Les médias représentent aujourd’hui le premier pouvoir, avant le judiciaire, l’exécutif et le législatif. Mais s’ils dominent les politiques, ils ont aussi placé les Français sous influence. Tous adeptes de la pensée unique, ils cherchent à les endoctriner en utilisant les méthodes classiques de manipulation de l’opinion. Les Français se trouvent dès lors privés d’informations objectives et soumis à une propagande qui n’est pas sans effet. Ligne droite considère donc comme essentiel de délivrer nos compatriotes de cette emprise et pour ce faire d’imposer la pluralité aux médias.
La mise sous influence des Français
Aujourd’hui, ceux-ci contrôlent en effet la vie nationale. Ils ont pris le pas sur le pouvoir politique, mais ils se sont aussi imposés auprès des autres acteurs du pays. Il n’est guère d’activité qui échappe à leur impérium. Les entreprises les craignent, les fonctionnaires et les professionnels aussi. Ils font et défont les carrières et décident de ce qu’il faut penser. Ce sont eux qui désignent ceux qu’on doit aimer et ceux qu’il est bon de détester.
Or, ce pouvoir d’influence n’est évidemment pas neutre idéologiquement ni politiquement. Derrière l’affichage d’un pseudo-professionnalisme souvent caricatural, ce sont les mêmes mots d’ordre et les mêmes techniques qui sont utilisés, quel que soit la chaîne ou le support, pour défendre et promouvoir l’idéologie du Système.
Une atteinte aux libertés et à la démocratie
Dès lors, soyons clairs, les Français se retrouvent dans une situation comparable à celle des citoyens des démocraties populaires à l’époque de l’URSS. S’ils ne risquent pas le Goulag, ils sont en revanche confrontés à un système médiatique totalement verrouillé ainsi qu’à une idéologie officielle qui leur est imposée. Et s’il n’y a pas de médias officiels, la configuration n’en est que plus malsaine, car elle est dissimulée au point que beaucoup de Français n’ont pas conscience d’être la cible d’une manipulation. Nos compatriotes sont ainsi privés d’informations objectives et soumis à un endoctrinement caractérisé. Et malgré leur esprit critique, nombre d’entre eux se laissent aveugler et renoncent à s’opposer.
Il est vrai que le Système utilise pour se protéger un argument très fort, celui de l’émotion et des bons sentiments. Pour obscurcir l’esprit des Français et les détourner de leur instinct identitaire, les tenants du politiquement correct n’hésitent pas en effet à montrer par exemple la misère des migrants, voire la mort de certains d’entre eux, fussent-ils des enfants. L’idée est d’émouvoir nos compatriotes en faisant appel à leurs bons sentiments pour les amener à accepter le volet le plus traumatisant de la pensée unique, à savoir l’immigration. Et beaucoup, n’entendant aucune voix contraire, se laissent entraîner sur un chemin qu’ils n’auraient peut-être pas suivi autrement.
On peut dès lors affirmer que, les médias, par leur puissance et leur quasi-monopole, limitent les libertés de nos compatriotes. De ce fait ils faussent les votes et assurent artificiellement la survie du Système tout en empêchant le grand changement.
Remettre les médias à leur place
Devant cette situation, ô combien malsaine, Ligne droite estime nécessaire de remettre les médias à leur place. Jusqu’à présent, aucun dirigeant n’a eu le courage de tenter une telle mise en ordre, car c’est à une réaction violente et dévastatrice qu’il s’exposerait ainsi qu’à l’accusation terrible de vouloir mettre en cause la liberté de la presse. Un mot d’ordre incapacitant qui vise à neutraliser par avance toute tentative de remise en cause du statut actuel des médias.
La liberté de la presse : pour les journalistes ou pour les Français ?
La question de la liberté de la presse est pourtant très ambiguë. Si nous vivions sous un régime officiellement totalitaire, il s’agirait de mettre fin à la censure. Mais il y a longtemps que celle-ci n’existe plus dans notre pays.
Dès lors, quelle est cette liberté de la presse qui serait si importante à préserver ? Est-ce la liberté des journalistes d’écrire ce qu’ils veulent ? Sans doute est-ce l’idée que s’en font les intéressés mais une telle conception est totalement illégitime car elle conférerait à la caste des journalistes des privilèges hors du commun.
De même, la liberté de la presse ce n’est pas la liberté des patrons propriétaires de médias de faire dire ou écrire ce qui leur plaît. Une telle conception, qui correspond pourtant aux usages actuels, est là encore totalement illégitime car elle accorderait un avantage indu aux milieux d’argent.
Non, dans le monde d’aujourd’hui, la liberté de la presse devrait plutôt se définir comme la possibilité offerte à tous les Français de disposer de journaux ou d’émissions qui correspondent à leur sensibilité. En d’autres termes, la liberté de la presse c’est le pluralisme dans les médias.
Imposer le pluralisme
Aussi, pour délivrer les Français de l’emprise médiatique, la droite nouvelle devra rétablir une véritable diversité politique et idéologique de la presse ainsi que des chaînes de radio et de télévision. De nombreuses dispositions pourront être prises à cet égard, à commencer par la réforme du financement public des médias. Dans la mesure où il est assuré avec des crédits publics venant de toute la population, le système actuel exige qu’une partie des contribuables payent pour des médias qui s’en prennent à leurs convictions et bafouent leurs valeurs. Il s’agira donc de remplacer ce système par un dispositif démocratique et transparent qui permettra aux Français de financer directement les médias de leur choix.
Quant au secteur de la publicité qui procure aux médias une fraction déterminante de leurs ressources et qui utilise cette position stratégique pour empêcher toute émergence d’un média nouveau non politiquement correct, il devra faire l’objet d’une restructuration notamment pour casser la prééminence de Publicis.
Il conviendra en outre de réformer le CSA pour qu’il reflète enfin la réalité de l’opinion et intervenir dans les écoles de journalisme, aujourd’hui totalement soumises à la pensée unique, pour y introduire une véritable diversité de convictions.
Libérer la parole
Par ailleurs, la parole devra être libérée aussi bien pour les journalistes de droite que pour les Français en général. La répression qui s’exerce actuellement sur tous ceux qui ne communient pas dans la pensée unique devra être supprimée. Il conviendra pour cela de priver la justice des lois prétendument antiracistes dont elle se sert à cette fin.
Le rétablissement du pluralisme dans les médias et la remise en cause de leurs pouvoirs et de leur prééminence aideront à rendre leur liberté aux Français et leur permettront ce faisant de mieux discerner la voie de leur intérêt collectif.
Par Ligne droite, rassemblement de Français engagés pour une droite nouvelle
Source : Ligne droite
Crédit photo : DR
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