Enlevée alors qu’elle était adolescente, une jeune fille britannique a été détenue par un gang de musulmans pakistanais pendant 12 années au cours desquelles elle a subi viols, mariages forcés… et huit avortements ! Le tout avec une police étrangement passive.
Enlevée, mariée, violée !
L’Angleterre semble s’enfoncer toujours plus dans les affaires sordides liées à l’immigration extra-européenne. Cette fois, c’est un calvaire de 12 ans qui a été infligé à une jeune fille.
Âgée de 15 ans, elle est enlevée en 2005 sur le parking d’un supermarché par un homme tandis qu’elle suivait à cette époque des études dans le but de devenir sage-femme. Commence alors pour l’adolescente « anglaise d’origine » et blanche de peau, ce qui, de l’aveu de la baronne Caroline Cox de la Chambre des Lords, constitue possiblement « l’affaire de violence sexuelle la plus grave de l’Histoire du pays ».
Une fois entre les mains du gang de ravisseurs, des Pakistanais musulmans, elle est forcée d’épouser l’un des membres. À peine la « cérémonie » du mariage sous la contrainte terminée, la victime est entraînée dans une chambre puis violée par son nouveau « mari », un parfait inconnu pour elle.
Gang pakistanais et avortement
Par la suite, en plus d’être régulièrement frappée et violée, la jeune fille tombera enceinte huit fois ! Et se fera avorter autant de fois. Le tout en étant toujours prisonnière de ses ravisseurs. Elle a aussi été forcée d’épouser deux hommes différents pendant sa captivité. De plus, elle a été contrainte d’apprendre le Coran en arabe et n’a été autorisée à parler que dans dialectes pakistanais.
Compte-tenu de la gravité des faits, la presse britannique reste par ailleurs très discrète sur l’identité de la jeune victime et sur les lieux de sa détention comme de sa nouvelle vie.
Ainsi, ce n’est qu’il y a deux ans, à l’âge de 26 ans, que la jeune femme s’est finalement échappée des griffes de ses bourreaux. « Depuis mon adolescence, je ne connais rien d’autre que la vie sous le contrôle du gang », a-t-elle déclarée dans son premier entretien avec la presse.
La police a fermé les yeux
Bien entendu, la même question se pose comme une évidence à la découverte de cette histoire : Pourquoi la police britannique n’a-t-elle pas retrouvé la jeune fille ?
Si les kidnappeurs l’ont cachée dans diverses maisons et lui ont coupé tout contact avec le monde extérieur en lui refusant un téléphone portable ou un ordinateur, ceci n’explique pas tout !
La famille de l’adolescente a supplié la police de l’aider. Mais ses demandes ont été ignorées par un corps policier qui a même refusé de l’identifier comme disparue. Une situation à peine croyable qui a conduit la famille à mener sa propre enquête. En vain. « La police n’arrêtait pas de dire qu’elle reviendrait dans quelques jours », se souvient la mère de la jeune fille aujourd’hui. « Mais elle ne l’a jamais fait ».
Politiquement correct
Mais là n’est pas le plus surprenant ! Après de nombreuses recherches, le frère de la victime finira par trouver la maison dans laquelle celle-ci était enfermée. Menacé par le gang de Pakistanais, son frère devra rebrousser chemin sans que la police ne veuille intervenir par la suite pour délivrer la jeune fille. Une torture morale et psychologique pour la famille !
En réalité, les forces de police craignaient davantage d’être traitées de racistes que de protéger les enfants anglais de la prédation des gangs musulmans pakistanais.
Des décennies durant, le politiquement correct a permis à ce type de ravisseurs de poursuivre leurs activités sans être inquiétés. Dans une enquête indépendante demandée par le gouvernement britannique et publiée en juillet dernier, il apparaît que cette inaction de la police dans des cas comme celui de cette jeune fille séquestrée pendant 12 ans était la norme à la fin des années 1990 et pendant une bonne partie des années 2000.
Influence des gangs et solidarité communautaire
Sans parler de l’influence et des réseaux dont disposaient ces gangs de pakistanais. Y compris au sein de la police : tandis que la jeune fille faisait une déposition concernant son histoire auprès d’un officier de police qui, comme ses ravisseurs, était musulman et d’origine pakistanaise, celui-ci a éteint le magnétophone et lui a dit d’abandonner ses allégations contre l’un de ses agresseurs « pour manque de preuves ». Le policier a depuis été lui aussi emprisonné pour des crimes sexuels impliquant des enfants.
En définitive, les révélations de scandales comme celui dont a été victime cette jeune anglaise font offices véritables films d’horreurs mettant en scène tortures, abus sexuels, chantage au silence et attitude douteuse de la police. Avec l’immigration extra-euroépenne en toile de fond !
De quoi mieux comprendre l’enfer vécu et les pressions subies par un autre britannique tentant de dénoncer ces crimes : Tommy Robinson !
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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