L’affaire des trois légionnaires poursuivis pour avoir collé une juste correction à une racaille immigrée (sans aucun papier d’identité) qui venait de voler à l’arrachée le portable d’une jeune fille dans le métro est symbolique.
Symbolique d’une partie de la magistrature qui n’incarne plus la justice pour le peuple, mais contre le peuple. On se souvient du fameux « murs des cons » qui avait en son temps défrayé la chronique.
Qu’elles sont hypocrites ces élites qui, il y a à peine quelques jours, encensaient le courage d’Arnaud Beltrame en appelant à s’en inspirer. Et qui aujourd’hui se taisent face aux poursuites engagées contre ces légionnaires.
Qu’elles sont méprisables quand elles se montrent incapables de démettre de leurs fonctions ces magistrats qui aujourd’hui en France, n’ont plus aucune limite.
Certains d’entre eux remettent en liberté des voyous, des assassins même parfois. En toute impunité. Sans jamais devoir rendre des comptes. Encore moins au peuple qui est victime de ces décisions folles.
Certains d’entre eux s’acharnent contre ceux qui ne baissent pas la tête, se défendent, protègent leurs biens ou les personnes plus faibles qu’elles qui se font malmener.
Avec de tels magistrats, qui ont accepté que ces trois légionnaires soient poursuivis, nul doute qu’Arnaud Beltrame, si il avait réussi à tuer l’islamiste avant d’être assassiné lui même, aurait aussi pu être poursuivi pour des motifs fallacieux.
Il est urgent que nos dirigeants prennent la mesure du problème posé par ces magistrats de plus en plus idéologues, de moins en moins indépendants.
La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793 énonce en son article 35 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs »
Les juges rouges qui font la pluie et le beau temps en France ne devraient pas oublier cette devise.
Julien Dir
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