143 millions « d’immigrés climatiques » seraient attendus en 2050 selon la Banque mondiale, qui regroupe les 5 principaux organismes financés par les nations et les grosses entreprises du monde entier pour l’aide au développement dans le monde. En cause selon cette institution mondiale, le réchauffement climatique. Où comment conditionner à l’avance les populations, notamment en Europe, au caractère presque inévitable de nouvelles vagues d’immigration massive.
Après le « réfugié syrien », sorte de mythe presque érigé en religion qui a déclenché l’ouverture des frontières européennes, ces dernières années et l’arrivée de millions de migrants d’Afrique Noire et du Maghreb (Syriens donc comme tout un chacun le sait …), c’est donc le réfugié climatique qui sera sans doute le prochain argument mis en avant pour faire avaler la pilule de l’immigration aux Européens. 143 millions d’immigrés climatiques, dont 86 millions de personnes venus d’Afrique subsaharienne, 40 millions d’Asie du Sud et 17 millions d’Amérique Latine se mettraient ainsi en marche, principalement vers des régions voisines, mais aussi vers notre continent.
A titre de comparaison, 86 millions d’africains cela représente 17% de la population actuelle de l’Union Européenne. A noter que ces « migrants climatiques » s’ajouteraient aux millions de personnes ayant quitté leurs pays pour d’autres raison (politiques, économiques, sociales). Autant dire que ce qui attend l’Europe demain est une mission de survie en tant que continent et que civilisation, puisque la démographie africaine notamment joue largement en sa défaveur.
Contrairement à l’Amérique du Nord qui verrait sa population augmenter de 75 millions d’habitants (soit deux fois moins que l’Amérique du Sud) d’ici à 2050, l’Europe pourrait stagner autour de 500 millions d’habitants et perdre 49 millions de personnes en âge de travailler dans la tranche des 20-64 ans, dont 11 millions pour l’Allemagne. L’Espagne et l’Italie devraient aussi perdre de 7 à 8 millions d’actifs potentiels. Et cela notamment en raison du manque de volonté d’instauration de politiques natalistes, notamment au niveau de l’Union Européenne, « où l’on préfère produire des rapports sur les révolutions technologiques, le développement durable ou la transition énergétique » comme l’explique Michel Godet à Atlantico.
Et ce dernier, d’ajouter : « Dans le même temps, la population de l’Afrique devrait augmenter de 1,3 milliard, dont 130 millions rien que pour l’Afrique du Nord. C’est dire que la pression migratoire sur l’Europe va être plus forte que jamais ! Ce choc démographique (implosion interne et explosion externe), l’Europe n’en parle pas et ne s’y prépare pas. Tout se passe comme si le tsunami démographique était moins important que la vague numérique. Pour que cesse l’omerta, nous invitons nos interlocuteurs à imaginer quelques millions de réfugiés climatiques en provenance d’Asie ou encore plus de réfugiés politiques et économiques en provenance d’Afrique et du MoyenOrient. Relevons que si 1% du surcroît de la population africaine s’installait en France d’ici à 35 ans (ce qui est aussi proche de nous que 1980), cela ferait quand même 13 millions d’habitants en plus dans l’hexagone d’ici à 2050, soit 20% de plus ! Quand on songe que l’Union européenne a été fragilisée et ébranlée en 2015 par un million de réfugiés dont les trois-quarts politiques, on se rend compte que l’Europe ne devrait pas attendre pour se préparer à de telles perspectives ».
Avec 2,5 milliards d’habitants en Afrique en 2050, il serait en effet sans doute temps d’arrêter de discuter du sexe des anges. Stephen Smith, auteur du livre prophétiquement cauchemardesque pour tout homme blanc conscient et intitulé La ruée vers l’Europe déclarait récemment : « En 2050, il y aura 2,5 milliards d’Africains pour 450 millions d’Européens. La jeune Afrique va venir chercher de meilleures chances de vie sur le Vieux continent, c’est inscrit dans les faits. Tout ce que je dis c’est que, d’ici deux générations, chaque famille européenne va avoir un neveu ou une nièce africaine. L’Europe va s’africaniser.».
