Drôles de scènes samedi 11 novembre au soir à Bruxelles. Des supporters de l’équipe de football nationale du Maroc, qui venait de valider sa qualification pour la Coupe du monde 2018, ont semé la panique.
Des scènes de chaos
Alors que de 2000 à 3000 personnes se sont retrouvées en soirée sur l’avenue de Stalingrad, la célébration a vite tourné au champ de bataille. Après la victoire par 2 buts à 0 du Maroc face à la Côte d’Ivoire, l’euphorie a donc envahi ce quartier de Bruxelles. Les supporters se sont ensuite dirigés vers la Bourse. Et c’est là que la situation a dégénéré.
Les fans marocains ont ainsi commencé à détruire des installations du marché de Noël. Ce sont des véritables scènes d’émeutes qui ont ensuite agité la soirée. Des voitures ont été brûlées et des magasins ont également fait l’objet de pillages. Les « amateurs de football » n’oubliant pas au passage de détruire du mobilier urbain et de casser bon nombre de vitrines.
« Mais que fait la police ? »
Des dégâts considérables et une situation longtemps hors de contrôle qui a suscité de vives critiques à l’égard des forces de l’ordre belges. Ces dernières ont fait usage de canons à eau afin de disperser les assaillants. Mais leur intervention a été jugée tardive sur la place de la Bourse. D’autant que le bilan de cette qualification marocaine n’est pas négligeable : 213 blessés ont été recensés, dont 22 policiers.
Le 13 novembre, par l’intermédiaire de leurs syndicats, les policiers et pompiers bruxellois sont sortis du silence et ont dénoncé un manque de moyens matériel et humain et des ordres peu clairs. À croire que les pouvoirs publics avaient décidé de jouer la carte de l’attentisme en se faisant le plus discret possible afin de ne pas « provoquer les jeunes ». Une stratégie peu offensive (c’est bien le moins que l’on puisse dire) qui a vite montré ses limites.
« Agressés par des bandes de sauvages »
Soulignons au passage que les pompiers ont également fat l’objet d’agressions lors de leurs interventions, notamment pour les véhicules incendiés. Des agressions dues à l’absence de protection policière pour les hommes du feu. Ou l’obsolescence de tout un système…
C’est la chaîne de télévision belge RTBF qui rapporte les propos d’Éric Labourdette, syndicaliste chez les pompiers de Bruxelles. Celui-ci ne mâche pas ses mots :
« On a été appelé pour une voiture en feu. Lorsque nous sommes arrivés sur place, nous nous sommes faits agresser et on a dû dégager de là. La voiture a donc complètement brûlé parce que l’on n’a pas su intervenir. On a bénéficié d’aucune protection de la part de la police. Alors, je n’en veux pas à la police ! Ils étaient très certainement occupés. Mais on passe sous silence le fait qu’on n’ait pas pu travailler parce qu’on a manqué de protection et parce qu’on a littéralement été agressé par des bandes de sauvages ».
Des arrestations difficiles
Bien que le nombre de casseurs soit évalué à un peu plus de 300 par la police, celle-ci n’a encore procédé à aucune interpellation. Et elle fait même appel à l’aide de la population pour récupérer d’éventuelles images des émeutiers.
Rien ne dit donc que les agresseurs et délinquants en question seront rattrapés par la justice.
Un ministre flamand pointe l’immigration
Du côté de la classe politique, une intervention a dénoté de par son ton politiquement incorrect. Ainsi, le vice-premier ministre et ministre de la Sécurité et de l’Intérieur Jan Jambon s’est exprimé sur le sujet, toujours sur la RTBF. Jan Jambon est membre de la N-VA, parti nationaliste flamand classé à droite.
« Nous allons enquêter pour savoir si les policiers ont réagi trop tard. Mais l’essentiel, c’est qu’un match de football qui a eu lieu en Afrique a provoqué ici même des émeutes, des incendies et des choses inacceptables. Et des réponses fortes devront être apportées ».
Des réponses qui ne manqueront certainement pas de soulever d’autres questions, notamment celle de la pérennité des sociétés multiculturelles. Et accessoirement de la nuisance du football, opium du peuple, dans une société ayant déjà perdu la tête.
Crédit photo : Wikimedia (cc)
[cc] Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
3 réponses à “Victoire du Maroc. « Agressés par des bandes de sauvages» à Bruxelles”
Apparemment ce sont des marocains »belge » bien que ça n’existe pas en fait , on est d’un pays pas de deux.
En Belgique c’est comme en France , les maghrébins et les autres ( sauf les belges ) ont tous les droits , espérons que les marocains soient virés très vite de la coupe du monde , sinon bonjour les dégâts…Ils sont insupportables , ils ne pensent qu’à casser , piller , détruire , des dégénérés ….ça nous donne une idée de ce que sera l’Europe dans 10 ou 20 ans …
Je ne l’avais pas compris tout de suite à la lecture de l’article mais le match n’a pas eu lieu en Belgique! donc ça aurait aussi bien pu se passer à Paris ou n’importe où ailleurs puisque l’Europe entière est infestée par ces bandes issues de l’immigration.
Bon sang et-ce que devant la violence de ces communautés étrangères occupantes est-ce qu’un jour les flics ne sortiront pas autre chose que le canon à eau?!