Agressions, vols avec violence, trafic de drogue en tout genre, depuis des mois, Rennes, capitale de la Bretagne administrative, est en proie à une vague de délinquance sans précédent.
Une nouvelle rixe, mardi 18 septembre, en plein centre ville, confirme d’ailleurs ce climat, que certains habitants commencent à trouver insupportable, un climat en partie instauré par les nombreux faux mineurs isolés étrangers mais vrais délinquants immigrés qui sont pléthore dans le centre de Rennes.
Devant le cinéma Gaumont, c’est cette fois ci un migrant tunisien qui a poursuivi et agressé avec un couteau deux individus jusque dans le cinéma. Si « des troubles psychologiques » sont – comme très souvent désormais – évoqués chez l’accusé, cela ne suffit pas à expliquer l’insécurité qui règne en centre-ville de Rennes ces derniers mois. Nous l’avons déjà dit et répété d’après nos témoignages recueillis, des bandes d’immigrés, majoritairement en provenance d’Afrique du Nord, sèment la terreur en ville.
Au point même que les autorités françaises, impuissantes (dans un pays qui se targue d’être une puissance mondiale et nucléaire) à faire respecter la loi et à assurer la sécurité des citoyens, envisagent possiblement une collaboration avec des policiers marocains.
Emeric Salmon, responsable du Rassemblement national pour la ville de Rennes, dénonce quant à lui « l’ensauvagement » de la ville : « Cette agression au couteau s’inscrit dans la droite lignée d’un été rennais sanglant : le meurtre d’un homme de 24 ans roué de coups devant une boîte de nuit, un règlement de compte à Maurepas, une rixe à coups de couteaux entre migrants afghans et africains en plein centre-ville…la liste d’agressions barbares à Rennes ne cesse de s’allonger.» explique-t-il.
« Ces faits de violences, souvent liés à une immigration toujours plus massive, démontrent que nous ne sommes plus confrontés à une délinquance ordinaire, mais bel et bien à un véritable ensauvagement de notre société (…) Aujourd’hui, dans certains quartiers, les Rennais ne sortent plus à partir d’une certaine heure, ne fréquentent plus certains lieux et vivent la peur au ventre. Cette peur doit changer de camp ! Face à cette terrible régression civilisationnelle, il est temps d’agir.»
Et de réclamer « la fin de l’immigration massive, l’expulsion des délinquants étrangers et la tolérance zéro face à la racaille. »
Du côté de la droite et des Républicains, emmenés par Bertrand Plouvier, c’est la tête d’Hubert Chardonnet, adjoint à la sécurité à la ville de Rennes, qui est réclamée. Ce dernier minimise en effet le nombre de délinquants qui sévissent à Rennes (pourtant, nos lecteurs doivent savoir que depuis trois ans, ce sont des centaines, et non pas des dizaines, de délinquants différents qui ont déjà été arrêtés) tandis que la municipalité socialiste s’oppose par ailleurs à l’armement de la police municipale.
Reste à voir désormais quelles seront les conséquences (si conséquences il y a) de la gestion de ce problème majeur pour la ville de Rennes par la municipalité, notamment au niveau électoral, dans les années à venir.
Crédit photo : Nicolas Vollmer Rennes (flickr cc)
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