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Ce dernier démonte par ailleurs les fables répandues depuis des années par les médias subventionnés – fables qui sont pléthores en Bretagne notamment : « Les médias véhiculent facilement des clichés misérabilistes – de « désespérés » qui fuient « l’enfer » que serait l’Afrique – alors que la plupart des migrants viennent aujourd’hui des pays porteurs d’espoir, comme le Sénégal, le Ghana, la Côte d’Ivoire ou le Nigeria. Puis nous avons tendance à ne considérer que la phase héroïque de la migration, quand l’individu surmonte mille obstacles pour atteindre sa terre promise. Mais la migration débute par un acte défaitiste, le départ d’un Africain qui ne croit pas en l’avenir de son pays »
A terme, c’est donc bien d’un grand remplacement de population – à la fois subit mais aussi organisé ou accepté par certains – et de la disparition de l’homme Européen dont il s’agit, ce face à quoi les dirigeants d’Europe de l’Ouest ne semblent pas vouloir réagir, à moins qu’ils n’aient définitivement plus le logiciel cérébral pour cela, refusant sans doute d’imaginer que le destin des Blancs en Europe puissent être, à terme, le même que celui des Blancs en Afrique du Sud, victimes d’une véritable épuration, années après années, sans que le monde ne s’en émeuve (seule l’Australie vient de leur proposer des visas humanitaires).
« L’Europe est déjà aujourd’hui envahie »
Stephen Smith propose pour parer à cela, outre des discussions sérieuses entre l’Europe et l’Afrique et la reprise en main du contrôle de « qui entre et qui n’entre pas », un contrôle des naissances en Afrique – mesure écologique par définition qui aurait sans doute plus d’impact sur la lutte contre le réchauffement climatique que toutes les COP21 réunies.
Du côté de l’Europe, seuls les dirigeants d’Europe Centrale, comme Viktor Orban, premier ministre hongrois, semblent avoir pris la mesure de l’immense défi qui nous attend, dénonçant ceux qui pilotent le cheval de Troie de l’immigration imposée en Europe : « La situation actuelle, chers amis, c’est qu’on veut nous prendre notre pays. Pas d’un coup de plume, comme il y a cent ans à Trianon ; maintenant, ils veulent que nous cédions volontairement notre pays à d’autres, sur une période de quelques décennies. Ils veulent que nous le cédions à des étrangers venant d’autres continents, qui ne parlent pas notre langue et qui ne respectent pas notre culture, nos lois ou notre mode de vie : des gens qui veulent remplacer ce qui est à nous par ce qui est à eux. Ce qu’ils veulent, c’est que désormais ce ne soit plus nous et nos descendants qui vivions ici, mais d’autres » a déclaré le Premier ministre à l’occasion du 170e anniversaire de la révolution hongroise de 1848.
Nous lui laissons la conclusion, cinglante :
« L’Europe est déjà aujourd’hui envahie. Si nous n’agissons pas, dans les prochaines décennies, des dizaines et des dizaines de millions d’individus d’Afrique et du Moyen-Orient vont venir en Europe. La partie occidentale de l’Europe assiste à cela les mains en l’air. Quiconque met les mains en l’air se désarme soi-même et ne décide plus de son propre sort. L’Histoire des perdants est écrite par quelqu’un d’autre. Les jeunes d’Europe occidentale vont faire l’expérience de devenir une minorité dans leur propre pays, et perdront le seul endroit du monde qu’ils pouvaient considérer comme leur patrie. Des forces telles que le monde n’a pas vu depuis longtemps resurgissent. L’Afrique aura dix fois plus de jeunes que l’Europe. Si l’Europe ne fait rien, ils enfonceront notre porte. Bruxelles ne défend pas l’Europe et n’arrête pas l’immigration, mais veut la soutenir et l’organiser. Elle veut diluer la population de l’Europe et la remplacer, jeter notre culture, notre mode de vie et tout ce qui nous sépare et nous distingue, nous Européens, des autres peuples du monde.»
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