05/12/2017 – 06h50 Nantes (Breizh-info.com) – Chaque nuit, plusieurs vols avec ou sans violence, tentatives d’extorsions, rixes ont lieu aux abords de la place du Commerce, du square Daviais, des Machines de l’Ile et du Hangar à Bananes… Souvent les auteurs sont de jeunes maghrébins en situation clandestine et ils sont armés de couteaux – pas moins de 25 ont ainsi été interpellés dans la nuit du 14 au 15 octobre. Mais outre les zones de non-droit habituelles, la délinquance de rue fait tache d’huile et touche tout le centre-ville, voire au-delà. Nous avons dressé la carte des principaux faits depuis septembre.
La délinquance de rue – essentiellement des vols avec violence, des agressions gratuites, des extorsions – s’étend maintenant aux abords de l’église Saint-Nicolas, place Louis XVI ou encore mail Picasso. Le quai Magellan et l’extrémité sud du faubourg Madeleine, jusque là peu touchés, le sont à présent.
Les faits délinquants continuent à s’accumuler et à devenir de plus en plus graves. Dans la nuit du 18 au 19 novembre, un Nantais de 28 ans se fait accoster par un jeune homme qui lui demande une cigarette, vers 4h du matin près du château des Ducs de Bretagne ; le jeune homme, qui ne fume pas, refuse. Il se fait immédiatement violer.
Le nombre de personnes qui vivent de la délinquance ne cesse lui aussi d’augmenter ; ainsi, une série d’agressions gratuites a eu lieu en septembre et octobre dans le quartier situé entre la Manufacture et le Jardin des Plantes. A chaque fois l’auteur est africain et ivre mort, mais faut-il encore le retrouver. Une nouvelle victime y a eu droit début octobre vers 7 h15. Lorsqu’il est venu tenter de reconnaître sa victime sur les fiches CANONGE des auteurs d’infractions comparables de la police nationale, ce sont plus de 800 photos de délinquants africains connus en Loire-Atlantique qui lui sont présentées. La majeure partie d’entre eux seraient des migrants oisifs logés aux frais du contribuable.
Et la présence des CRS à Commerce et dans les rues du centre-ville n’est efficace que lorsqu’ils sont là : comme ils sont rarement visibles en soirée, les délinquants font ce qu’ils veulent. Depuis leur arrivée début septembre cependant, et jusqu’au 24 octobre, il y a eu 186 interpellations dans le centre-ville. Combien ont été jugés et combien ont été condamnés ? Nous n’en saurons rien. C’est pourtant une question cruciale.
Le laxisme de la justice encourage les délinquants
Du reste, la réponse de la justice ne se montre pas à la hauteur des enjeux. Deux exemples particulièrement flagrants suffisent, mais il y a bien d’autres illustrations au quotidien, si bien que « l’immense majorité des personnes que nous interpellons pour avoir vendu de la drogue ou en avoir sur eux n’est pas jugée », témoigne un policier nantais excédé. « Quelques barrettes, ça ne suffit pas aux juges. Idem pour les clandestins – le simple fait d’être en situation irrégulière sur le territoire est une infraction. Mais les juges ne veulent pas les juger et les renvoyer hors du territoire comme c’est pourtant la loi ».
Dans la nuit du 19 a 20 septembre, vers 3h30 quai Turenne, un homme est tabassé à la sortie d’un bar pour avoir refusé de donner des cigarettes à deux personnes. Celles-ci le rouent de coup et lui brisent la cheville pour empêcher de les poursuivre – quelques jours auparavant, aux abords du Hangar à Bananes, plusieurs voleurs ont ainsi été interpellés après que leur victime les a poursuivis et maîtrisés en attendant la police.
Cependant, les deux auteurs sont interpellés peu après, avec sur eux le portable de la victime. Il s’agit d’un Marocain et d’un Libyen, en situation irrégulière, déjà interdits de territoire français pendant trois ans suite à d’autres faits de délinquance de voie publique similaires. Si tout concorde pour qu’ils soient jugés avec sévérité et qu’à l’audience, la victime arrivée en fauteuil roulant reconnaît parfaitement son agresseur, celui-ci est pourtant relaxé au bénéfice du doute… Et libre de recommencer avec son complice, libéré !
