L’Italie n’est pas épargnée par les faits divers sordides engendrés par l’immigration extra-européenne. Le dernier en date concerne l’enlèvement et le viol d’une femme de 44 ans à Rome. Les suspects sont quatre migrants originaires du Bengladesh.
Kidnappée et violée
La scène est digne d’un film d’horreur. Il est aux environs d’une heure du matin dans la nuit du jeudi 17 au vendredi 18 mai à la station de métro Rebibbia à Rome. Une femme de 44 ans, venant de sortir de son travail, attend le bus de nuit. C’est à ce moment-là qu’elle se fait aborder par deux hommes qui, au prétexte de lui demander un renseignement, la menace rapidement avec un couteau.
La femme est alors contrainte de monter dans une voiture puis elle est conduite sous un pont dans une zone isolée située sur la commune de Guidonia, ville de la proche périphérie romaine.
Une fois sur place, deux autres complices se joignent au groupe. L’Italienne est alors frappée puis violée dans la voiture. Les violeurs utilisent par ailleurs un tesson de bouteille afin de maintenir leur victime dans la peur.
Viols en série
Dans cette zone déserte, les cris de la pauvre femme ne changeront rien à son sort. Et pour la dissuader de se défendre, ses agresseurs l’ont mise en garde en lui montrant des vidéos de viols précédents. Le groupe n’en était manifestement pas à ses premières horreurs commises et avait pris le soin de filmer ses précédents crimes.
Sur le téléphone de l’un des violeurs, plusieurs vidéos mettaient alors en scène des femmes hurlant tandis qu’elles étaient battues et violées par plusieurs hommes. Quant à leur victime du soir, elle sera abandonnée dans la rue puis réussira à appeler les secours.
Originaires du Bangladesh
Lors de la narration de son cauchemar à la police italienne, la femme violée a décrit ses bourreaux comme des hommes âgées de 30 ans à 40 ans. De plus, lors du trajet en voiture dans laquelle elle était séquestrée, la victime rapporte que l’un des hommes lui a dit être du Bangladesh et vivre en Italie depuis neuf années.
Par ailleurs, l’enquête, ordonnée par le bureau du procureur de Tivoli, a déjà bien progressé. Grâce au travail de la police scientifique italienne, des traces d’ADN ont été relevées sur divers éléments (mouchoirs, cigarettes) retrouvés sur les lieux du crime. Et c’est bien la piste de migrants originaires du Bangladesh qui est suivie par les enquêteurs. Voilà une nouvelle affaire qui remet encore un peu plus en cause l’immigration extra-européenne en Occident.
Crédit photo : Pixabay (CC0)
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