en sommant les Français d’accueillir des migrants, encore et encore, à coups de pétition et de déclarations larmoyantes. Clandestins qu’ils se gardent bien d’accueillir dans leurs somptueuses villas. Pour vos potes, la soupe est bonne, et vous avez ainsi vos obligés.

Vous avez affaibli méthodiquement l’armée française.

Votre mépris du travail manuel vous a amenés à l’imbécilité des 80 % de bacheliers, aujourd’hui 90 %, dont la plus grande partie n’aurait pas eu le certificat d’études de nos parents et grands-parents. Et plus les élèves font de fautes, plus le pourcentage de reçus au bac augmente. Vous maintenez à l’école des gamins qui seraient mieux au travail.

Vous avez saccagé les paysages français avec vos horribles éoliennes, un véritable scandale d’État, comme l’explique fort bien Alban d’Arguin dans un ouvrage à lire absolument. Vous faites profiter les entreprises privées de vos copains écolos, et ce sont les contribuables français qui paient une énergie quatre fois plus cher que le prix du kilowatt-heure fourni par les centrales nucléaires.

Vous avez enlaidi nos entrées de villes, toutes uniformisées, avec ces grands hangars à l’américaine, et transformé nos centres-villes en déserts, où il reste des banques, des agences immobilières et de la restauration rapide, sans oublier les restaurants étrangers, souvent halal.

Vous avez laissé les tagueurs saccager nos centre-villes, nos gares, nos trains, nos métros, montrant une capitulation de l’Etat devant cette conquête de l’espace public.

Dans le même esprit, à cause de la loi Duflot, imposant 25 % de logements sociaux à toutes les communes de plus de 3500 habitants (sachant que selon vos critères, les logements sociaux sont rarement attribués à des jeunes travailleurs ou à des modestes retraités), vous avez transformé des paisibles petites villes de province ou de banlieue parisienne en communes se rapprochant des pratiques du 93.

Vous avez brisé notre liberté d’expression si chère, qui faisait la fierté de la culture française. Vous traitez les dissidents comme s’ils étaient des gibiers de potence à rééduquer d’urgence, et à faire taire au plus vite. Vos avocaillons de l’antiracisme rappellent, par leurs discours haineux, les grands procureurs de Staline, Wichynski et Béria, avec qui ils auraient fait merveille.

Vous avez décidé, en utilisant des miliciens gauchistes à qui vous accordez tous les droits, de réprimer par la violence ceux qui osent ne pas penser comme vous, sur la souveraineté du pays, sa politique migratoire et l’islam.

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Vous avez laissé crever des milliers de SDF, trop blancs, trop français, pour qui vous n’avez pas consacré le centième de ce que vous consacrez à ceux que vous appelez les migrants.

Vous avez imposé aux Français 11 millions de musulmans, en 40 ans, qui seront bientôt, par la démographie, 20 millions dans quelques années, puis suffisamment nombreux pour être majoritaires et transformer la France en terre d’islam.

Vous avez poussé, de manière irresponsable ou criminelle, pour qu’ils rentrent dans la police, dans l’armée, à la SNCF, à la RATP, dans la sécurité, et même dans certains cas dans des centrales nucléaires, ou comme bagagistes à Air France, quitte à découvrir après, que certains étaient vraiment dangereux.

Le principe de précaution, avec lequel vos écologistes obscurantistes s’opposent à tout progrès scientifique, ne s’appliquera jamais pour protéger notre sécurité, menacée par des djihadistes potentiels.

Vous avez imposé aux Français tout ce qui va avec l’islam, même si c’était incompatible avec la France. À cause de vous, nous subissons l’uniforme islamique, voile et djellaba. À cause de vous, une nouvelle mosquée se construit toutes les semaines dans notre pays. À cause de vous, les commerces communautaristes remplacent les boutiques françaises, accélérant la halalisation de la France. À cause de vous, la mixité est remise en question, et des médecins hommes sont agressés par des maris qui leur interdisent d’examiner une de leurs épouses. À cause de vous, tous les ans, la France doit vivre un mois au rythme du ramadan.

Vous avez abandonné toutes les valeurs de la gauche, et votre trahison est aujourd’hui éclatante.

Vous avez abandonné le salariat français. Non seulement vous avez bloqué nos salaires, tout en augmentant les allocations des oisifs, mais vous avez détruit la valeur travail, préférant faire venir, notamment sur les chantiers, un nombre énorme de travailleurs immigrés, souvent payés à bas prix, sans que cela ne vous pose le moindre problème. C’est juste la politique de l’Union européenne, que vous défendez bec et ongles, refusant tout protectionnisme, appelé du repli ! Vous avez préféré enfermer les Français dans un chômage de masse et dans l’assistanat, pendant que les employeurs avaient leurs nouveaux esclaves.

Vous avez passé votre temps à rogner les salaires, et à augmenter l’assistanat. Vous avez réussi à ce qu’un smicard gagne moins, à la fin du mois, qu’un Rmiste avec toutes les exonérations et primes qu’il touche.

Vous volez nos cotisations sociales pour les donner aux nouveaux venus. Vous volez nos gymnases, construits avec nos impôts pour nos enfants ou les associations sportives, pour y coller des clandestins. Vous volez nos logements sociaux, payés avec nos impôts, pour y appliquer une préférence étrangère, au détriment de nos familles.

Vous avez mis fin à l’ascenseur social, dans nos entreprises, pour donner du travail à vos copains des grandes écoles. Avant, un ouvrier, au fil des années, montait dans la hiérarchie, je l’ai vu avec mon père. Maintenant, il reste ouvrier tout au long de sa vie.

Vous avez brisé notre école publique, avec vos pédagogistes et à cause d’une immigration trop nombreuse, et sans assimilation. Celle qui permettait à des fils d’ouvrier, comme Henri Guaino par exemple, de finir dans les grandes écoles, ou de piloter des grandes entreprises. Aujourd’hui, avec ce qu’est devenue une école où on ne transmet plus de savoir, où plus aucune discipline n’est possible, les enfants de parents d’origine modeste n’ont plus aucune chance de s’en sortir. Comment voulez-vous apprendre dans une classe où une racaille de 16 ans braque une enseignante, sous le rire des autres élèves. Nos gosses ne savent plus écrire, ne savent plus compter, et ignorent l’Histoire de notre pays. Vous préférez leur laver le cerveau avec l’obligation d’accueil et des histoires comme « Papa porte une robe » que de leur apprendre à écrire, lire et compter. Vous avez rétabli l’ordre des puissants, seuls les enfants de la caste peuvent accéder aux écoles qui préparent les élites de demain.

Et comme si cela ne suffisait pas, vous envisagez, au nom de la mixité sociale, d’imposer 20 % d’enfants des quartiers, comme on dit, à toutes les écoles. Sans doute pour couler définitivement les derniers lieux scolaires préservés…

Pour détruire encore davantage la langue française, vous voulez maintenant nous imposer l’écriture inclusive, pour détruire encore davantage notre langue.

Vous osez envoyer sur les plateaux vos pédagogistes fous, Philippe Meirieu en tête, qui osait mentir grossièrement aux Français, en racontant que le niveau des élèves montait, alors que la France reculait tous les ans au classement Pisa, indice évaluant le niveau des élèves du monde entier.

Vous avez protégé, au nom d’une prétendue protection des mineurs, loi qui datait de 1945, des milliers de psychopathes, certains de leur impunité. Le gamin de 16 ans qui braque une enseignante à Créteil, c’est votre œuvre.

Vous avez laissé les intégristes de la sécurité routière pourrir la vie des automobilistes, avec le permis à points, les racketter honteusement, avec les radars. Vous vous en foutez, vous vivez dans les centres-villes, et vous prenez vos vélos de bobos ou le taxi. À cause de vous, des dizaines de milliers de Français, privés de permis de conduire, doivent aller travailler en voiture, en espérant qu’il ne leur arrive rien. Après avoir réduit la vitesse à 80 km/h sur les départementales, vous allez nous coller des radars de 4 mètres de haut, capables de flasher 32 voitures en même temps ! À cause de vous, conduire, qui était avant un plaisir, est devenu une angoisse quotidienne pour des millions des nôtres.

Bientôt, vous allez interdire aux Français de boire le moindre verre avant de prendre leur voiture, mais par contre vous ouvrez des salles de shoot dans Paris, pour vos bobos dégénérés, et vous voulez régulariser le cannabis, qui rend nos jeunes encore plus avachis qu’il ne le sont déjà.

