« Porter ses couilles » : « faire preuve de courage et d’abnégation en toute circonstance, y compris face à des meutes de chiens enragés et face à un système qui veut notre mort. » (Argot)
Romain Espino, porte-parole de Génération identitaire et acteur de l’opération de protection de la frontière face aux migrants dans les Alpes, a montré l’exemple à tous ceux qui restent tapis dans l’ombre, apeurés. Ceux qui sont sans doute persuadés qu’un jour, grâce à leurs pouvoirs magiques acquis derrière leurs ordinateurs, les millions d’Africains qui nous envahissent aujourd’hui ou qui comptent nous envahir pour moult raisons, repartiront suite à 100 000 likes sur un post Facebook.
Romain fait partie de ces jeunes Européens qui ont décidé de devenir acteurs de leur destin, du nôtre, de celui de nos enfants à tous. Il est en première ligne de ces fils d’Europe pour qui aucune fatalité n’existe, et qui s’insurgent pendant que d’autres se résignent.
La meute médiatique, politique, militante qui s’est parallèlement mise en branle depuis cette action pacifique et destinée à faire réagir les autorités pour protéger des frontières devenues des passoires, sent mauvais. Très mauvais. Appels à la délation, à la mort économique et sociale, condamnations à des fins politiques, les fauves répugnants sont lâchés. Ces têtes grisonnantes et mal faites s’organisent désormais pour condamner à mort un jeune homme dont le seul crime a été d’alerter son peuple sur les dangers de l’immigration. Une odeur de fosse septique, de lynchage et de haine, face à des jeunes hommes beaux, déterminés et conscients, qui ont visé juste et fort comme en témoigne la cabale dont ils sont victimes.
Beaux comme la cause défendue, celle de vouloir permettre demain, à des millions d’Européens, de rester maîtres chez eux, sur leurs terres, dans leurs pays. Et celle d’éviter à ces millions d’êtres humains à qui des mafieux et des fous ont promis un Eldorado, de venir s’échouer sur un continent qui ne leur apportera rien et à qui ils n’apporteront rien non plus si ce n’est guerres, conflits ethniques et désagrégation de tous.
Déterminés car Romain et ses compagnons sont de ceux qui savent que nous sommes aujourd’hui à un tournant, à un moment décisif au regard de l’histoire. Si les crispations n’ont jamais été aussi nombreuses sur la question de l’immigration, dans toutes les classes sociales, dans tous les partis politiques, c’est que chacun sait, au fond de lui, que nous vivons des années décisives. Déterminés, ces jeunes de Génération identitaire ne peuvent que l’être au regard de l’Histoire et de notre destin commun qui se joue, aujourd’hui, dans les Alpes, à Lampedusa, à Calais, en Grèce, en Libye et aux frontières de l’Europe. Déterminés, car les chiffres de la démographie africaine notamment ne plaident pas pour les Européens aujourd’hui.
L’explosion démographique de ce continent et la « ruée vers l’Europe » à venir, avec le grand remplacement de population qui en découlera de facto, ne sont pas des « théories » ou des fantasmes sortis de cerveaux malades. Ce sont des réalités aujourd’hui incontestées. On peut, comme certains le font, fermer les yeux, espérer que cela se passe bien, ou se soumettre aux nouveaux arrivants. Mais n’importe quel Européen conscient de son héritage, de sa lignée, et soucieux d’un avenir radieux a le devoir de faire ce que les jeunes de Génération identitaire ont fait ce week-end.
Conscients, car toujours en première ligne, face à la plus grande menace que l’Europe ait rencontré depuis la naissance de notre civilisation. Ils sont malheureusement trop peu nombreux aujourd’hui ces jeunes qui, à travers l’Europe, se lèvent et s’activent, non parce qu’ils rêvent de travailler à la Silicon Valley, non parce qu’ils veulent le dernier I-Phone ou un autographe de Beyonce, mais pour une cause qui nous dépasse tous et qu’ils savent impératif d’épouser, sans peur, sans haine, par amour de leur peuple.
Derrière cette première ligne, malheureusement, une majorité semble silencieuse, immobile, qui attend, comme un animal que l’on amène à l’abattoir, son sanglant destin, passivement, fatalement. Une majorité à qui l’on autorise encore – quoique des lois risquent de rapidement les ramener à la réalité – à se défouler sur les réseaux sociaux, à commenter, à haïr, à insulter, à s’indigner, à débattre du sexe des anges et de sujets sur lesquels ils n’ont aucune prise.
Une majorité qui donnerait parfois envie que l’on éteigne la lumière des réseaux sociaux et du monde virtuel, pour l’obliger à remballer sa haine, sa frustration, son déterminisme, son fatalisme, et à agir, enfin, ici et maintenant.
A agir en retrouvant le sourire que l’on peut lire sur le visage de ces jeunes courageux. En jetant aux oubliettes la haine de l’autre pour combattre par amour de son peuple et de ses enfants à naître. En ne se laissant jamais intimider, terroriser, marcher dessus par ceux qui, et ils sont nombreux et bien appuyés économiquement, ont décidé de collaborer à notre extinction en temps que civilisation.
Ces jeunes militants de Génération identitaire apportent à chacun la clé pour demain, pouvoir regarder ses enfants dans les yeux sans être souillé de honte. La honte de les avoir condamnés, eux et leur descendance, à un destin tragique, mortel, par lâcheté, par inaction, par renoncement quotidien.
Demandez vous chaque matin ce que vous allez faire pour arrêter ce qui est en train de se passer en Europe, et songez chaque soir à ce que vous avez fait de votre journée pour que cela cesse.
La solution est en chacun de nous. Du courage en politique.
Defend Europe !
Julien Dir
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