25/01/2018 – 06h30 Rennes (Breizh-Info.com) – Le département d’Ille et Vilaine est saturé par l’immigration, notamment celle des mineurs non accompagnés. Qu’importe, c’est le contribuable qui paiera .
Ainsi, une rallonge de 6 millions d’euros pourrait être décidée par les conseillers départementaux d’abord durant le débat consacré aux Orientations Budgétaires (OB) (25-26 janvier) puis lors du vote du Budget Primitif (BP), les 21, 22 et 23 mars 2018.
« Le secteur de la protection de l’enfance enregistre des besoins croissants, poussés notamment par la prise en charge des Mineurs Non Accompagnés (MNA). 340 MNA étaient confiés à l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE) en Ille-et-Vilaine au 31 décembre 2016. Ils étaient 490 au 31 décembre 2017. Au cours de l’année 2017, le Conseil départemental a dû voter un plan prévoyant l’ouverture de 210 places d’hébergement supplémentaires. En année pleine sur 2018, le surcoût lié à la phase d’évaluation et de mise à l’abri et de prise en charge de ces jeunes est estimé à 6 millions d’euros.» expliquent les communicants du Département dans le dossier adressé à la presse évoquant le débat sur les orientations budgétaires.
Un débat à mettre entre guillemets, puisqu’aucun des conseillers départementaux, y compris au sein de l’opposition de la droite et du centre, ne semble vouloir empêcher cette dépense. On notera l’ augmentation des prises en charge de 340 fin 2016 à 700 en 2018, soit 100% de hausse en une année.
D’un coût évalué à 3,7 millions d’euros fin 2017, on passe donc à 6 millions d’euros début 2018. Pour 210 jeunes immigrés en plus, le surcoût de 6 millions d’euros représente donc environ 29 000 euros par individu.
Dans les faits, avec de tels budgets, le Conseil Départemental d’Ille et Vilaine pourrait employer 333 Bretons à temps plein pendant un an (sur une base du SMIC 2018).
Question de priorité sans doute , d’autant plus que le coût réel d’un MNA est estimé à 60 000 euros par an, comme l’indiquait encore Jean-René Lecerf, président du Conseil Départemental du Nord.
Mineurs isolés étrangers (MIE) : ils coûtent 1 milliard d’euros par an aux départements
Quoi qu’il en soit, ils seraient plus de 50 à se présenter chaque mois aux services départementaux, bien guidés par les associations, pour réclamer des « droits » : au logement, aux indemnités…. Et le Département sait les recevoir : mise à disposition de l’ancienne caserne Guillaudot à Rennes, mise à disposition de l’ancienne Gendarmerie à Sens de Bretagne, la liste s’allonge chaque mois qui passe, puisque désormais, le monde entier sait qu’il peut – en se prétendant mineur – venir en Ille et Vilaine comme dans d’autres départements pour obtenir l’assistance publique – non décidée par les citoyens locaux bien entendu.
Selon nos sources, le Conseil départemental n’est pas capable de produire un chiffre réel du nombre de Mineurs Non Accompagnés présents sur son territoire (ils ne se présentent pas tous au CD). En effet, certains arrivent, s’en vont deux jours après sans laisser de trace, ne sont pas contrôlés, logent chez de la famille, des amis, reviennent pour toucher des aides financières, repartent. « Il n’y a aucune coordination sur les dossiers entre les Préfectures, les Départements, les Associations, c’est préoccupant » nous dit un fonctionnaire bien placé.
De quoi jeter le trouble sur les chiffres officiels de l’immigration communiqués tous les ans par l’Etat : rien ne prouve en effet – et ce n’est pas du complotisme que de l’affirmer – qu’ils sont bien plus importants qu’annoncés, tout système de fichage et de recensement systématique de populations pourtant non désirées sur le territoire étant mis à mal.
Immigration. Une majorité de mineurs non accompagnés sont en réalité majeurs
Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2018, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
Une réponse à “llle et Vilaine. Mineurs non accompagnés (MNA) : une rallonge de 6 millions d’euros du conseil départemental”
De l’argent foutu en l’air ! Lorsque j’ai perdu mon emploi dans le recherche pétrolière. ( Moyen Orient Daesh )….Le même conseil départemental m’a fait savoir que je n’avais droit à rien et qu’il fallait que je me débrouille seul ! Ce que j’essaie de faire;