Vous voulez en finir avec les automobilistes, coupables de préférer leur voiture à vos transports en commun si bien fréquentés, souvent en retard, tagués de partout avec des banquettes éventrées. Sous la pression de l’Union européenne, vous multipliez les obstacles pour les contrôles techniques, qui coûtent de plus en plus cher.

Vous avez laissé, au nom de l’écologie, Anne Hidalgo interdire aux voitures antérieures à 1998 d’entrer dans les rues de Paris. Une discrimination qui touchait d’abord les plus modestes, tout en laissant les puissantes voitures neuves de vos amis qataris circuler librement dans les rues de la capitale. Et vous envisagez, maintenant, de réintroduire un péage à l’entrée des villes, revenant aux pratiques de l’Ancien Régime. Et vous osez vous dire de gauche !

Vous avez passé votre vie à insulter l’homme blanc européen, forcément violeur en puissance. Et vous cautionnez, par votre silence complice, les pratiques les plus sexistes, les plus racistes, les plus dégradantes, les viols de masse, le mépris des femmes européennes, considérées comme des putes, en cachant aux Français que la plupart des violeurs, en France et en Europe, sont des musulmans que vous avez fait venir dans nos pays.

Vous avez fait du droit des femmes un des fondamentaux de votre projet politique, vous avez imposé la parité, première forme de discrimination positive et de communautarisme, et vous vous êtes soumis au voile islamiste et à la polygamie musulmane.

Vous avez passé votre temps à défendre la cause homosexuelle, et vous cachez aux Français que les agressions homophobes ne viennent pas des militants de LMPT, mais encore une fois, majoritairement, des musulmans.

Vous avez brisé notre système de santé. Vous avez refusé de former suffisamment de médecins français, d’infirmières françaises, et vous pillez les pays les plus pauvres, en attirant chez nous ces professionnels, aux diplômes parfois incertains, qui seraient tellement utiles chez eux.

Vous avez réduit de manière drastique les remboursements de soin des Français. Des millions de Français, incapables de se payer une mutuelle, hésitent à se soigner. Les yeux et les dents coûtent toujours des sommes exorbitantes, pendant que vous offrez gratuitement notre système de santé à des nouveaux qui n’ont jamais cotisé, et ne travailleront jamais. Vous laissez nos urgences envahies par des nouveaux venus, parfois agressifs, qui y voient une bonne méthode pour se faire soigner gratuitement, et sans attendre.

Nous n’avons jamais payé autant d’impôts, et pourtant, plus rien ne marche, dans ce pays. Nos routes sont pleines de trous, notre école s’enfonce toujours plus, la police n’a plus les moyens de protéger les Français, et les déserts médicaux gagnent du terrain tous les jours. L’hôpital public est à l’agonie, et ne tient que par le courage de ceux qui y travaillent dans des conditions insupportables. Et les trains n’arrivent même plus à l’heure, même si les cheminots font moins souvent grève qu’avant.

Vous pourrissez la vie de ceux qui travaillent, vous multipliez les lois inutiles pour justifier la présence d’une lourde bureaucratie parasitaire qui, pour prouver son utilité, complique la vie de ceux qui produisent.

Vous alourdissez toujours plus les cotisations sociales pour les salariés et retraités, et les charges patronales. Il faut bien que les actifs nourrissent la classe politique la plus nombreuse du monde, et ceux qui viennent de plus nombreux chez nous pour profiter des aides sociales, véritables pompes aspirantes. Quand j’ai commencé à travailler en presse, je payais 11 % de cotisations sociales, quand j’ai pris ma retraite, nous en étions à 26 % !

http://gty.im/1052374612

Vous avez remplacé une immigration de travail, majoritairement européenne et chrétienne, par une immigration de peuplement, majoritairement africaine et musulmane.

Vous n’avez rien dit, dans les années 1980, quand, dans nos entreprises, des ouvriers musulmans, soutenus par leurs organisations syndicales, ont commencé à revendiquer, et obtenir, des salles de prières. Vous n’avez rien dit quand des comités d’entreprise ont accepté de servir des repas halal, à la demande de leurs salariés musulmans. Vous n’avez rien dit quand ils ont obtenu des dérogations d’horaires, pendant le ramadan. Et maintenant, vous paraissez prêts à accepter le voile dans l’entreprise, comme Macron l’a promis aux musulmans, et cela n’a fait réagir aucun d’entre vous.

