24/12/2017 – 12h00 Stockholm (Breizh-info.com) – En Suède, la ville de Malmö a vu plusieurs centaines de personnes défiler dans ses rues mardi 19 décembre au soir. Le motif ? Des viols à répétitions sur des adolescentes et l’incapacité des pouvoirs publics à endiguer ce phénomène. En réponse, le gouvernement va légiférer sur le consentement sexuel.
Une nouvelle loi pour masquer le vrai problème
À partir du 1 juillet 2018, l’autorisation sexuelle sera nécessaire, y compris dans les couples de longue date. L’homme devra alors obtenir une autorisation de la femme avant d’avoir une relation sexuelle. À défaut, il pourrait se retrouver devant un tribunal et risquerait une condamnation pour viol. L’autorisation, quoi que pouvant se faire à l’oral, pourra aussi être rédigée sur papier. Une option non négligeable dans cette fuite en avant législative. Ainsi, les autorités suédoises vont définir deux nouveaux types de délits : le « viol par distraction » les « attaques sexuelles par distraction ».
Les temps changent
La Suède a été longtemps vantée pour son modèle social. Un modèle qui offrait une sécurité certaine à ses habitants, à l’instar de ses voisins scandinaves mais aussi du Danemark. Les choses fonctionnaient au mieux tant que le pays était homogène dans sa composante culturelle et n’avait pas encore connu l’arrivée massive de personnes d’origine extra-européenne. Ces dernières, profitant de prestations sociales confortables, sont par ailleurs à l’origine de nombreux actes de délinquance dans les villes suédoises.
Malmö est notoirement réputée pour être devenue l’une des villes ayant la population d’origine immigrée la plus importante. De là à y voir un lien avec la marche de mardi soir, il n’y a qu’un pas que les autorités suédoises et les manifestants ne franchissent pas. Mais pour combien de temps ?
Viol brutal de trois adolescentes
Cette manifestation avait donc pour origine le viol brutal de trois adolescentes. Le premier fait a eu lieu le 4 novembre lorsqu’une jeune femme a été violée par plusieurs agresseurs après une fête à Segevång, au nord de Malmö. Une semaine plus tard, une femme a été agressée et violée par un groupe d’hommes dans un arrêt de bus de Södervärn, en plein centre de Malmö.
Quant au viol le plus récent, il a eu lieu samedi 16 décembre à l’aube, toujours à Malmö. La victime, une jeune fille de 17 ans, a été violée sur une aire de jeux pour enfants par plusieurs individus. Dans ces trois situations, aucune information ne transparaît dans la presse concernant l’identité des agresseurs.
L’immigration en cause
Mais ce sont bien des bandes de migrants qui sont mises en cause dans ces affaires. Comme l’a déjà rapporté récemment l’avocate suédoise Elisabeth Fritz, en première ligne dans les affaires de viols.
De son côté, le ministre suédois de l’Intégration Ylva Johansson a prétendu, lors d’une interview donnée à la BBC en 2017, que le nombre de viols avait diminué cette année. Une information contredite par les chiffres. Le malaise est d’autant plus palpable du côté des autorités que les statistiques officielles de la criminalité suédoise ne mentionnent pas les origines ethniques ou religieuses des suspects.
Pour l’anecdote, le mois dernier, lorsqu’un parti de l’opposition a tenté de demander au gouvernement des statistiques sur les origines des délinquants, elles ont été rejetées par le ministre de la Justice Morgan Johansson. « Le dénominateur commun de ceux qui commettent ces crimes est qu’ils sont des hommes », a t-il déclaré. Un argument bien dans l’air du temps mais qui ne brille pas par sa précision.
« Que fait la police ? »
Au-delà des viols, c’est l’attitude de la police qui a conduit à l’organisation de cette marche. Suite à ces agressions, la police de Malmö a en effet conseillé aux femmes de ne plus sortir ou, du moins, de ne pas sortir seules. Et de prendre des taxis pour rentrer. Une réponse qui n’a pas trop été appréciée…
Les manifestants ne pointent pas l’immigration
Les participants à la manifestation, en grande majorité des femmes, ont réclamé la protection de la police, des peines plus sévères pour les agresseurs mais aussi que le gouvernement vote une loi sur le consentement. Du côté des slogans, « pas de violeurs dans nos rues » ou encore des injonctions au Premier ministre suédois de prendre ses responsabilités face à la situation étaient visibles.
Interrogée sur le sujet, la secrétaire du parti libéral suédois Liberalerna, Sara Wettergren, a déclaré au journal Kvällsposten : « Je n’ai jamais pensé que j’aurais peur de me promener dans ma ville natale ». Mais quant à ce qui a provoqué ce changement, Madame Wettergren préfère ne pas se prononcer.
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8 réponses à “Suède. Une loi sur le consentement sexuel pour occulter l’immigration”
Quand une idéologie bisounours conduit à préférer le suicide collectif à la reconnaissance de la sordide vérité…
[…] Extrait de: Source et auteur […]
Je lis que » l’autorisation pourra se faire à l’oral » Un choix de mot malheureux quand on sait que de contraindre à une fellation est la forme de viol la plus courante et la plus simple.
Exemple de demande d’autorisation:
https://imgfast.net/users/1612/29/06/06/album/cherie10.gif
et en France pas de vague; pas de bruit ; rein ne se passe ; les médiats chut ; la politique chut : et le changement avance a grand pas /////KENAVO LE BOBOSSSSSSSS !!!!!!!!!!!!
Et ça fonctionne:
http://www.leparisien.fr/buc-78530/elle-mord-le-penis-de-son-agresseur-07-11-2008-302348.php
Ce silence poursuit deux buts: ne pas stresser les Français, les empêcher de voir le revers de la médaille immigration pour favoriser le « vivre ensemble ».
Ne pas provoquer d’ émulation entres bandes rivales et entre villes en annonçant les scores de ce djihad de basse intensité.
L’URSS existait encore. Un soviétique demande un rendez-vous chez l’oculiste et l’ORL en même temps. Avez-vous un problème aux yeux ou aux oreilles lui rétorque l’assistante. Aux yeux et aux oreilles. Je ne vois pas ce que j’entends à la radio et je n’entends pas non plus ce que je vois !
Les médias occidentaux sont bien dignes des organismes de propagandes soviétiques. Il faut cacher la réalité dérangeante à tout prix. Dans ce cas précis les prénoms ou l’origine ethnique des violeurs.