À Fribourg-en-Brisgau (Allemagne), une fille de 18 ans a été violée par une quinzaine d’individus. La police a interpellé sept Syriens et l’immigration extra-européenne est, une fois encore, à pointer du doigt.
Droguée en boîte de nuit
Une nouvelle histoire de viol vient encore secouer la société allemande. Une affaire qui date de la nuit du 14 octobre dernier. Une jeune femme de 18 ans a d’abord été attaquée par un homme qui l’a ensuite traînée dans les buissons à l’extérieur d’un événement techno qui avait lieu dans une boîte de nuit de Fribourg-en-Brigsau, ville du sud-ouest de l’Allemagne située dans le Land de Bade-Wurtemberg.
L’homme en question s’était auparavant lié d’amitié avec sa victime à l’intérieur du club et lui avait offert un verre, selon la police. Après l’avoir violée, il serait retourné dans la boîte de nuit pour récupérer ses amis. Par la suite, ce sont alors sept autres hommes qui auraient violé la jeune fille chacun à leur tour durant quatre heures avant de l’abandonner dans ces mêmes buissons.
Sept migrants syriens arrêtés
Chose qui est devenue monnaie courante en Allemagne, les auteurs présumés sont pour la plupart des jeunes hommes étrangers. Ainsi, la police a procédé à huits interpellations puis placements en garde à vue. Sur ces huit suspects, sept sont de nationalité syrienne et sont âgés de 19 à 29 ans. Et tous étaient déjà connus des services de police. Un seul, âgé de 25 ans, est ressortissant allemand. L’un des violeurs était d’ailleurs déjà recherché par la police pour un autre viol collectif.
Mais Fribourg-en-Brisgau a déjà été le théâtre d’un drame lié à l’immigration extra-européenne il y a deux ans. Le 16 octobre 2016, la jeune Maria Ladenburger, étudiante en médecine de dix-neuf ans et volontaire dans un centre de réfugiés, avait été retrouvée violée et noyée sur les rives du Dreisam. Un suspect qui s’avérait être un demandeur d’asile d’origine afghane avait été identifié par la suite comme l’auteur des faits après l’analyse de son ADN.
Eternel aveuglement ?
Sur le plan politique, le ministre de l’Intérieur du Bade-Wurtemberg Thomas Strobl (CDU) a déclaré à propos du viol de Fribourg : « Si les allégations sont confirmées, il s’agit d’un acte odieux qui ne laisse personne indifférent ». Une prise de position plutôt en contradiction avec les actes de Thomas Strobl qui soutient depuis plus de trois ans la politique d’accueil migratoire d’Angela Merkel.
Mais combien faudra-t-il de viols et de meurtres à Fribourg et ailleurs en Allemagne et en Europe pour que ces responsables politiques comprennent que cette immigration extra-européenne, non seulement favorise de tels actes, mais dans certains cas les rend même possibles ?
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