Vous avez, pour vous adapter à l’islam, interdit qu’on critique cette religion. Et vous avez fait traîner devant les tribunaux, sans vergogne, tous ceux qui, comme Michel Houellebecq, Brigitte Bardot, Éric Zemmour, Ivan Rioufol, Charlie Hebo, Renaud Camus, Georges Bensoussan, Christine Tasin, l’apostat Pascal Hilout, Sébastien Jallamion, Gérard Boyadjian, moi… et nombre de Français moins connus, coupables, sur les réseaux sociaux, d’avoir dit la vérité sur l’islam.

Pour plaire à vos maîtres islamistes, vous avez, dans les faits, réintroduit le délit de blasphème.

Vous avez couvert les agissements des assassins d’Allah, vous avez menti aux Français sur la réalité de l’immigration, sur la réalité de l’islam, et sur l’état dans lequel vous avez mis le pays. Vos démographes de l’Ined ont même avoué avoir triché, sur les chiffres, pour ne pas faire le jeu de l’extrême droite.

Vous envoyez même sur les plateaux de télévision des chercheurs, grassement payés par nos impôts, qui viennent nous raconter que le Grand Remplacement est un fantasme d’extrême droite, et qu’il n’y a pas davantage d’étrangers en France que dans les années 1930.

Vous avez délibérément décidé que la France devait mourir le plus rapidement possible, et que ses habitants, trop vieux, trop rebelles, trop Gaulois, trop attachés à leur modèle social, devaient disparaître, et laisser la place à des nouveaux venus, sans racines européennes, mais futurs consommateurs comme vous les aimez. Et c’est à nous que vous demandez de payer tout cela !

Vos chefs sont parfaitement lucides sur le drame qui se prépare. Hollande a même parlé de partition, et il a continué à faire venir des musulmans par milliers et par milliers, renforçant leur cinquième colonne.

Son successeur, pour votre plus grand plaisir, passe son temps, depuis l’étranger, à insulter notre pays, et nos compatriotes. C’est le seul Chef d’État, historiquement, qui se soit permis cela, en France et dans le monde.

Et comme si cela ne suffisait pas, il annonce à présent que le français ne doit plus être la langue de la France, et nous parle des langues françaises et du plurilinguisme.

Vous passez votre temps à saper les fondements de cette France qui ne meurt pas assez vite pour vous.

Vous passez votre temps à nous bassiner sur le racisme dont seraient victimes les immigrés, et vous couvrez, par votre silence, les violentes agressions racistes subies par nos compatriotes.

Vous vous taisez quand, de plus en plus souvent, des personnes âgées sont agressées ou assassinées, de manière sordide. Vous êtes aux abonnés absents quand ce sont des handicapés qui sont victimes de l’ensauvagement de la France.

Vous n’avez rien trouvé à redire que sous Hollande, on puisse inviter le rappeur Black M à Verdun, le 11 novembre 2016. Et, bien que sous la pression de la réinfosphère, sa venue ait été annulée, vous avez profané délibérément les tombes de nos grands-pères, en laissant des jeunes courir au milieu. Il paraît que cela se voulait un message de paix.

À cause de vous, dans les grandes villes, nos compatriotes tremblent, quotidiennement, pour leur sécurité, cherchant tous les stratagèmes pour échapper à des agressions gratuites souvent violentes.

Ceux qui, dans les campagnes, ont fui les grandes agglomérations pour bénéficier d’un cadre de vie agréable, dans l’entre-soi, sont obnubilés par l’idée qu’un de vos préfets ne réquisitionne une ancienne gendarmerie, fermée, pour y loger de faux réfugiés, de faux mineurs isolés, et les imposer aux populations locales qui savent, dans ce cas-là, que leur tranquillité est terminée.

Vous ne bougez par une oreille quand les Français tombent, régulièrement, victimes des coups de couteau, souvent à la gorge, distribués par ceux que vous faites venir. Vous ne menez aucune politique contre le surarmement des nouveaux venus, presque tous munis de poignards ou de machettes. Par contre, vous multipliez des opérations de police spectaculaires contre des patriotes que vous désarmez, parce que vous avez décidé qu’ils étaient d’ultra-droite, et plus dangereux que les soldats d’Allah. Depuis Bruxelles, c’est notre pays, donc encore vous, qui milite le plus pour réglementer les armes officiellement détenues par les autochtones.