Autre affaire encore plus intéressante une semaine à peine plus tard. Dans la nuit du 28 au 29 septembre un homme est interpellé à 3h55 pour un vol et une main aux fesses – ce qui constitue une agression sexuelle en droit français – dont est victime une jeune femme. Camerounais en situation irrégulière vivant dans un squat, il se dit mineur – avec l’excuse de minorité, il bénéficie d’un jugement nettement plus clément – et présente un acte de naissance camerounais qui le dit né en mars 2002.
Le procureur estime que ledit document « présente les apparences d’un document camerounais authentique mais cela n’en fait pas un acte authentique pour autant. Il n’a aucune valeur ». En clair, c’est un faux bien exécuté, et en l’absence de confirmation par les autorités camerounaises de sa minorité, et de son identité, il doit être considéré comme majeur. L’accusation se fonde sur une « évaluation sociale » et des radios du poignet et des dents qui font conclure au médecin qui l’a examiné que l’auteur du vol et de l’agression sexuelle « ne peut avoir moins de 19 ans ».
La défense fait valoir de son côté que puisqu’il n’a pas de papier, les tests médicaux sont « illégaux » et que l’évaluation sociale n’est pas pluridisciplinaire. Pour le juge, la majorité de l’accusé n’étant pas démontrée, il est présumé mineur, son dossier transféré au juge des enfants et il est libéré sans autre forme de poursuite. Après avoir commis, rappelons-le, une agression sexuelle et un vol sur une jeune femme, dans le centre-ville de Nantes, en pleine nuit.
« Avec un tel suivi judiciaire, on ne peut plus s’étonner que les vols, tentatives de viol ou d’agression sexuelles et autres extorsions se multiplient à Nantes », relève notre policier nantais. « Soit les juges évitent soigneusement le centre-ville nantais à partir de 23 heures, soit ils ignorent la triste réalité : des délinquants enracinés, sans-papiers, venus en France uniquement pour vivre sur le pays, qui connaissent toutes les ficelles du droit et qui sont bien conseillés par de véritables idéologues bien blancs et bien subventionnés ».
Pour celui-ci, « ces derniers sont encore pire que les délinquants car ils estiment sans plus trop se cacher que le vol, les violences et les agressions pratiquées par les sans-papiers sont légitimes du fait de l’histoire coloniale de la France ou des violences qu’ils auraient subi là-bas en Afrique».
Pour ce policier nantais, « beaucoup de mes collègues pensent comme moi. Nous en avons marre de ce laxisme organisé dont nous sommes les premiers à pâtir puisque les gens nous accusent de ne servir à rien. Les décisions des juges qui relâchent des délinquants qui se fichent d’eux et des Nantais sont un véritable permis de piller et de saccager ». Comme une armée d’occupation en temps de guerre. Faudra-t-il attendre que l’un de ces pillards commette un meurtre – par exemple sur un représentant de la bobocratie – pour que des mesures énergiques contre la délinquance à Nantes soient enfin prises ?
Louis-Benoît Greffe
Photos : DR
[cc] Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
5 réponses à “Nantes : les agressions nocturnes s’étendent dans le centre-ville”
Samedi dernier (2 novembre) vers 2h du matin un groupe d’homme m’as demander pourquoi je rangeait mon téléphone dans poche car ils ‘en avait besoin’. Je pense que j’ai été sauvé car mon taxi arriveait à ce moment là. Je me serais certainement fais dépouiller sinon. C’ete près de la fnac à commerce…
La France est devenue un pays de coupe-gorges grâce à nos dirigeants qui eux, vivent bien à l’abri des racailles qu’ils nous obligent à cotoyer au nom d’un « vivre ensemble » agressif et repoussant !
Où comment « vivre ensemble » avec les racailles qui ne pensent qu’à nous dépouiller !
Dormez, braves gens…. Dormez…. laissez vous dépouiller.
La répression est toujours beaucoup moins virulente pour les voyous gauchiasses que pour les autres ! Voir ce qui s’est passé pour vigilance hallal qui n’est pas dangereuse pour la population et qui ne détruit pas tout pour faire passer ses idées !