La fertilité des hommes occidentaux est en baisse. À tel point que des scientifiques tirent la sonnette d’alarme. Serions-nous sur le point de disparaître ?
Des spermatozoïdes de plus en plus rares
Le sujet est pris très au sérieux par les scientifiques. Le nombre de spermatozoïdes chez les Occidentaux (entendez par là les Européens de souche) est en diminution constante depuis 40 ans désormais. Une donnée qui pourrait sembler anecdotique si elle ne se rapprochait pas d’un seuil fatidique. Car, à partir d’un nombre trop limité de spermatozoïdes chez les hommes, la fertilité des couples est remise en cause. Les derniers résultats publiés sur la question datent de l’été dernier. Que les couples bretons se rassurent, la menace n’est pas imminente mais est suffisamment réelle pour être prise au sérieux.
Procréation compliquée
Dans les faits, cette diminution se concrétise par des délais de procréation plus longs faute de concentration suffisante de cellules reproductrices mâles. Il faudra donc faire preuve de plus en plus de patience pour celles et ceux désirant concevoir un enfant. Voilà pourtant plusieurs décennies que diverses études sur la question ont déjà mis en garde contre cette baisse du nombre de spermatozoïdes.
Seulement en Occident !
Une équipe de chercheurs américains, issus de l’un des centres hospitaliers (Icahn School of Medicine at Mount Sinai) de New York et experts en médecine reproductive, a dressé le bilan de la situation.
Dans cette optique, ces médecins ont réalisé une recherche conséquente en réanalysant 185 travaux effectués entre 1973 et 2011. Des travaux provenant des quatre coins du monde et ayant porté sur le sperme de 43 000 hommes. Le résultat le plus fulgurant de cette étude est que la concentration moyenne de spermatozoïdes a régressé de 1,4 % par année sur la période concernée. Soit une baisse globale de 52,4% entre 1973 et 2011. La fertilité masculine des Occidentaux a donc été divisée par deux !
Mais, conclusion encore plus surprenante, les autres continents que sont l’Afrique, l’Amérique du Sud et l’Asie n’ont pas connu d’évolution particulière. Leur fertilité n’est absolument pas impactée.
Le seuil critique
Alors que cette concentration de spermatozoïdes, chez les sujets occidentaux étudiés, étaient de 99 millions par millilitre de sperme en 1973, elle est tombée à 47,1 millions en 2011. Une donnée qu’il faut rapprocher du seuil des 45 millions par millilitre. Une sorte de ligne rouge à ne pas franchir sous peine de rallonger la durée de conception de l’enfant. Alors qu’elle est de 3 à 4 mois dans des conditions « normales », cette période s’étendrait considérablement sous ces 45 millions.
Des causes diverses
À quoi cette diminution est-elle due ? Et pourquoi seulement chez les Occidentaux ? Les facteurs mis en avant par les chercheurs sont liés à nos modes de vie. Ainsi, les perturbateurs endocriniens sont notamment pointés du doigt. Tout comme certaines sources de chaleurs nocives (ordinateurs sur les genoux par exemple). Enfin, le tabagisme durant les périodes de grossesses, la sédentarité ainsi que la présence de pesticides dans notre environnement contribueraient à diminuer le nombre de spermatozoïdes.
Voilà une information qui conforte encore un peu plus le déclin démographique des populations européennes.
Crédit photo : Pixabay (cc)
[cc] Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
6 réponses à “La fertilité masculine devient dangereusement faible en Occident”
On ne peut pas à la fois critiquer la fertilité des hommes occidentaux et encourager l’avortement dans tous les cas ! Sinon, c’est la mort programmée de l’occident !
Il n’y a pas mort programmée de l’occident, mais de notre ethnie.
Mais l’occident habité par des Africains musulmans deviendra oriental ! C’est ici le sens de l’occident culturel qui va disparaître !
Les dirigeants ont trouvé la solution en ouvrant très largement les portes de l’immigration, surtout clandestine.
Ouais , et que l’on continue à ingurgiter de la nourriture merdique , généreusement dopée à la chimie de synthèse ( une pomme , plus de 25 « traitements » ! )
Les curés de la FNSEA appellent ça pudiquement et hypocritement : des intrants .
No problèmos, les migrants arrivent pour assurer la relève, genre banlieues et zones de non-droits…