« Défendez l’Europe a tout prix ». Tel est le message que souhaite faire passer cet internaute, écrivant à Piero San Giorgio sur sa page facebook.
Un internaute d’Afrique du Sud qui vit peut être aujourd’hui ses dernières heures, prêt à se battre jusqu’à la mort contre des Noirs d’Afrique du sud chauffés à blanc par certains leaders politiques là bas et qui se prennent à vouloir massacrer les fermiers blancs – comme ce fût le cas au Zimbabwe – « au nom de l’égalité » , pour s’approprier des terres agricoles ( L’écrasante majorité des fermes (72%) appartient toujours aux blancs (8% de la population). Au Zimbabwe, dès que les Noirs se sont appropriés les fermes qui étaient des modèles économiques, ils ont été incapables de les faire perdurer).
Le Parlement sud-africain a en effet adopté le mois dernier un texte qui prévoit d’exproprier les fermiers blancs de leurs terres sans compensation. Et Bernard Lugan, de l’Afrique réelle, d’écrire : « les 241 députés noirs qui ont voté cette motion n’ignoraient en effet pas qu’ils poignardent en plein cœur le dernier secteur hautement producteur de richesses de leur pays. Ils savaient très bien que ces fermiers blancs nourrissent l’Afrique australe et que, sans eux, tout le cône sud de l’Afrique (Angola, Namibie, Zambie, Mozambique, Botswana, Zimbabwe) connaîtra la famine. Qu’importe ! La symbolique de la revanche raciale est la plus forte… Ceux qui, en Europe, avaient vibré au mythe de la « nation arc-en ciel » réconciliée sont donc une fois de plus cocus. Le plus grave est qu’ils n’en tireront pas les leçons…»
Voici la lettre de ce fermier sud africain, poignante, puisqu’elle ne constitue même pas un appel à l’aide pour les sauver, mais bien un témoignage de la situation sur place et de ce qui demain, pourrait se produire également en Europe de l’Ouest si l’on poursuit dans la stigmatisation permanente – le président Macron s’est encore auto-flagellé dessus récemment – du mâle blanc.
Cher Piero,
Je voulais vous donner des nouvelles d’Afrique du Sud.
Je suis navré de vous informer que je ne peux pas émigrer, à cause de plusieurs raisons. Comme vous le savez probablement, notre président a décidé d’exproprier les terres sans compensation. Il y a de nombreuses fermes à vendre, mais il n’y a pas d’acheteurs. Je ne peux donc pas vendre ma ferme. Nous avons été attaqués la semaine dernière, et nous avons abattu 3 des 7 attaquants. La prochaine attaque n’est qu’une question de temps, nous sommes isolés et il n’y a personne pour nous aider. Nous sommes armés jusqu’aux dents, fusils, pistolets et avec des milliers de munitions. Une guerre civile arrive, je vous assure de cela. Il y a eu de grandes saisies de terres ces dernières semaines. Je fais en sorte que quelques personnes qui pensent comme nous, nous rejoignent afin de nous défendre. La sécurité est dans le nombre, dit-on, mais nous ne sommes plus très nombreux. Les choses sont devenues folles ces derniers mois, et je ne vais pas pouvoir quitter le pays. Je suis prêt à combattre et à mourir pour notre peuple. Défendez l’Europe a tout prix. C’est mon dernier message pour vous, mes amis, je me déconnecte pour un certain temps et je n’aurai de disponible que les téléphones satellites et la radio CB pour communiquer.
Salutations
Ce fermier voulait fuir son pays natal, pour l’Europe. Il n’a pas pu. L’Europe et ses institutions – qui ouvrent les frontières à tour de bras pour les migrants d’Afrique noire – ferment les yeux sur ce qui est en train de se produire en Afrique du sud avec les fermiers blancs, parce que justement ils sont blancs. Le monde à l’envers. Seule l’Australie s’est proposée pour accueillir ces futurs réfugiés – avant de faire volte face brusquement – réfugiés qui survivent dans le silence assourdissant de la communauté internationale, qui voit sans doute d’un très mauvais oeil que le mythe de la nation arc en ciel soit balayé par le réel.
Selon des statistiques officielles, jusqu’à 500.000 Sud-Africains blancs ont quitté leur pays ces trente dernières années, et l’Australie est la destination numéro un.
Crédit photos : DR
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