18/02/2018 – 07 h 20 Paris (Breizh-info.com) – Les éditions Tatamis publient un livre qui ne manquera pas de faire parler : intitulé « la criminalité du lobby LGBTQ », et rédigé par le journaliste et éditeur Jean Robin, cet ouvrage entend jeter un pavé dans la marre. Voici la présentation de l’éditeur :
Nous vivons un temps où l’inversion des valeurs est reine, la norme devient l’exception et inversement.
La tolérance engendre l’intolérance dès lors qu’elle n’a plus aucune limite, ni aucun tabou. Or le but principal du lobby LGBTQ (pour Lesbien-Gay-Bi-Trans-Queer), comme tous les marxistes et post-marxistes dont ils font partie, est de dynamiter tous les tabous sexuels, qu’il le reconnaisse publiquement ou pas. Cette démarche est donc criminelle à de nombreux égards, à commencer par la perte de repères qu’elle engendre dans la société toute entière. Si l’on peut changer de sexe comme de chemise, si l’on peut louer son ventre comme on loue ses bras, si l’on peut se marier sans pouvoir procréer, pourquoi ne pas se marier avec son chien, coucher avec ses enfants ou manger des fœtus avortés pour espérer rajeunir ?
Le Lobby LGBTQ avance ses pions doucement mais sûrement depuis les années 70, où il est né avec la révolution sexuelle. Moins d’une cinquantaine d’années plus tard, il fait partie de l’idéologie dominante alors que ceux qu’il prétend représenter (sans leur demander leur avis) ne constituent pas plus d’1% de la population. Ce 1% là et leur influence n’est jamais dénoncé, contrairement au 1% les plus riches, il est loué, adoré, et l’on se prosterne devant lui. Car il est devenu si puissant, économiquement, médiatiquement, politiquement et moralement, que cette nouvelle vache sacrée est désormais considérée comme le veau d’or. Il est temps de briser une fois pour toute cette idole de malheur et de restaurer les véritables valeurs, qui sont judéo-chrétiennes, n’en déplaise aux patriarchophobes.
Le livre est à commander ici pour le recevoir un mois avant sa sortie. Nous avons posé quelques questions à Jean Robin, qui n’a manifestement pas peur de la controverse…
Breizh-info.com : Pourquoi parler de « criminalité » du lobby LGBTQ , n’est ce pas un peu osé ?
Jean Robin : Comme je le démontre dans le livre, ce lobby pousse la société à devenir homophobe (comme la loi sur le mariage pour tous l’a bien montré), et les homos-lesbiennes.etc. à faire de leur péché une source de fierté, tout en les y enfermant. C’est criminel du point de vue chrétien, comme du point de vue moral. Je développe beaucoup d’autres arguments dans le livre évidemment qui démontre la criminalité de ce lobby, qui comme tous les lobbies prend des gens en otage sur la base d’un critère particulier et qui vise à réduire les gens à ce critère. Tout comme on parle de racisme pour ceux qui réduisent les gens à leur race réelle ou supposée, on peut parler de sexualisme pour ceux qui les réduisent à leur sexualité réelle ou supposée.
Breizh-info.com : Beaucoup d’homosexuels ne soutiennent pas les associations faisant partie du lobby que vous dénoncez. Comment éviter l’amalgame ?
Jean Robin : En dissolvant ce genre de lobby au mieux, ou en ne leur attribuant aucune subvention ni aucune attention ou importance politique, au pire.
Breizh-info.com : êtes vous homophobe ?
Jean Robin : Je suis chrétien, donc je pense que nous sommes tous pêcheurs, les homosexuels comme les autres. Je dénonce le fait de se vanter de son homosexualité, car nous devons avoir honte de nos péchés. Comment seraient accueillis demain une « adultère pride » ou une « meurtre pride », où des adultères ou des meurtriers défileraient en étant fiers de leur péché ?
Comme nous l’explique Dieu dans sa Bible, « ce que je désire, ce n’est pas que le méchant meure, c’est qu’il change de conduite et qu’il vive ». Je donne d’ailleurs à la fin du livre de très nombreux témoignages d’homosexuels, lesbiennes, bi, trans et queer que Jésus a changé et qui sont devenus de bons chrétiens, équilibrés, prêts à donner la vie. A Dieu rien n’est impossible.
