Voici maintenant des années que Breizh-info a souligné le problème croissant que constituent les migrants, et notamment les mineurs isolés étrangers, dans les rues du centre ville de Rennes.
La délinquance y augmente comme jamais auparavant, les vols avec violences se multiplient, si bien que plus personne, y compris la presse subventionnée, ne peut cacher ce phénomène face auquel les pouvoirs publics ne prennent aucune mesure concrète.
A chaque jour désormais, son agression ou son vol avec (ou sans) violence commis par un migrant, se disant souvent mineur. En réalité certainss ne le sont pas mais trouvent des oreilles « à l’écoute » au sein de plusieurs officines subventionnées du département ou de la ville. « C’est en train de devenir le Far West » nous confie un policier, qui s’avoue « impuissant ».
C’est déjà ce qu’un de ses collègues nous avait signifié, il y a quelques mois, à propos de la manière de traiter cette délinquance à Rennes. « Tout le monde se renvoie la balle. Nous on les arrête, ils sont aussitôt remis en liberté. On revoit les mêmes, ils se foutent ouvertement de nous. Il y’a un vrai problème, mais il est à chercher au niveau de la magistrature ou bien des lois de ce pays ».
Ce policier a bien son avis sur la manière dont le problème pourrait être résolu : « Qu’on nous donne les effectifs suffisants, en une journée et une nuit, on vous met tout ce monde là aux arrêts, direction des bus, direction la police aux frontières, et au revoir messieurs. Il faut changer les lois qui les protègent ».
Certains commerçants ou tenanciers d’établissements de nuit sont revenus d’un certain angélisme, qui les poussait à trouver des circonstances atténuantes ces dernières années à ces individus : « Ils ne sont là que pour dépouiller les gens. Certains employés ont peur d’aller dans certaines rues le soir » nous confie l’un d’entre eux. « On sent aussi qu’une certaine colère monte. Y’a des groupes de jeunes qui parlent de « faire le ménage » si personne ne le fait. Ça peut rapidement déraper ».
Des affrontements avaient déjà éclaté l’an passé entre des jeunes rennais et ces migrants , rue de la soif.
Dans certains établissements de nuit, des videurs conseillent désormais aux fêtards de bien rentrer en groupe, de faire attention aux vêtements qu’ils mettent, etc. Et cela alors même que les agressions se multiplient.
« Nous, quand on réagit, c’est nous qui sommes montrés du doigt après et traités de tous les noms » nous confie un « agité » du Stade Rennais. « Pourtant, la première des libertés, c’est notre sécurité, celle de nos soeurs, de nos mères. On a le devoir de se défendre ». Ce dernier nous dit espérer que le Stade Rennais affronte un club dont les supporteurs sont jugés « à risque » en Europa league. « A défaut qu’on nous laisse faire le ménage, si d’autres s’en occupent, ça sera parfait. Quoique là, les forces de l’ordre auront ordre de canaliser les supporteurs, eux qui sont incapables d’intervenir dans nos rues toute l’année pour virer ces migrants ».
Du côté de la municipalité rennaise, c’est l’angélisme et l’idéologie « du vivre ensemble » qui semble primer. « Jusqu’à ce qu’un grand drame se produise ? » nous glisse un restaurateur. « La situation se dégrade mois après mois ».
Si l’on se fie uniquement aux résultats électoraux de ces dernières années à Rennes, des résultats massivement à gauche avec une forte base d’extrême gauche et donc des courants en faveur de cette immigration qui se produit aujourd’hui, il semblerait que le climat qui s’installe ne semble pas choquer outre mesure la majorité de la population….
Crédit photos : DR
[cc] Breizh-info.com, 2018, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine