Un islamiste a attaqué cinq passants au couteau, samedi soir dans le 2ème arrondissement de Paris.
Deux personnes ont été tuées (dont l’assaillant, neuf minutes après le premier appel à Police Secours) et quatre ont été blessées, dont deux grièvement tandis que le désormais « traditionnel » « Allah Wakbar » a été hurlé par le terroriste.
L’Etat islamique a revendiqué l’attaque, selon le SITE Intelligence Group. Le procureur de la République de Paris a de son côté annoncé que la section antiterroriste du parquet de Paris a été saisie.
? Urgent – Daesh revendique l’attaque terroriste islamiste perpétrée par l’un de ses soldats du califat. #Paris #Opera pic.twitter.com/hXDVc54X6e
— Damien Rieu (@DamienRieu) 12 mai 2018
L’islamiste est un tchétchène né en 1997 et qui a obtenu la nationalité française en 2010, à l’âge de 13 ans – ce qui suscite de nombreux commentaires scandalisés sur les réseaux sociaux et dans la classe politique, à droite notamment.
Pendant que la France est représentée à l’#Eurovision par la chanson #Mercy, encourageant l’immigration massive, un islamiste tue une personne et en blesse plusieurs à Paris.
Ils sont prêts à sacrifier les peuples pour soulager leur bonne conscience de bobo ! #NonMercy ?
— Stéphane Ravier (@Stephane_Ravier) 12 mai 2018
#Paris : hommage à nos forces de l’ordre et pensées aux victimes et à leurs proches. Une fois encore, la barbarie islamiste fait couler le sang dans notre pays. Dans la guerre contre le terrorisme, les mots ne suffisent pas, il faut des actes.
— Laurent Wauquiez (@laurentwauquiez) 12 mai 2018
Maintenant nous attendons une information essentielle.
Par quelle filière ce terroriste islamiste et sa famille sont-ils présents sur notre territoire ? MLP https://t.co/Ukep7Gz6HV— Marine Le Pen (@MLP_officiel) 13 mai 2018
Nommé Khamzat Azimov, ce dernier avait été entendu en avril dernier par les services. Il était fiché S depuis 2 ans, notamment pour ses liens avec un homme dont l’épouse est partie en Syrie.
Migrants, clandestins, demandeurs d’asile, réfugiés : les largesses de l’OFPRA
Sur le site de l’OFPRA, l’office français de la protection des réfugiés et apatrides, 2725 demandes ont été faites émanant de territoires appartenant à la Russie en 2014. Voici ce qu’on peut lire concernant les motifs de demandes d’asile :
« La demande d’asile russe se compose pour moitié de ressortissants russes du nord-Caucase et pour moitié de demandeurs se disant Arméniens de Russie dont la provenance ne peut généralement pas être établie. Il semble que nombre d’entre eux proviennent en réalité d’Arménie et ne se déclarent russes que pour contourner la procédure de placement en procédure prioritaire découlant de l’inscription de l’Arménie sur la liste des pays d’origine sûrs.
Parmi les nord-Caucasiens, les demandeurs se répartissent entre Tchétchènes et Daghestanais. Il n’y a pratiquement plus, depuis deux ans, de demandeurs en provenance d’Ingouchie. Les Tchétchènes, qui dans une très grande majorité des cas ont transité par la Pologne où ils ont soit déposé une demande d’asile, soit dans certains cas, obtenu une protection, invoquent essentiellement l’arbitraire du pouvoir en place, les conséquences toujours actuelles des deux conflits ou l’aide qu’ils sont accusés d’avoir apportée à des combattants. Parmi ces demandeurs, un nombre important semble avoir quitté la Tchétchénie depuis longtemps. D’autres demandeurs se présentent comme des Kadyrovtsy, anciens agents des services de sécurité en délicatesse avec le pouvoir actuel ou menacés parce qu’accusés d’avoir rejoint les combattants indépendantistes. Quelques demandeuses motivent leur demande par les violences conjugales dont elles ont été les victimes. »
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