Par ailleurs je dénonce les idéologies anti-homos (terme que je préfère à homophobe) comme l’islam, et je constate dans le livre que le lobby LGBTQ défend l’islam ou ne dit rien au sujet de la haine des homosexuels par l’islam. Encore une preuve de la criminalité du lobby LGBTQ, qui favorise ce qui tue les homos au sens large.
Breizh-info.com : Vous avez publié énormément de « livres noirs de ». Finalement, ne seriez vous pas un peu complotiste à voir des lobbys partout ?
Jean Robin : Les lobbies ne sont pas des complots, ce sont des associations qui prennent de l’importance dès lors que l’Etat leur en donne. Ils ne représentent généralement qu’eux-mêmes et œuvrent pour obtenir plus de pouvoir et d’influence, mais en supprimant leurs subventions et leur couverture médiatique, ils disparaîtraient tous rapidement. L’Etat donne de l’importance aux lobbies dès lors qu’il se sert d’eux pour obtenir plus de voix dans les différentes « communautés », ce qu’on appelle faire du communautarisme. Mais la République ne reconnaît aucune autre communauté que la communauté nationale. Donc l’Etat divise sa population pour mieux régner sur elle, ce qui in fine se retournera contre lui car cette stratégie ne peut mener qu’à la guerre civile, religieuse et raciale, à laquelle nous assistons en France.
Sommaire
Introduction : mon rapport aux LGBTQ
Incitation à changer de sexe donc à la mutilation et à la ruine économique
Incitation à l’homosexualité
Incitation à l’homophobie, à la lesbianophobie et à la transphobie
Incitation au totalitarisme du langage (homophobie, pronoms)
Contre la liberté d’expression
Collaboration avec l’islam pourtant homophobe
Incitation à une hypersexualisation dès le plus jeune âge
Inversion des valeurs
Emprise sur l’Ecole, les médias, la politique
La Gay pride
PMA et GPA
Conclusion
Extraits :
Pour ceux de mes lecteurs qui voudraient connaître un peu plus mon parcours vis-à-vis de l’homosexualité, je peux bien avouer que mon groupe préféré de musique étant adolescent était Queen, dont le chanteur et leader charismatique n’est autre que Freddy Mercury. Il n’a jamais caché son homosexualité, et celle-ci ne m’a jamais choquée. Ce qui m’a choqué toutefois, c’est sa mort, brutale, du SIDA en 1991, à seulement 45 ans. C’était la première fois que j’entendais parler du SIDA, et à 13 ans seulement ma vie sexuelle en a considérablement été impactée. En grande partie à cause de cela, je suis resté vierge jusqu’au mariage (et bien que n’étant alors pas chrétien), à savoir 26 ans.
Mercury avait un talent inouï, vocal, instrumental et sur scène. Comme beaucoup d’adolescents je m’identifiais à lui, mimant ses performances scéniques, regardant en boucle des vidéos de concerts de Queen des années 80, apprenant par cœur nombre de ses chansons. Mais j’ignorais alors le niveau de débauche qui avait été celui de Freddy Mercury, ce qui l’avait condamné à mourir si jeune. Et cela m’a sensibilisé au fait que les homosexuels, en moyenne, ont plus de partenaires dans la vie que les hétérosexuels, environ 10 fois plus[1], ce qui est considérable. Mercury avait lui-même dû en avoir encore 10 fois plus que la moyenne des homosexuels…
Avec un fait pareil, validé scientifiquement et que personne ne réfute, on pourrait se dire que le lobby LGBTQ pourrait avoir pour objectif de faire baisser ce nombre de partenaires… Mais non. Ils n’en disent mot, et poussent au contraire à un maximum de liberté sexuelle, comme nous allons le voir.
