Comment se fait-il que trois individus, étrangers, reconnus comme étant de faux mineurs, et déjà arrêtés à Rennes, puissent se retrouver à agresser une jeune femme à Brest, quelques semaines plus tard ?
C’est la question que beaucoup se posent, après l’agression, mercredi 7 mars en soirée, d’une jeune femme en plein centre de Brest.
Cette dernière s’est retrouvée prise au piège entre trois hommes qui l’ont battu, mise au sol, et qui ont tenté de dérober son téléphone portable.
La jeune femme, âgée de 17 ans, n’a du son salut qu’à l’arrivée de la BAC, qui a pu interpeller les trois individus, par ailleurs alcoolisés.
Durant leur audition, ils ont cherché immédiatement à se dire mineurs – comme quoi le message distillé par les association pro migrants passe bien et partout – une minorité qui a d’emblée été balayée par les policiers après recherches.
« Ils savent qu’ils peuvent quasiment faire ce qu’ils veulent. Ils pourraient nous uriner dessus qu’ils échapperaient à des condamnations sévères » nous dit un policier du cru, qui en a plein le dos. « La situation n’est pas du tout sous contrôle, loin de là, avec ces maghrébins, de plus en plus violents et vindicatifs : ils sont en plus très fourbes, menteurs, tricheurs dès qu’il s’agit de présenter leur identité ».
Les trois individus ont été présentés au parquet de Brest ce vendredi 9 mars en comparution immédiate.
La jeune femme, qui ne souffre pas de blessures physiques, s’en sort avec un traumatisme psychologique. Visiblement, pour ces trois immigrés d’Afrique du Nord, il n y a pas de journée ou de semaine de la femme qui tienne.
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