Vous êtes des bonnes âmes, et vous êtes contre la peine de mort. Mais la mort sociale qui pousse des policiers ou des agriculteurs à se suicider, de manière récurrente, vous vous en moquez, vous les avez juste poussés à se tuer, mais vous n’y êtes pour rien.

Vous êtes des humanistes, et pour vous, la prison n’est pas la solution. Et vous avez protégé les mineurs délinquants, en continuant à en faire des justiciables intouchables. Tant pis pour ceux qui auront le malheur d’être sur leur chemin, au mauvais moment. Ce sera toujours la faute à la société, à l’absence de moyens, et vous ne vous remettrez jamais en cause sur les conséquences de vos discours.

Vous vous en foutez, vous avez vos digicodes, vos gardes du corps, vos beaux quartiers, fort bien protégés par des flics que vous méprisez et insultez à longueur de journée et de discours.

Comment ne pas penser au discours de Tatjana Festerling, ancienne porte-parole de Pegida, lors des 10 ans de Riposte Laïque :

« Les politiciens ont créé une caste pour eux-mêmes : la caste élitiste et narcissique des Protégés. Avec des voitures blindées, une protection personnalisée et un personnel pléthorique qui s’occupe de la sécurité et prête attention aux détails. Ce sont là des symboles du pouvoir. Symboles de délimitation et de distance. Symbole du mépris. Oui, l’Europe occidentale a un système de castes. La caste des sans-protection va diligemment au travail et, en chemin, dans les stations de métro, elle est poussée dans les escaliers, massacrée ou jetée sous les trains. Les personnes sans protection font la queue aux supermarchés et se font poignarder. Les filles des sans-protection sont harcelées, tripotées et violées. Les fils des non-protégés sont rackettés, battus et humiliés.

Les non-protégés se baladent sur des zones piétonnes d’Europe avec leurs familles et sont fauchés par des terroristes au volant de véhicules et de camions. Nous autres militants et dissidents, nous appartenons aussi à la caste des sans-protection ».

Vous avez laissé des juges haineux du Syndicat de la Magistrature insulter des gens de droite, mais aussi des parents de victimes.

Vous vous en foutez des conséquences de vos discours, vous avez presque tous un endroit où aller vous planquer, à l’étranger, si un jour cela pète dans notre pays (et cela ne pourra qu’arriver, sauf si on se laisse coloniser sans combat).

Vous osez vous réclamer du peuple, parce que vous vous dites de gauche, mais sur l’immigration, l’État est contre le peuple, et vous êtes avec l’État oppresseur, contre le peuple, du côté des envahisseurs.

Vous n’êtes même pas préoccupés par des scénarios décrits par Michel Houellebecq dans Soumission ou par Laurent Obertone dans Guerilla, qui, hélas, sont plausibles.

Notre France est en train de crever, et non seulement vous la laissez mourir sans bouger une oreille, mais vous faites tout, quotidiennement, pour accélérer sa disparition.

Vous avez préparé le terrain pour que la prévision de Michel Onfray, annonçant une France musulmane dans une cinquantaine d’années, s’applique encore plus vite. Vous avez livré le pays aux barbus, tout en osant vous dire dans le camp du progressisme !

Ce qui paraissait inenvisageable il y a encore dix ans devient une terrible menace : notre France peut devenir un pays musulman, et nos enfants et petits-enfants risquent de connaître cela.

Et comme vous ne voulez pas que la réinfosphère crie cette vérité à trop de personnes, vous mettez toute votre énergie pour museler Internet, et laisser de nouveau le monopole de l’information à des journalistes payés, et parfois fort bien, pour les grands éditorialistes, pour raconter aux Français ce que vous voulez qu’ils disent.

Vous avez renié toutes les valeurs de vos grands-parents, et tout ce qui faisait la grandeur de la gauche.

Vous en êtes devenus les putains respectueuses de l’islam !

Vous nous avez vendus à des envahisseurs qui n’ont même pas eu besoin de faire la guerre pour occuper notre sol et imposer leur mode de vie, antagonique au nôtre.

Vous êtes capables de dire que ce magnifique texte de Jean-Yves Le Gallou, expliquant ce qu’est être français, est raciste et xénophobe, voire de le faire tomber sous le coup de la loi.

Pierre Cassen

ÊTRE FRANCAIS

 Être français, c’est appartenir à une lignée ; une lignée « qui vient du fond des âges » (Charles De Gaulle). Parler de « nos ancêtres les Gaulois » est globalement vrai ; car c’est reconnaître que le peuple français demeure l’héritier des Gallo-Romains ; sa composition ethnique est restée quasiment inchangée jusqu’au début des années 1970 : blanche et européenne. Dans sa monumentale Histoire de la population française, le démographe Jacques Dupâquier le rappelle aux ignorants et aux malveillants.

Être français, c’est appartenir à une civilisation : la civilisation européenne et chrétienne. L’héritage spirituel et culturel prolonge ici l’héritage ethnique. Être français, c’est partager des croyances communes et un imaginaire commun. Être français, c’est partager la mémoire des poèmes homériques, des légendes celtes, de l’héritage romain, de l’imaginaire médiéval, de l’amour courtois. Être français, c’est, qu’on soit chrétien pratiquant ou non, participer de la vision et des valeurs chrétiennes du monde car le catholicisme est un élément de l’identité française.

 Être français, c’est être de langue française ; « la langue française notre mère » qui façonne notre esprit et est le merveilleux outil d’exercice de notre intelligence et de découverte des « humanités ». Un Français, c’est un Européen d’expression française.

Être français, c’est partager une histoire, une mémoire, c’est avoir en commun « un riche legs de souvenirs » (Renan) ; car « La nation, comme l’individu, est l’aboutissement d’un long passé d’efforts, de sacrifices et de dévouements. Le culte des ancêtres est de tous le plus légitime » (Renan). Être français, c’est partager la fierté de la grande épopée nationale de la Monarchie, de l’Empire et de la République. « La patrie, c’est la terre et les morts » (Barrès). Être français, c’est avoir son patronyme inscrit, dans un village, sur un monument aux morts  commémorant la grande ordalie de 1914. Et c’est s’interroger sur le sens de ce sacrifice et sur les exigences qu’il nous impose aujourd’hui.

 Être français, c’est partager l’amour d’un territoire : de ses terroirs, de ses paysages, de ses hauts lieux. Être français, c’est aimer la France, ses rivages, ses vallons et ses sommets, ses vignes et ses prairies, ses champs et ses forêts, ses chênaies, ses châtaigneraies, ses oliveraies, ses villages, ses bourgs, ses collines inspirées, ses cathédrales, ses églises, ses chapelles, ses sources, ses halles au grain, ses maisons de maître et ses fermes fortifiées, ses châteaux, ses palais et ses villes. Être français, c’est aimer le Mont Saint-Michel, Saint-Émilion et Camembert.

Être français, c’est partager des musiques et des sons, ceux de la lyre et de la cornemuse, du piano et de la guitare, de l’accordéon ou de l’orchestre symphonique. Être français, c’est avoir le sens du travail bien fait, c’est rechercher une certaine perfection dans le métier. C’est aussi, pour les meilleurs des artisans d’art, le sens de ce qui relie l’esprit à la main.

 Être français, c’est partager des goûts et des odeurs. Être français, c’est partager à table des moments de bonheur. Être français, c’est manger du cochon, de l’andouillette, du petit-salé, du cassoulet et du saucisson. Être français, c’est partager la baguette et le fromage, l’époisses et le maroilles, le brie de Meaux et le coulommiers, le reblochon et le roquefort, le cantal et le laguiole. Être français, c’est goûter la Blonde d’Aquitaine et le Charolais, l’Aubrac et la Limousine. Être français, c’est boire du vin de Loire ou de Bordeaux, d’Alsace ou de Bourgogne. Être français, c’est déguster de vieux alcools, du cognac, de l’armagnac, du calvados et de la mirabelle.

Être français, c’est partager « Le désir de vivre ensemble », « la volonté de continuer à faire valoir l’héritage qu’on a reçu indivis. (…) Avoir des gloires communes dans le passé, une volonté commune dans le présent ; avoir fait de grandes choses ensemble, vouloir en faire encore, voilà les conditions essentielles pour être un peuple. (…) Le chant spartiate : “Nous sommes ce que vous fûtes ; nous serons ce que vous êtes” est dans sa simplicité l’hymne abrégé de toute patrie » (Renan)

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.

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