Extraits :
Les pays les plus homophobes sont donc des pays en dehors de l’Occident, mais bizarrement le lobby LGBT n’en parle que très peu : « L’homosexualité n’est plus un crime en France depuis 1982. Mais 21 ans après sa suppression de la liste des maladies mentales par l’OMS, environ 80 états (76 en 2010) continuent encore à pénaliser les gays, lesbiennes et trans avec des peines de prison pouvant aller de dix ans jusqu’à la perpétuité voire la peine de mort. C’est en Afrique que la liberté des homosexuels est la plus bafouée. Pour ce seul continent, 39 pays en 2010 sur 53 pénalisaient encore les relations homosexuelles. Quatre d’entre eux pratiquant même la peine de mort : Mauritanie, Soudan, 12 États du Nigeria et les parties méridionales de la Somalie. Les trois autres pays au monde appliquant encore, contre les homosexuels, la condamnation ultime de la peine de mort – également abolie dans 95 pays à ce jour pour tous les crimes – se trouvent chacun en Asie : Arabie saoudite, Iran, Yémen. »[2]
La raison de ce silence est évidente : il ne faudrait pas déculpabiliser l’Occident vis-à-vis de l’homophobie et des autres phobies mises en avant par le lobby LGBTQ précisément pour culpabiliser l’Occident, et lui soutirer subventions, lois favorables et accès médiatique sur air de victimisation. De plus, critiquer l’Afrique pour ses pratiques homophobes pourrait faire croire que le lobby LGBTQ serait négrophobe, ce qui ferait mauvais genre.
Il convient par conséquent de bien isoler le sort des homos-lesbiennes-trans-bi-queer en terre chrétienne, du sort qui attend la même communauté en terre africaine, de peur que ceux qui se reconnaissent dans la lutte du lobby LGBTQ en occident ne paraissent trop bien traités. Car en effet, ils le sont, au point de faire de leurs orientations sexuelles des modèles à suivre, ou devant lesquelles tomber en extase.
Extraits :
A ceux qui prétendent que l’homosexualité serait génétique, et qu’on ne pourrait pas choisir d’être homosexuel, l’ancien danseur étoile français Patrick Dupond vient d’apporter un témoignage contraire. Confiant à Paris Match que son homosexualité était « une erreur », et qu’il « a découvert l’amour avec une femme », il a déclenché les foudres des lobbies homosexualistes et des gauchistes de tous poils. « Se rend-il compte de l’effet dévastateur de ces mots? » ; « Haine de soi, nouvelle édition » etc. sont les réactions lues sur les réseaux sociaux que nous rapportent l’Express.
Et eux, se rendent-ils compte de leur intolérance, et de leur ton moralisateur ? Ce sont les nouveaux curés LGBTQ qui décident qui fait le bien et qui fait le mal, sachant qu’eux font toujours le bien et les autres toujours le mal… Pourtant ils sont enfermés dans leur péché, au point d’en être fier (la fameuse Gay pride), et cherchent à garder enfermés un maximum de ceux qui partagent ce péché.
Dans la Bible Dieu condamne l’homosexualité comme un des péchés les plus graves, et il existe de nombreux chrétiens qui sont devenus hétérosexuels après avoir été longtemps homosexuels[3].
Nous sommes tous pécheurs et privés de la gloire de Dieu[4] et l’homosexualité n’est qu’un de ces multiples péchés dont Dieu peut nous guérir. Ce n’est pas manquer de respect aux homosexuels de leur dire qu’ils sont dans le péché, pas plus qu’il n’est irrespectueux de dire à un adultère ou à un fornicateur qu’il est dans le péché. Au contraire, c’est lui montrer le respect que Dieu a pour lui que de lui dire qu’il est malade, et que la guérison se trouve uniquement en Jésus-Christ, à qui rien n’est impossible. Quant à la Gay Pride, on réalise à quel point elle est folie en la comparant à une « Adultère pride », où défileraient fièrement des maris ayant trompé leur femme, et des femmes ayant trompé leur mari. Ou des voleurs défilant en étant fiers d’être des voleurs. Peut-être en verrons-nous dans un futur proche…
[1] http://www.fugues.com/241200-article–en-moyenne-un-homosexuel-aurait-108-partenaires.html
[2] Homophobie : Ces pays qui pratiquent encore la peine de mort, France Soir, 17/05/11
[3] https://www.youtube.com/watch?v=oARcPwab2So
[4] Romains 3:23
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